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Wade Lester

Feuille de personnage
statut: administrateurclasse gammaspicy squirrels
- Wade Lester -
superior minds

T'as pas le choix, tu ressens rien, tu es vide, froid. Un cerveau dans une boite alimenté en oxygène par un muscle qui te ment. Tu peux pas.
empathie & apaisement par le toucher: il ressent tout ce que les autres ressentent. Il les comprend mieux que n'importe qui et peut même les apaiser en les touchant. Lui, ne ressent rien par lui-même. Seulement les sentiments des autres lui font vivre ces émotions qu'il a perdu depuis des années.
professeur de biochimie et chercheur de l'institut
02/03/2014
sebastian stan
batteryfox & tumblr
401

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MessageSujet: (wade) i don't feel sad. i don't feel anything.   (wade) i don't feel sad. i don't feel anything. Icon_minitimeMar 23 Déc - 0:11

Wade Samson Lester.

feat. sebastian stan
ton personnageen réalité
NOM : Lester.
PRÉNOM(S) : Wade Samson. Wade est un prénom tout à fait courant, rien d’extravagant. Quand à Samson, il vient tout droit de l'ancien testament, la religion étant très importante pour ses parents. Il signifie petit soleil et il est très attaché à l'histoire du personnage auquel il se rapporte.
AGE ET DATE DE NAISSANCE : 28 ans, né le 14 avril 1986 dans le Vermont, à Townshend.
STATUT AMOUREUX : Célibataire depuis la nuit des temps. Il est incapable de s'attacher à quelqu'un, puisqu'il passe son temps à vivre à travers les émotions des autres. Rien n'est personnel, ou si peu. Les gens ne sont que de passage.  
DEPUIS QUAND ES-TU A L'INSTITUT : Depuis quelques mois, seulement. Il est venu rejoindre et aider son frère, ainsi que les autres mutants de l'institut.
POUR LES PROFESSEURS&STAFF, LA MATIÈRE ENSEIGNÉ OU SON POSTE : biochimie, il est également l'un des chercheurs de l'institut. C'est lui qui va tenter d'améliorer votre vie mutante avec des gadgets en tout genre et des mixtures bizarres.
POUVOIR/DON : Empathie. Wade est capable de ressentir l'émotion des gens l'entourant sur une portée d'une quinzaine de mètres, pas plus. Il est également porteur d'un deuxième don, complémentaire au premier: celui d'apaiser par le toucher. Que ce soit la peur, la douleur, la colère. A son contact on ne ressent plus rien de négatif, il apaise les gens de leurs démons, provisoirement.
D’APRÈS TOI, DANS QUEL CLASSE (DON/POUVOIR) ES-TU ? : classe 0, il n'a rien à maîtriser, rien à contrôler. C'est inné et il n'a pas d'autres choix que de faire avec.
CARACTÈRE : Définir son caractère s'avère assez compliqué, il change souvent d'humeur, souvent d'idée, bercé par les autres. Cependant, la mélancolique serait le trait le plus dominant chez Wade. Il est pessimiste, un peu trop passionné, névrosé, se coupe en quatre pour le bonheur des autres. Il est très ouvert, ne juge jamais les autres, est compatissant par par choix, mais par obligation. Il est beaucoup plus sujet aux peines qu'aux joies et cela détend sur son caractère. Dans une humeur neutre, seul, il n'y a que son travail et le bonheur des autres qui compte. Petit, c'était un véritable raison de soleil, un concentré de bonne humeur, de joie et de malice. C'est un petit génie, même si il lui arrive très souvent de se faire passer pour un crétin, tout ça pour mieux étudier les autres.
AMBITION : Faire accepter la mutation à tous les êtres humains. Tous. Même son père. Trouver une solution à sa mutation, aider un maximum de gens comme lui.
GROUPE : master of red pen
PSEUDO : écrire ici.
PRÉNOM : Audrey.  
AGE : 20 ans.  
PAYS : France.  
FRÉQUENCE DE CONNEXION : .... troll .  
INVENTE OU SCENARIO : inventé... et à demi un scénar -> 
OU AS TU CONNU LE FORUM : .... troll .
AS TU QUELQUE CHOSE A DIRE DESSUS : .... troll .
CRÉDITS : écrire ici.
◊ 001. il s'isole énormément, afin de pouvoir se concentrer sur lui-même, s'écouter et surtout: travailler. Il passe également énormément de temps derrière le piano de l'institut. Il a toujours jouer, depuis très jeune du moins, mais continu de se dire joueur amateur. ◊ 002. il a gardé tous les tickets de train, bus, métro, cinéma, avion qu'il a prit depuis qu'il est gamin et remplit un des murs de sa chambre avec. ◊ 003. il arrive à mettre sa jambe derrière sa tête, c'est pas très utile, mais il peut. ◊ 004. il a le dos et l'avant bras gauche tatoué, mais a tendance à cacher tout ça derrière sa veste. Ça ne regarde pas forcément les étudiants de l'institut après tout. Son dos est composé entre autre d'un félin, une représentation de la déesse Hestia et une citation d'Einstein. Le prénom de sa sœur aînée fait partie du tatouage sur son avant bras, perdu au milieu d'un assortiment de plantes et fleurs comme des dahlia noirs. Certains pensent qu'il s'agit d'une vieille conquête qu'il avait littéralement dans la peau, mais c'était juste un hommage à sa sœurette, une fois qu'elle est partie vivre à l'autre bout du pays. ◊ 005. il fume, beaucoup même. Il garde constamment l'odeur du tabac froid et du whisky sur lui, ce qui ne va pas à tout le monde, mais il s'en fiche. ◊ 006. Il aime beaucoup la cuisine asiatique et se nourrissait à la fac uniquement avec des nouilles et plats à emportés. ◊ 007. Il n'a plus vraiment l'air d'un intello, ayant troqué ses lunettes pour des lentilles et s'étant totalement rapproché à l'adolescence d'un style plutôt hors des sentiers battus. Même si  ce n'était pas très bien vu, son cerveau primait sur le côté débraillé de sa tignasse et de ses chaussures pleine de boue. ◊ 008. Sa famille compte pour lui, le principe veut qu'elle le soit de toute façon et ce sont bien les seuls personnes qui l'intéresse vraiment. 009. Jusqu'à cette année, il a toujours eu les cheveux long et se refusait à les couper, malgré l'avis de ses parents. Il y est très attaché, par rapport à son nom, Samson. Ce prénom vient de celui d'un héro juif aux cheveux longs, connu pour sa force surhumaine. Un jour, une femme, Dalila, après s'en être fait aimé réussi à soutirer le secret de sa force, résidant dans ses cheveux et, lui a coupé pendant qu'il dormait sur ses genoux.  Sa force perdue, on vint le chercher. Les yeux crevés, il est jeté en prison, où il retrouva sa force après quelques mois d'emprisonnement, et se vengea. Wade avait tendance à les attachés pour travailler et ne se formalisait même plus sur les moqueries à ce sujet, subissant plutôt les longues heures où sa sœur aînée les tressaient. Il a décidé de s'en débarrasser lui-même, un soir où il s'est dit n'avoir plus aucune force, que sa vie n'avait pas de sens. Maintenant que tout va pour le mieux, il les laisse repousser et s'en prendra à la première personne s'aventurant trop près de lui avec des ciseaux. ◊ 010. Il était extrêmement proche à la fac de deux personnes qu'il a rencontré le premier jour, qui étaient si on peut le dire, ses meilleurs amis. Au fils des mois, voir des années, Wade se retrouva capable de discerner lorsqu'il étaient tous les trois quelques sentiments flotter chez ses deux compères. Emplit par cela lui aussi, il a fini par croire que ça pouvait lui être adressé, que sa ou son meilleur ami ressentait un truc pour lui. Leurs sentiments se projetaient sur lui, mais aussi vite que c'était arrivé, il a comprit que dans cette histoire, il n'était que le chandelier, perdu au milieu d'un couple en devenir, qui se forma puis se maria cinq, six ans ensuite. ◊ 011. Il est spécialisé en biochimie génétique et neurobiochimie, deux disciplines avec lesquelles il pense pouvoir améliorer sa condition et celle des autres. Fier d'être un mutant, il aimerait pourtant parfois être plus humain, moins influencé par les autres comme une véritable éponge. En attendant de trouver une solution, facilité la vie des gens l'entourant lui garantis un bonheur factice, mais vital. ◊ 012. il est parrain d'un petit Thomas, mais a coupé les ponds avec ses parents. Il se contente de lui envoyer des cartes postales et de venir le voir à son anniversaire et Noël en évitant un maximum ses meilleurs amis, les parents. C'est également un tonton, et prend bien soin d'envoyer également cartes postales et cadeaux d'anniversaires lorsqu'il ne peut pas venir le voir, malgré le divorce de ses parents. ◊ 013. en arrivant à l'institut, il a adopté un jeune chat gris qui lui tient compagnie. Il l'a prénommé Francrick, en référence au généticien Francis Crick. Il est incapable de ressentir ce que son chat éprouve et apprécie ce silence qu'il lui offre, et les câlins qu'il vient lui réclamer. Il n'a pas peur de se dire qu'il va finir seul avec sa boule de poil, il en est même satisfait.
→ quand as tu découvert que tu étais "différent(e)" ? Wade a découvert son don à l'adolescence, comme beaucoup d'autres mutants. Comme le veut la logique, il n'a rien ressentit, en le découvrant. Au courant pour la mutation de son aîné, c'était la suite d'un fils rouge, une certaine logique génétique. Il s'est rendu compte que sa capacité à détecter l'humeur des autres n'étaient pas qu'une aptitude banale, mais bel et bien un véritable pouvoir qui le submergea bien vite. Dans sa petite résidence universitaire, lui, l'ado qui avait sauté trop de classe pouvait ressentir du jour au lendemain l'humeur des gens vivants autour de lui, partout, tout le temps du moment qu'ils n'avaient pas sombré dans un profond sommeil. Il a découvert sa seconde capacité en essayant de calmer son meilleur ami, mêlé à une bagarre. C'est à l'instant où sa main à heurté son torse que tout d'un coup, il s'est calmé, pour redevenir aussi agressif qu'il l'était dès qu'il avait relâché sa poitrine. Il se sert souvent de son pouvoir pour calmer les gens, parfois, ça suffit à les calmer longtemps.

→en quoi consiste ton pouvoir ou ton don ? Wade est tout d'abord capable de ressentir la moindre émotion ressentie par les gens l'entourant, sur une portée d'une quinzaine de mètres environ. Ca lui parvient comme une vague, emmenant des gens, le frappant de plein fouet. Il se met à vivre le même sentiment que la personne, que les personnes l'entourant, se heurtant les un les autres. Il peut donc ressentir plusieurs choses à la fois, sans y échapper, sans faire volontairement le tris. C'est son cerveau qui sélectionne, qui classe. L'humeur la plus forte va prendre le dessus sur les autres la plupart du temps et les dominer, les écraser. Si ce n'est pas le cas, si tout est trop fort, il y a de forte chance que Wade implose, craque, sous le maelstrom l'attaquant et qu'il ne peut pas faire s'arrêter. Cela lui déclenche ainsi des migraines qu'il ne peut pas guérir et des sautes d'humeurs assez violent. La colère et la tristesse, seule émotions qu'il peut générer lui-même, tente a faire leur apparition à ce moment-là. Il va alors s'isoler le plus loin possible, ou utiliser son second pouvoir. Il est capable par le toucher d'apaiser n'importe quel esprit torturé, le calmer, comme une drogue douce peut bercer les gens. On ne ressent plus rien de négatif, plénitude parfaitement consciente et sans danger, il peut empêcher les autres de souffrir et lui, d'avoir à le sentir également.  
Son pouvoir l'empêche de ressentir pour lui même et n'est donc pas capable de ressentir quelques choses pour quelqu'un, même amicalement. Il juge simplement si il apprécie les autres sur ce qu'ils disent et ce qu'ils ressentent pour lui et les gens l'entourant, ça lui donne une assez bonne idée en général. Le seul moment où il est tranquille, c'est lorsque les gens sont dans la période dite du sommeil profond, après les rêves. Dans ces moments là, il ne ressent plus rien venant des gens et peut enfin trouver la paix, une des raisons pour lesquels il est souvent tard le soir dans les couloirs, c'est le moment le plus calme de la journée.

→ arrives-tu à le maitriser ? est-il dangereux pour ta santé ou celles des autres ? Wade n'a rien à maîtriser, son pouvoir est inné et ne peut pas être contrôlé. Le mieux qu'il puisse faire, c'est réussir à faire le tris dans sa tête, mais rien n'arrêtera les vagues émotives emmenant des autres de l'attaquer lui aussi. Hormis ces phases où il ne supporte plus de ressentir quelques choses, ça n'a rien de dangereux physiquement, c'est une torture mentale de laquelle il n'arrive pas à se défaire et à laquelle il a même du mal à réagir. Il n'a pas trouver de solution à ce jour. Pour les autres en tout cas, il est inoffensif, voir même mieux, puisqu'il guérit et apaise les âmes en peine en les touchant.

→ est-ce que cela a une influence sur ta vie ? as-tu été exclu par ta famille, tes amis, la société ? Wade n'a révélé à sa soeur et à sa mère son pouvoir qu'il y a une poignée d'années, après que l'histoire de Graham soit dévoilée et se répande comme une traînée de poudre dans le pays. Il n'a pas été rejeté, mais a ressentit peut-être une légère gêne chez sa sœur et sa mère, qui s'est rapidement évanouie. Il sait qu'elles craignaient de ce qu'il pouvait sentir tous les jours, de la haine de leur père pour son aîné, de la colère qui régnait dans le cœur des gens en découvrant le monstre ayant sauvagement attaqué sa femme. Il n'a jamais avoué à son père qu'il était un mutant, d'après sa mère il n'en valait pas la peine et il avait déjà tout perdu, dont sa famille, dont lui.
Wade arrive à vivre avec, difficilement, se cachant souvent des autres, évitant les endroits bondés de gens comme les hôpitaux ou les dîners à l'institut. Le trop plein d'émotions génère chez lui migraines et incapacité de se concentrer sur quelques choses. En général, il finit en colère. Il préfère être seul, toujours, pour ne pas avoir à supporter les tristesses, joies, amours de gens qu'il ne connait même pas. Il se sent très seul, mais n'a pas vraiment d'autres choix.
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Wade Lester

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T'as pas le choix, tu ressens rien, tu es vide, froid. Un cerveau dans une boite alimenté en oxygène par un muscle qui te ment. Tu peux pas.
empathie & apaisement par le toucher: il ressent tout ce que les autres ressentent. Il les comprend mieux que n'importe qui et peut même les apaiser en les touchant. Lui, ne ressent rien par lui-même. Seulement les sentiments des autres lui font vivre ces émotions qu'il a perdu depuis des années.
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02/03/2014
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MessageSujet: Re: (wade) i don't feel sad. i don't feel anything.   (wade) i don't feel sad. i don't feel anything. Icon_minitimeMar 23 Déc - 0:11

Tell us a story.

i'm hooked on a feeling

it's a long way down.


chapitre 1: juillet 2009

« Maman ? Je suis rentré. » Il fermait la porte d'un coup de pieds, balançant son sac dans le vestibule comme il l'a toujours fait, sa veste balancée à la volée sur le porte manteau qui manqua de tomber. « Maman ? » Aucune réponse ne se faisait entendre dans la maison Lester, plongée encore dans le noir pourtant, il pouvait sentir une tristesse récurant ces derniers temps, forte : la tristesse d'une mère pour son fils, jugé comme un criminel qu'il n'était pas. Si l'affaire avait secoué en partie le pays, les Lester avaient vécus cela comme un raz-de-marée engloutissant tout sur son passage. D'abord, la mutation. Hormis Wade, personne n'était au courant pour la mutation de son frère. Personne n'a jamais su, ou plutôt a toujours ignorer ces "signes", sauf lui. Il avait une dizaine d'années lorsque son aîné c'était transformé devant lui pour le protéger d'élèves plus âgés, toujours à vouloir faire payer au gamin à lunettes le prix de son intelligence.  Ensuite, la torture. Aucun d'eux ne savait, il n'avait jamais rien dit a personne et essayait du mieux qu'il pouvait de le cacher à son frère, sûrement. Il n'a jamais rien sentit de négatif venant de lui, pas depuis qu'il avait reprit contact avec eux, pas depuis Jane, qu'il aimait sincèrement. Rien ne lui avait fait deviner que quelques choses n'allait pas et il s'en voulait de n'avoir pas réussi à le déceler, de ne pas avoir été là alors que ses pouvoirs s'étaient eux aussi manifestés. Ces pouvoirs, qui le guidait en haut des marches, suivant la sensation émanant de la personne assise sur son lit, sa mère. Elle leva les yeux en l'entendant arriver. « Wade. Je. Je vais.  » Elle commença à se lever, essuyant son nez rapidement avec son mouchoir. Madame lester n'appréciait pas avoir l'air si faible devant ses enfants, devant son plus jeune fils surtout, simplement rentré à la maison pour les vacances comme sa soeurette. C'était à elle d'être forte, elle, de tenir cette famille ensemble maintenant que c'était fait. Maintenant que le placard derrière elle était à moitié vide, qu'à moitié plein. « Ne bouge pas, c'est rien. T'en fais pas. » dit-il, la rassurant d'un geste de la main alors qu'il s'approchait. Il ne lui a pas fallu longtemps pour comprendre que ses parents c'étaient une nouvelle fois disputés, mais que cette fois, c'était bien plus grave que d'habitude. Le placard ouvert, vidé à la hâte, était la représentation parfaite de ce qu'il avait laissé, un espace vide. Elle observa son garçon s'asseoir à côté d'elle. Sorti de l'adolescence sans même qu'elle s'en rende compte, ne le voyant pas aussi souvent qu'elle le voudrait, depuis ses quinze, seize ans, l'université avait un peu séparé les parents des enfants et cette distance avait du mal à  être comblée, provoquant un certain malaise. Durant les huit dernières années, il ne l'a plus vraiment approché, gardant ses distances, évitant le moindre contact avec les gens de sa famille. Comme tout ado, n'est-ce pas ? Désireux de rester seul, de bouder le monde. Il en portait l'allure en tout cas, en replaçant derrière son oreille une mèche de cheveux un peu trop longue, il vint chercher sa main et y mêla ses doigts. « Ça va aller. » son murmure résonnait dans le silence, coupé immédiatement par une forte inspiration, une surprise, qui referma les doigts de la cinquantenaire sur les siens, les écrasant. Elle le regarde, l'étudie, cherche en lui des réponses, une réponse. Il ne fait que lui sourire, calme, tendre. La peine s'est envolée, d'un coup, pour eux deux. Elle tente de dégager sa main mais il l'en empêche, caressant le dos de sa main avec son pouce pour la rassurer. C'était normal pour lui, son quotidien. La raison pour laquelle il avait eu si peur d'un contact avec sa famille. Il aurait vendu la mèche, trop vite. Seul sa fratrie le savait, jusque là. « Tu..Tu en es un, toi aussi ?» Il hoche la tête. « Empathie. » commença-t-il à dire. « Et je peux le calmer, comme ça. » Il faisait référence à la main dans la sienne, au toucher qu'il évitait alors les autres, sauf quand utile. Elle sourit, essuyant ses larmes avec son mouchoir. Elle voulait s'inquiéter, voulait avoir peur pour lui, voulait penser au pire mais le pouvoir agissant sur elle l'empêchait d'avoir peur. « Ne le dit pas à ton père. Il. A déjà tout perdu ou presque. » dit-elle, laissant s'échapper un rire mêlé de ses dernières larmes. C'était nerveux, c'était perdu. « Il m'a déjà perdu il y a un moment. » Il faisait référence au début du procès, au rejet de la réalité, à la peur que Monsieur Lester avait ressentit, sa colère, sa honte, d'avoir pour fils un mutant. Il l'a perdu à ce moment là, quand il fixait avec rage un écran de télévision, où Graham leur apparaissait après son arrestation. Toutes ces manifestations, bonnes, ou mauvaises qu'il avait engendré.  Quelques semaines plus tard le divorce était engagé et les Lester n'étaient plus alors qu'une famille tentant de se reconstruire. Ils avaient du chemin a faire, encore.


you will remember for centuries.


chapitre 2: mars 2010

La fumée criminelle s'échappait de ses lèvres avec lenteur. Assassine, elle était symbole de ses addictions nombreuses et de son désintérêt face aux minutes de vie qu'il perdait en consumant cette mort en rouleau, pièce maîtresse de cette vie qu'il vouait à son auto-destruction. L'homme à la vingtaine passée était tombé dans son canapé, à moitié habillé, à moitié prêt. Au final le courage lui avait manqué. Au final, l'appel d'une bouteille de whisky et d'un paquet de cigarettes avaient eu raison de son courage, de sa volonté de ne pas décevoir les autres. Personne ne pensait à quel point lui, pouvait être déçu par la tournure des choses. Personne ne se disait qu'il pouvait souffrir de quoi que ce soit, lui qui gardait toujours une légère odeur alcoolisée et de tabac, la tête relevée et le visage muet.  Il ne souffrait de rien, hormis de ses addictions, n'est-ce pas. Il ne s'offusque de rien, Wade. Il a toujours le sourire aux lèvres et le tic de remettre en place ses lunettes.  De beaux discours à faire sur ses études et la facilité avec laquelle il est capable de lire à travers les gens. Un type comme ça n'a rien à caché, respirant la franchise et les valeurs les plus nobles. Pourtant, cet homme, se trouvait être un mutant. Une de ces saletés écumant les rues, le nouveau fléau humain, ravageant tout sur son passage et mettant à mal la question même d'Humanité. Contre tout ça, contre les autres, il n'avait qu'un endroit où s'échouer : son appartement était sa bulle, son réconfort alors que seize heure sonnait sur des cloches quelques rues plus loin. Il n'y était pas allé. Il était mieux, là.

Un raclement de gorge -qui n'était le sien- perturba la parfaite mélodie jouée par l'un des meilleurs pianiste de son temps. Bien, bien au-dessus de son niveau personnel. Bien, bien au-dessus de ses compétences de joueur de piano amateur, mouvant sa tête depuis des heures au rythme de la mélodie effrénée, violente, rageuse. Elle couvrait le son du téléviseur et ses propres pensées. Il n'appartenait plus qu'à son morceau. C'était la bande originale de sa vie, un maelström amer, dans lequel il essayait de nager sans se noyer après avoir déjà bu la tasse plusieurs fois. On lui a toujours reproché son manque cruel d'émotion dans son jeu, aucune interprétation, aucun sentiment attribué à son morceaux. Juste les notes, balancées dans l'air exactement comme la partition le voulait, à l'instant où elle le voulait. Il n'inspirait rien, ne véhiculait rien. Là, c'était une vague d'émotions sans aucun sens, se succédant les unes les autres qui l’entraînait dans son tourment. A force d'écouter ce morceau, il en était le maître, connaissait chaque montée, chaque accélération, chaque notes. Le jeune scientifique maîtrisait sa bête noire, son démon, pour une fois : la faiblesse humaine, les sentiments.  A en jugé par la table renversée, les deux ou trois bouteilles échouées sur le sol et l'odeur de cigarette  imprimé dans les murs, la rage l'avait emporté. La rage, et la tristesse, seuls choses assez fortes pouvant émaner de lui lorsqu'il était seul. La nuit en était même tombée sur Cambridge sans qu'il ne se rende compte de rien, perdu dans un imaginaire dont lui seul était le maître. Loin, bien loin de cette triste réalité qu'ils lui avaient froidement rappelé. Loin, très loin d'un passé qui avait bien commencé.

Après le bruit des clés dans la serrure et la fermeture de la porte, c'était donc un raclement de gorge, qui le rappelait à la réalité. Une pression sur le lecteur et la musique cessa, rappelant le silence qui hantait d'ordinaire cet appartement à eux. L'intruse l'avait réveillé. « Je croyais que tu devais arrêter. » A l'opposé du salon, près de la porte d'entrée tout juste fermée se trouvait une femme, aux traits similaires, la jeunesse fleurissante et les joues creuses. Elle se bataillait avec des cheveux en bataille -parfaitement détrempés par la pluie- que l'on pouvait retrouver dans ceux plus foncés de son cadet, observant avec attention le nuage de fumée formé au bord de ses lèvres. On pouvait voir qu'ils étaient du même sang facilement ; Le nez, les yeux, la même expression de lassitude chez l'un comme chez l'autre. Cela justifiait sûrement la présence de la visiteuse dans l'appartement délabré d'un homme en costume-cravate affalé comme un malpropre. Un malpropre silencieux, un malpropre capable de sentir le désarroi de sa sœur jusqu'ici, qu'il arborait également. Cette pitié, qu'elle avait à son égard et sa fatigue de devoir baby-sitter un homme adulte, était maintenant une part de lui. « Pourquoi je le ferais. » Il avait promis à ses parents d'arrêter de fumer, et puis au final, comme la plupart des gens, il a trouvé ça trop difficile, trop irritant de n'avoir rien dans les mains. L'assiette lui servant de cendrier à côté de lui, il y fit tomber le paquet de cendre s'étant agglutiné au bout de la cigarette, comme si de rien était. Il savait très bien que son aînée avait une sainte horreur de ça, comme leur frère aîné d'ailleurs, mais cela n'allait pas l'empêcher d'en griller une, puis une autre, et ainsi de suite en espérant provoquer son départ bien avant d'avoir terminer un paquet complet. « T'es pas allé au baptême alors. » Malgré la pluie à l'extérieur, Marie s'était empressée d'ouvrir la fenêtre donnant sur la rue surchargée de personnes aux parapluies sombres, moroses, plombés dans la nuit de Cambridge. « Tu as prévenu ? » « Nan. » Le parrain en moins à un baptême, prévisible non ? Cela fera une petite histoire à raconter.. avec un peu de chance, ils allaient annuler, ou bien ils décideraient de ne plus jamais lui adresser la parole, solvant le moindre de ses problèmes. Marie Lester s'affairait à aérer le maximum la pièce, secouant les lourds rideaux pour les rabattre sur le côté et jetant les mégots d'un cendrier abandonné à la poubelle.

Tout en s'affairant, elle continuait à se débarrasser des boites de restaurant chinois et les cadavres en verre de bouteilles abandonnées sur le canapé. « Ils vont être déçue, tu penses pas ? » Il se raidit, rien qu'en entendant le pronom utilisé. Ils, eux. Beurk. « On sera trois comme ça, enfin quatre, avec le mioche.» A l'instant même elle ramassait au sol une carte crème, irisée, où était noté en lettre doré le nom du petit garçon qui devait être son filleul, Thomas. Elle relava les yeux vers son frère, qui l'observait dans son geste sans avoir l'air de ressentir le moindre remord, la moindre culpabilité. Evidemment, puisqu'elle non. « Ils peuvent faire sans moi, j'avais mieux à faire... Je dois aller là-bas demain. » D'un geste du menton il désigne le téléviseur, bloqué depuis des semaines sur la chaîne d'information générale. Elle émettait un bruit de fond couvrant le silence que Wade avait créé. « Le procès du mutant Graham Lester, accusé d'avoir agressé son ex-épouse dans un excès de rage, aura lieu demain. » Le sujet passait en boucle sur les écrans de télévisions, l'affaire, déclenchait des tensions à travers le pays depuis que l'affaire avait attend les médias. Sur les écrans, les journaux, on retrouvait le visage de leur aîné, traqué, jugé par ces humains effrayés du progrès. Effrayés d'un avenir où une mutation génétique serait monnaie courante. Où leurs enfants seraient victimes de ces "malédictions" les transformant en ces monstres que l'on devrait abattre, plutôt que laisser filer. Dans une nouvelle gorgée de whisky, lâcha un soupir. Un de plus. « Te justifie pas avec ça Wade. On est tous impliqué dans ce qui arrive à Grammy, mais ne l'utilise pas comme excuse, je sais très bien, autant que toi, que c'est pas la raison pour laquelle t'y es pas allé. » La place dégagée, la blonde vint s'asseoir à ses côtés, face à lui, l'observe un moment. Elle fini par tourner la tête vers le visage familier sur l'écran, alors qu'il était traîné par des policiers à l'intérieur d'une voiture vers on-ne-sait-où.   Une soudaine tristesse envahit la jeune femme qu'il fini par ressentir, sans en connaître la provenance. Peut-être par rapport au procès à venir, ou bien, maintenant qu'elle connaissait le secret de son cadet, peut-être était-elle capable de se mettre à sa place, lui, qui ne vit rien pour lui-même. Peut-être qu'elle avait fini par comprendre ce qu'il pouvait vivre, auprès des autres, partagés et forcé de sentir tout ce que les autres ressentent, mais pas lui.  « Non. » Ça s'échappe de ses lèvres, ça sonne triste, c'est triste. Elle s'en veut un peu de l'avoir influencé et cette culpabilité, fini elle aussi par déteindre, bien avant qu'elle ne s'en rende compte. Tout était beaucoup plus simple, il y a quelques mois. Aujourd'hui cette famille et ce bonheur n'était plus qu'un château de carte écroulé, qu'elle tentait de remonter, morceaux par morceaux. Sans un mot il se rapproche d'elle et laisse sa tête reposer contre son torse. Automatiquement, ses bras l'enlacent et elle vint déposer une bise dans ses cheveux en bataille. Elle aurait envie de pleurer, mais ne pouvait pas se le permettre.

« Je t'aime petit frère. » Il ne lui répondra pas, elle le sait. Ce serait un mensonge de lui donner une réponse positive ou négative. Il n'en savait rien, n'était plus capable de le savoir, mais il devait toujours l'aimer, puis que ses mots ne le blessait pas, puis qu'elle était là pour lui et qu'il était là pour elle, pour eux tous. C'était bien le rôle d'une famille après tout, c'est pour ça qu'il irait témoigner demain également, pour le bon vieux temps, pour ces souvenirs d'une affection qu'il ne possédait plus. Marie sépara trois mèches de ses cheveux et commença a les tresser, comme elle le faisait souvent, comme elle l'avait toujours fait. Elle avait espoir que tout redevienne comme avant, que tout soit de nouveau simple. « Arrête, saleté. » Le grognement la fit sourire, pour une fois depuis ces derniers temps. C'était sa réaction habituelle, râler, pester, mais au moment où elle reprenait, il ne disait plus rien et la laissait faire. Comme au bon vieux temps.

i don't care if it hurts.


chapitre 3: juillet 2014

Ton voisin aux cernes aussi sombre que les tiens t'observais. Le regard vide, les yeux creusés dans un visage trop mince, beaucoup plus mince qu'avant. Comme toi. Comme toi, il n'avait pas de travail, pas vraiment d'activité, pas d'amis. Le licenciement l'a touché, suivit d'un divorce. Vous n'aviez rien, ni l'un, ni l'autre, hormis un appartement vide à l'odeur du tabac froid duquel il était difficile de sortir. Rien ne vous y motivait, ni le bruit de la ville, ni les gens s'y trouvant.
C'était encore plus vif ici que chez toi, la douleur, son humeur. Tu le connaissais sans lui avoir vraiment parlé en détail, tu connaissais son nom, lui n'a jamais cherché à savoir le tiens. T'as déjà rencontré ses parents, son ex-femme, les quelques amis ou personnes qui s'étaient souciés de lui et de toi, lors que c'est arrivé la première fois. T'avais pas besoin de parler avec lui pour savoir, t'entendais assez de bruits de couloirs, de voix à travers le sol et ses humeurs toujours aussi sombres te heurter sans que tu ne le veuilles. Tu lui as déjà sauvé la vie, une fois, lorsque tout d'un coup, tous ses malheurs ont arrêtés de te tourmenter. Lorsque tout d'un coup, tu n'avais plus rien entendu, alors que l'eau du bain coulait encore.

Du palier, tu entendais l'eau couler de nouveau, derrière vous. Tu connaissais cet état, tu l'avais déjà vécu il y a plus d'un mois. Tu savais très bien où ça allait, tu n'allais pas laisser l'eau se teindre de rouge encore une fois, ni assisté de nouveau au cri de la gardienne de votre immeuble qui avait ouvert la porte, sa peur, cette si violente peur te dépasser, te perdre, déstabilisante. Tu ne veut pas avoir peur. Tu ne veut pas arrivé de nouveau légèrement en retard, quand c'était fait, quand incontinent il attendant la mort. Tu savais que c'était pas la première fois, mais peut-être la dernière. La porte enfin ouverte, il te fixait l'air mauvais, fatigué de toi et ta capacité à être un peu trop ponctuel à son goût. Quelques part, il était perdu par ta faute, te trouvant tout aussi pitoyable qu'il pouvait l'être, mal rasé, les yeux rougis et tes cheveux, d'habitudes long, se battaient en duel, coupés trop court de façon asymétriques autour de tes oreilles. T'as tout coupé, d'un coup. T'étais fatigué, t'avais plus de force, tu servais à rien. Non. C'était pas toi, qui te sentait comme ça. C'est cette réalisation que tu as eu devant le miroir, et un robinet qui venait de s'allumer dans l'appartement sous le tiens qui te réveillas de cette spirale infernale. « Tu veux quoi ? » Sa voix plaintive, rauque et son soupire s'échappant te rappel ton propre malaise de ces derniers mois, il fuyait ton regard trop perçant, insistant. Il n'ose t'affronter, toi, envers qui il avait une "dette" si on en croyait la société. Il aurait préféré de rien te devoir peut-être, était en colère et pourtant, il t'a ouvert la porte : il voulait de l'aide.

Tes études terminées, tu as fait divers congrès, divers cours, conférences, débats sur le "problème" mutant. Pourtant, ton sérieux et ta légitimité étaient tachés par un vieux procès, par ton implication personnelle dans cette cause qui ne trouve pas de paix. Tu possèdes quelques part un bout de ça, un bout de génétique pouvant peut-être conduire à une branche mutante, puisque tu étais le frère d'un d'entre eux. Ton avis, alors, n'était peut-être pas aussi neutre qu'un autre chercheur, ta motivation, personnelle. TU tentes de faire accepter la mutation comme une suite logique des choses. Tu te montres, on reconnait parfois ton nom, ton visage encadré par tes lunettes épaisses et ta moue boudeuse. Tu aimerais que personne n'ait peur, qu'on ne traite pas les mutants comme des patients, des malades, mais comme des humains certes, différents, mais des humains quand-même. Si ils savaient que tu en étais un, ton avis ne compterais sûrement plus, ou seulement aux yeux des pro-mutants qui soutenaient encore tes recherches pour l'amélioration des conditions de vie et votaient pour que tu obtiennes ton budget de l'année. Si ils savaient, tu ne serais rien d'autres que l'un d'entre eux, une bête de foire pour certain de tes collègues, un progrès génétique, expérience pour d'autres. Deux tentatives et ton budget n'était pas accepté. Tes recherches, jugées inutiles, ont été abandonnées. Toute personne se serait sentit mal, déçu, ayant la sensation d'avoir gâché sa vie. Tu n'avais pas tout ça, ton courage n'a été ensuite mit à mal que par ton voisin, et sa propre baisse de moral, son manque de vie. C'était sa faute, uniquement sa faute si tu étais retombé dans la spirale de la mélancolie, s'attachant à toi, te collant bien plus souvent que tu le voudrais et t'enfonçant dans la dépression. Pourtant, tu ne lui en voudras pas, au blond à la trentaine passée. Tu ne pouvais pas lui en vouloir, pour entre capable de faire ce que tu ne pouvais pas faire par toi-même : éprouver. C'était contre ta façon d'être, contre ta malédiction même. Tu n'allais pas lui en vouloir, pas pour longtemps. Tes doigts resserrent l'encadrement de la porte, la colère que tu as provoqué en le dérangeant t'atteint, te chauffe. Tu ne dois pourtant pas te laisser dominer par ça, tu ne dois pas aggraver sa situation, t'es pas là pour ça, t'es pas une mauvaise personne Wade. « Tu dois l'arrêter . » Ta voix se veut aussi froide que la sienne. Tu luttes, contre ta colère, contre cette tristesse qui te murmure à l'oreille que tu ne vaut rien. Tu luttes pour trouver quelques choses autour de vous qui puisses contrebalancer, un sentiment positif, qui émanerait de n'importe qui autour de vous. Tu cherches, sans trouver. « Arrêter quoi ? » Il est trop prêt, c'est trop vif pour que ton cerveau s'en détache.  « L'eau, arrêtes-là. » « Tu vas pas m'empêcher de prendre un bain. » Sa colère monte d'un cran, elle masque tout, même la tristesse. La rancœur le prend, t’étouffes.  « Tu me prends pour un con peut-être ? » T'as jamais réussi à trouver quelques choses qui pouvait te détacher des autres, t'es condamné à ça, tu ne peux rien contrôler, même quand tu te concentres.« Mêles-toi de tes affaires mec. Ça te regarde pas. » Il tente de refermer la port mais ton bras et ton pieds l'en empêche. Tu forces, t'y mets toute ta rage, sa, rage.  « Je me mêles de ce que je veux, Ok ? Et ça me regarde, ça me regarde très bien même. J'en ai marre de ressentir ce que tu ressens. J'en ai marre de sentir ta colère, ta tristesse qui te conduit encore à te taillader les veines dans ta baignoire, c'est bien ça, hein ? Tu allais le faire ? » Tes mots s'embrasent et tu es incapable de changer cela, t'abandonnes, tu te laisses porter par le courant dévastateur, le fléaux qui te donne la migraine et t'affaiblis, son maelstrom, sa faute. Il relâche la pression qu'il exerce sur le panneau de bois, te fixant avec des yeux ronds. De ta phrase il n'avait peut-être sélectionné que la fin, éludant tes propos sur ta capacité à le comprendre si bien. Comment savais-tu qu'il allait faire une nouvelle tentative de suicide, comment pouvais-tu ?  «  Attends t'as dit qu-. » Tu ne le laisse pas finir, t'en profite pour l’attraper par les épaule et le plaquer contre le mur de son entrée. « La ferme, d'accord ! Elle te mérite pas cette salope, t'es un type correct, gentil, t'as fait des études, tu vas te retrouver un job bien. T'as pas besoin d'elle pour y arriver, elle est conne et hypocrite. T'as pas a refaire cette connerie pour elle. Ni pour elle, ni pour ton job, ni pour rien d'autres. T'as pas le droit, parce que les gens qui viennent te voir, ta mère, ton père, ils t'aiment. T'as pas à leur faire du mal, juste pour une fille et un travail qui te méritent pas. » Tu le relâches, repassant sur le palier, tu l'as calmé d'un coup, tu t'es calmé d'un coup. T'as les humides, t'as envie de pleurer, mais tu te refuses à le faire devant lui. T'es censé être le plus apte à donner des conseils. T'es pas censé pleurnicher. « Si tu veux le faire, fais-le. Je vais pas t'en empêcher une nouvelle fois, mais pense à ce que je t'ai dit et vite ; La baignoire va bientôt déborder.» Il se retrouve vers son appartement et se précipite vers la salle de bain, dont il coupe l'eau rapidement avant de revenir vers toi, mais t'es déjà parti. « Mec ! Mec Attend ! Mec ! » T'as déjà grimpé les escaliers en partie et le temps qu'il vienne vers toi, la porte de ton appartement se claqua d'un coup.

La musique la musique. Elle résonne dans ton laboratoire hermétique, douce. Les murs épais et la porte trop lourde étouffaient le bruit de l'extérieur, de la vie de l'institut. Tu étais en paix, loin de tous, dans un monde que toi seul composait, toi et la boule de poils assise sur tes genoux que tu caressais de temps à autre, au point où son ronronnement couvrait le son de ta musique. Ton chat semblait être ton meilleur ami dans la vie. Un petit être que tu avais acheté en rejoignant l'institut il y a quelques mois et qui avait déjà doublé de volume depuis. Le chaton grandissait et avec lui, ton confort ici. Tu ne retenais plus tes sourires, tes bonheurs. Tu oubliais doucement ces mois passés dans ton appartement au profit d'un avenir ici où tu t'appliquait à rendre chacun heureux. Ils te demandent souvent comme tu allais. A cette phrase, tu ne peux d'empêcher de rire un peu, tout en répondant avec politesse que tu allais bien, retournant ensuite la question. Tu ne vas ni bien ni mal, jamais. Tu vas rien, comme toujours. Tu es Wade Lester, ce scientifique qui se force à sourire aux gens, qu'on pense incapable de faire du mal à quelqu'un, pas même à lui-même. Pourtant tu portes encore l’infâme cicatrice masquée par un tatouage imposant. Ton voisin, son humeur, sa première tentative. Personne n'en connaît la raison, peu la remarque, à moins d'avoir une excellente vision ou de t'avoir effleuré un jour. Tu vas toujours rien, te forçant à répondre ce « ça va » qui les laisserait indiférent. Tu mens très bien, tout ça pour un peu de bonheur touchant ton âme. Personne ne connaît ton pouvoir, ou si peu d'entre eux. Tu le caches assez bien, les années aidant et l'aspirine masquant un peu l'accumulation douloureuse que subissait ton cerveau. T'as toujours besoin d'un peu d'air, de nature. Le parc était un de tes refuges de secours, particulièrement tôt le matin et tard le soir, quand on n'entend que les oiseaux. Tu vis bien ici, tu n'as pas l'intention de partir. Il y a tellement de gens qui ont besoin d'aide autour de toi.

Tu chantonnes en suivant des yeux tes notes sur ton carnet. Tu cherches des idées, des solutions pour ces jeunes mutants qui avaient besoin de ton aide. Ils avaient besoin de toi, plus que pour quelques heures où ta main sur leur épaule soulageait le moindre de leur soucis. Ils avaient besoin de solution sur le long termes, de gadget, de simplification de leur quotidien. C'est pour cela que l'on t'avait offert ce poste, ainsi que ce budget. Cet homme en fauteuil roulant t'avais contacté par courrier pour te rendre ici, il avait discuté avec toi, il avait entendu parlé de tes difficultés avec le monde de la science. Il avait lu à travers toi, tu le savais, tu sentais les pics qu'il eu en lisant tes pensées, tes malheurs, tes questions. La situation lui avait même tiré un rictus, alors qu'il réagissait à ce qu'il décelais chez toi pendant que tu réagissait à ce que tu décelais chez lui, c'était un cycle sans fin. Plus de voisin suicidaire et ton frère, de nouveau là. Ta famille, c'est tout ce qui t'importais avec ton travail n'est-ce pas ? Petit à petit, ils devenaient tous ta famille, des gens de ton quotidien et toi du leur. Tu le sentais, c'est tout ce qui comptait.  « Professeur Lester ? Professeur ? » Tu finissais par t'habituer à cette voix et les autres. Tu finissais par ne plus renvoyer les gens venant te déranger. Tu lèves le nez vers la jeune femme, te demandant pourquoi elle était ici. Il était surement tard, peut-être vingt-trois heures, minuit. Tu n'avais pas prit le temps de vérifier. « La salle à manger est vide, si tu veux manger quelques choses. » Elle sourit vaguement, à peine. Tu t'étais habitué à être tutoyé par tout le monde, que ce soit tes élèves ou tes collègues, si bien que Professeur Lester semblait pour toi réservé à ton frère aîné. Un truc la dérange, tu le sais, mais tu ne voulais rien dire, pas vendre aux autres ce pouvoir qui influençait tant ta vie. « D'accord, Merci.» Tu lui rends sa politesse en lui adressant un fin sourire. C'était devenu ton quotidien, paisible. Tu commences à te lever, laissant ton chat descendre de tes jambes avant de quitter la pièce, toi aussi. Enfin.
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Graham Lester

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bonne nouvelle, Graham a décidé d'arrêter d'être stupide, mais chut, c'est un secret
lion de némée; capacité de se transformer en un immense lion, de plus sa peau est "pare-balles" c'est à dire qu'elle n'est pas entaillable.
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22/09/2014
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MessageSujet: Re: (wade) i don't feel sad. i don't feel anything.   (wade) i don't feel sad. i don't feel anything. Icon_minitimeMar 23 Déc - 0:22

satan

red red red red

fangirl

love câlin étouffé
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Hollya Sonstead

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Amoureuse, en couple depuis très longtemps si on peut dire, mais rien n'est évident avec Hollya. Viens d'accoucher d'une petite fan de star wars.
Elle voyage dans le temps, peut se téléporter dans le passé ou dans le futur, plusieurs jours en arrière ou en avant, n'importe où. Elle se déplace où elle veut sur la ligne du temps. Cela dit, son pouvoir la contrôle aussi, puisque ponctuellement, il décide de l'envoyer où il veut quand il veut, généralement très loin dans l'espace-temps et sans qu'elle puisse y changer quoi que ce soit. À savoir, son corps est lui-même un portail donnant accès à n'importe quelle époque. Quand elle le souhaite, les actes du présent n'ont donc pas d'effet sur elle.
Professeur de littérature et philosophie, et ouais.
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MessageSujet: Re: (wade) i don't feel sad. i don't feel anything.   (wade) i don't feel sad. i don't feel anything. Icon_minitimeMar 23 Déc - 0:24

gnark magical
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MessageSujet: Re: (wade) i don't feel sad. i don't feel anything.   (wade) i don't feel sad. i don't feel anything. Icon_minitimeMar 23 Déc - 0:25

    Dadyyy :marcury:
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MessageSujet: Re: (wade) i don't feel sad. i don't feel anything.   (wade) i don't feel sad. i don't feel anything. Icon_minitimeMar 23 Déc - 0:27

Looooooord cry COME BACK, I GOT A NOSE FOR YA!
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Wade Lester

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T'as pas le choix, tu ressens rien, tu es vide, froid. Un cerveau dans une boite alimenté en oxygène par un muscle qui te ment. Tu peux pas.
empathie & apaisement par le toucher: il ressent tout ce que les autres ressentent. Il les comprend mieux que n'importe qui et peut même les apaiser en les touchant. Lui, ne ressent rien par lui-même. Seulement les sentiments des autres lui font vivre ces émotions qu'il a perdu depuis des années.
professeur de biochimie et chercheur de l'institut
02/03/2014
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MessageSujet: Re: (wade) i don't feel sad. i don't feel anything.   (wade) i don't feel sad. i don't feel anything. Icon_minitimeMar 23 Déc - 0:40

Lord ColdEmo Trolldevie sera toujours dans nos coeurs satan
je vous love les amours never
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Ciel Myocarde

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Depusi que son meilleur ami hétéro lui a annoncé ne pas être si hétéro, ils sont un peu plus... Mais chut, il faut pas le dire
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Misha Collins
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MessageSujet: Re: (wade) i don't feel sad. i don't feel anything.   (wade) i don't feel sad. i don't feel anything. Icon_minitimeMar 23 Déc - 8:23

waza waza red

fou ya

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Wade Lester

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T'as pas le choix, tu ressens rien, tu es vide, froid. Un cerveau dans une boite alimenté en oxygène par un muscle qui te ment. Tu peux pas.
empathie & apaisement par le toucher: il ressent tout ce que les autres ressentent. Il les comprend mieux que n'importe qui et peut même les apaiser en les touchant. Lui, ne ressent rien par lui-même. Seulement les sentiments des autres lui font vivre ces émotions qu'il a perdu depuis des années.
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MessageSujet: Re: (wade) i don't feel sad. i don't feel anything.   (wade) i don't feel sad. i don't feel anything. Icon_minitimeMar 23 Déc - 16:31

futur beau-frère perv perv perv red love
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Seven Owlbreaker

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Célibataire. Point.
Elle peut ressentir le futur et le passé. L'entendre, en sentir des odeurs, en subir les douleurs ou simplement ressentir des sentiments liés aux moments de la vie d'une personne ou d'un lieu. Elle pousse aussi un cri qui effraie et fait souffrir la personne physiquement. Ce cris prévient d'une mort éminente.
Intendante. Professeur à remplaçant de maths, sciences et biologies.
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MessageSujet: Re: (wade) i don't feel sad. i don't feel anything.   (wade) i don't feel sad. i don't feel anything. Icon_minitimeMar 23 Déc - 17:32

*campe* :lauritz: in love crazy
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MessageSujet: Re: (wade) i don't feel sad. i don't feel anything.   (wade) i don't feel sad. i don't feel anything. Icon_minitimeMar 23 Déc - 19:16

que des dcs plz what re satan
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MessageSujet: Re: (wade) i don't feel sad. i don't feel anything.   (wade) i don't feel sad. i don't feel anything. Icon_minitimeMar 23 Déc - 20:45

MY SON, enfin red fall heart big eyes
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Halvard Stinson

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Tu t'accroches à la seule personne qui t'a filé le frisson éternel.
Métamorphose en serpent : Transformation en python royal. Persuasion par contact visuel : Hypnose permettant de donner un ordre à la cible.
Branleur, glandeur, élève perturbateur que tu es, détesté par les surveillants et la source de désespoir des enseignants.
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Tom Felton
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MessageSujet: Re: (wade) i don't feel sad. i don't feel anything.   (wade) i don't feel sad. i don't feel anything. Icon_minitimeMar 23 Déc - 21:07

T'es sexy comme ça, mais bien sûr t'es hétéro. Encore. never
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Wade Lester

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T'as pas le choix, tu ressens rien, tu es vide, froid. Un cerveau dans une boite alimenté en oxygène par un muscle qui te ment. Tu peux pas.
empathie & apaisement par le toucher: il ressent tout ce que les autres ressentent. Il les comprend mieux que n'importe qui et peut même les apaiser en les touchant. Lui, ne ressent rien par lui-même. Seulement les sentiments des autres lui font vivre ces émotions qu'il a perdu depuis des années.
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MessageSujet: Re: (wade) i don't feel sad. i don't feel anything.   (wade) i don't feel sad. i don't feel anything. Icon_minitimeMar 23 Déc - 22:51

Wade est rien.

troll
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Graham Lester

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bonne nouvelle, Graham a décidé d'arrêter d'être stupide, mais chut, c'est un secret
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MessageSujet: Re: (wade) i don't feel sad. i don't feel anything.   (wade) i don't feel sad. i don't feel anything. Icon_minitimeJeu 25 Déc - 10:04

félicitation, tu es validé(e) !
Ta fiche est parfaite, mon bro il est parfait, même s'il est rien, il est quand même cute et beau parce que c'est un Lester, t'as vu perv
Joyeux Noël baby bro! brill

⊹⊹⊹
Et voilà, tu es officiellement validé(e). Tu as franchi l'étape la plus importante avant d'aller t'enjailler, t'éclater, bref avant de pouvoir RP sur le forum  Mais on est gentils, on ne va pas t'abandonner de la sorte en pleine nature. Donc voici quelques petites étapes que tu peux suivre pour mieux t'y retrouver et t'intégrer  
~ il est évident que tu es déjà allé(e) lire le règlement et les annexes du forum pour planter le contexte et commencer sur de bonnes bases. Si tu n'es pas passé(e) par là, je te conseille vivement d'y aller
~ ensuite arrive le moment d'intégrer ton personnage. Première étape, demander une chambre, tu ne veux pas dormir dans le parc du château, si ? Et enfin, troisième étape, se renseigner sur ton groupe de parrainage qui porte le nom de WE'RE UP ALL NIGHT TO GET LOCKI.
~ sauf qu'il ne lui suffit pas de lui trouver un toit, il lui faut également des ami(e)s et plus si affinités  Donc je t'invite à te rendre ici pour poster ta fiche de liens et en demander. Et si tu veux te lancer dans les rps, la roulette est là pour toi !

Je t'informe que tu es dorénavant prêt(e) pour commencer l'aventure  
ENJOY ET ENCORE UNE FOIS, BIENVENUE A L'INSTITUT  
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