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 Izar + But are we all lost stars trying to light up the dark?

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Izar Vulpesco

Feuille de personnage
statut: modérateurclasse gammaMadmen Krakens
- Izar Vulpesco -

Loup-cerbère, gardien de tes propres enfers.
Tu découvres ce qu'est la vie.
06/02/2016
Matthew Bell
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MessageSujet: Izar + But are we all lost stars trying to light up the dark?   Izar + But are we all lost stars trying to light up the dark? Icon_minitimeSam 6 Fév - 2:02



     
     
 
 
     
 
 
     
 
 
     
 
 
     

NOM : Vulpesco
PRÉNOM(S) : Mihai, Izar. Le premier révèle les origines venant de Moldavie lorsque l'autre raconte une histoire de ciel et de nuit, d'une étoile perdue dans l'infini. Tu es le garçon au nom d'étoile, celui qui n'en avait aucune pour veiller sur lui.
AGE ET DATE DE NAISSANCE : 21 ans, il parait que tu as vu le jour à l'aube du 18 décembre 1994.
STATUT AMOUREUX : Tu ignores tout de ce terme.  
FRÉQUENTES-TU L'INSTITUT ? : Oui.
OÙ VIS-TU ? : A l'institut.
POUVOIR/DON : Tu es un Loup Cerbère. Ou cerbère-loup, le sens et la terminologie reviennent au même : tu peux en prendre la forme et, comme le chien mythologique gardien des enfers, où chaque tête est associée réciproquement au passé, au présent et au futur. Tu es témoin du temps et de ses fantômes errants.
CARACTÈRE : Sauvage – solitaire – renfermé – méfiant – manipulable – dans ton monde – instinctif – autodestructeur – curieux – naïf – agressif dès lors que tu te sens menacé – tu es ton propre étranger
AMBITION : Si pendant longtemps, tu étais partagé entre l'envie de survivre et de ne plus vivre pour ne plus avoir à souffrir, depuis qu'il t'a sorti de là-bas, c'est d'apprendre enfin à vivre.
GROUPE : A brighter future.
AVATAR : Matthew Bell

- welcome, welcome -
Izar Vulpesco

◊ 001. Tu as du mal avec le contact humain, ou même la trop grande proximité de quelqu'un avec toi. Dès lors qu'on entre dans ton espace vital, tu ne peux t'empêcher de te raidir, inconfortable et sur tes gardes et si d'aventure on te touche, c'est automatiquement la douleur que tu attends. Tu n'as jamais vraiment eu droit à quoique ce soit d'autre, comment pourrais-tu espérer autre chose ? ◊ 002. Plusieurs cicatrices, parfois fines, parfois non, sont disséminées sur ton corps, trahissant les horreurs subies. ◊ 003. Accorder ta confiance ? C'est quelque chose que tu ne sais pas faire. Même maintenant que tu es sorti de l'enfer, que ton environnement ne menace plus ta vie, tu restes constamment méfiant, constamment sur tes gardes. ◊ 004. Dans certains cas, notamment de stress, tu te mets à compter les secondes, les égrainant jusqu'à ce qu'elles se fassent minutes. Et encore, et encore. ◊ 005. Blessé à l'oeil gauche il y a des années, tu ne vois plus très bien de ce côté. Rien ne trahit l'ancienne blessure si ce n'est une infime décoloration de l'iris, et tu as appris à compenser et vivre avec. ◊ 006. Demisexuel qui s'ignore, tu n'as encore jamais connu ni l'amour, ni le désir. Coupé du monde, tu ne t'es jamais inquiété ni posé de question sur ta sexualité pour l'instant. ◊ 007. Tu passes beaucoup de temps à dessiner. Des formes abstraites, des visages que seul toi peut voir. Des monstres tout droit sorti de ton imagination. De tout, partout. Ta cellule avait le sol et les murs qui en étaient couverts et encore recouverts. Les traits durs trahissent un mélange de violence et de souffrance. Jamais de tendresse, pas de délicatesse. Tu ne sais même pas ce qu'est ni l'un ni l'autre. ◊ 008. Parfois, tu sembles parler seul. Ca n'est pas le cas ; c'est à tes visions que tu t'adresses, les prenant parfois pour des êtres bien vivants, d'autres juste pour te leurrer dans une impression de compagnie. Pourtant, il t'arrive aussi de véritablement parler seul, et ta voix n'est alors qu'un murmure à peine audible même à tes propres oreilles. ◊ 009. A force de vivre coupé du monde, tu as fini par adopter certains tics qui laisse percevoir l'animal qui sommeille en toi, te font passés pour sauvage. Tu montres les dents, grognes parfois lorsque tu te retrouves énervé ou menacer ; tu te recroquevilles dans un coin, animal blessé prêt à bondir à la moindre approche quand tu te sens oppressé ou que la douleur est trop grande.  ◊ 010. Habitué à être affamé, tu gardes jalousement ta nourriture lorsque tu manges, prêt à montrer les crocs si quiconque tente de te retirer ton repas. ◊ 001. Tu as d'ailleurs récemment découvert que tu aimais le chocolat et le thé -avec du miel s'il vous plaît. Vraiment beaucoup. ◊ 002. Tu dors le dos contre le mur. De manière générale, tu as en fait tout autant tendance à garder ton dos vers le mur le plus proche. Manière de couvrir tes arrières, qui sait ce qui pourrait t'attaquer par derrière. ◊ 003. A force d'être enfermé seul dans un espace clos, tu as développé une forme d'agoraphobie, une peur des grands espaces à découverts. Quoique tu n'aimes pas beaucoup plus les espaces trop petits, tu cherches systématiquement les issues du regard, juste au cas où. ◊ 004. Tu parles anglais et moldave (donc roumain) depuis petit, bien que tu n'aies plus parlé la seconde langue depuis plusieurs années. ◊ 005. Ton rapport à la douleur serait probablement considéré comme clairement malsain, si une personne extérieur le remarquait. ◊ 006. Ton regard trop clair semble souvent plongé dans le vide, dans une contemplation connue de seul toi. Tu captes des choses, des gens et des mouvements que toi seul voit.

→ quand as tu découvert que tu étais "différent(e)" ? Différent, tu l'as toujours été un peu. Mais au début, elle n'était que différence de sang et de parent. Une belle-mère qui te haïssait pour ce que tu représentais. Et elle te l'avait bien fait comprendre, t'offrant un traitement spécial, bien dissemblable de ceux de tes demi-frères et sœurs. Vengeance imbécile, qui jamais ne quitte la violence. Là où ils recevaient encouragements et mots aimants, tu étais abonné à ceux insultants et méprisants. A la place des caresses, de la tendresse, tu ne connaissais que la sécheresse, les attentions qui plongeaient dans la détresse. Enfant trop clairvoyant, tu commençais à voir des ombres, à entre les murmures de voix sorties de nulle part. Inquiétés, effrayés, ils ignoraient ce que tu disais, et c'est Izar le bizarre que certains s'amusaient à t'appeler. Les bousculades dans l'escalier, les cheveux tirés, la peau pincées. Les coups qui commençaient à tomber. Et puis un jour, force à été de constater, sous les regards terrifiés, que tu étais réellement différent. Que tu n'étais pas ''normal'', d'une manière qui dépassait de loin ce que tous pensaient possible. Une colère toujours enfermée, étouffée, qui avait soudainement explosé. Et c'est un jeune loup à trois-tête furieux qui était apparu devant leurs yeux.


→en quoi consiste ton pouvoir ou ton don ? Si ton don est unique, celui d'un cerbère loup, il peut aussi être vu comme deux pouvoirs séparés. Le premier agit au niveau de ton métabolisme d'une manière très claire. Difficile de rater un loup bien plus grand que la moyenne, surtout quand il possède trois têtes. Ton corps se métamorphose à une vitesse affolante, brisant tes os pour les allonger et les reformer la seconde suivante, parant ton corps de fourrure et tes pattes de griffes pendant que deux autres têtes apparaissent, les gueules pleines de crocs tranchants. Créature mythologique évoluée, toute droit sortie de ces Enfers dont elle est supposée garder l'entrée. Ses têtes représentent et observent respectivement le passé, le présent et le futur, et c'est là que réside la seconde partie de ton don. Celle que personne d'autre ne voit, aussi intangible qu'invisible. Tu es témoin de fantômes et de visions aléatoires, d'une vivacité qui te semble parfois bien trop réelle. A ton présent, se mêlent des moments du passé et du futur, parfois sans aucun autre élément qui te laisse le déterminer.


→ arrives-tu à le maitriser ? est-il dangereux pour ta santé ou celles des autres ?Là encore, il s'agit d'une question dont la réponse est nuancée. Tu maîtrise le côté transformation de ton don. Pas à la perfection certes. Mais tu sais le faire quand tu le veux, quand tu le décides. Certaines émotions trop fortes, trop brutes tentent parfois de t'y pousser, mais tu as apprit à y résister pour garder ta forme humaine. Néanmoins, tu es plus soumis à tes pulsions et instincts animal lorsque tu deviens loup-cerbère. La transformation n'est pas dangereuse pour toi, quoiqu'un peu douloureuse, et tant que tu n'attaques personnes, elle ne l'est pas non plus pour eux. Tes griffes et tes crocs sont cependant des armes au tranchant redoutable.
Gérer la seconde partie de ton don s'avère cependant bien plus compliqué. Encore même impossible lorsque tu n'as pas trois têtes pour t'y aider. Lorsque l'une observe le passé, la seconde concentrée sur le présent et la dernière regardant l'avenir, il est bien plus simple de ne pas perdre de vue la réalité. Sous forme humaine, tout se mélange et s'emmêle sans que tu ne saches le contrôler ni rien discerner. Les fantômes passés et futurs se mêlent à la réalité si bien qu'il t'arrive de les prendre pour de vraies personnes, ou inversement, de prendre des gens pour des spectres venus de ton esprit alors qu'ils sont bien là. Il y a des moments de vide et d'accalmie, d'autres inoffensifs. Mais parfois les visions t'agressent et c'est sur toi que leur violence se déchaîne. Si physiquement, aucun coup ne t'atteint, si rien ne vient réellement te frapper ni marquer ta maigre anatomie toute faite de creux et d'angles secs, la douleur elle, te semble bien réelle. Si en apparence ton don ne représente aucun danger pour les autres, c'est pour ta santé mentale qu'il s'avère l'être, te poussant de plus en plus dans la folie.


→ est-ce que cela a une influence sur ta vie ? as-tu été exclu par ta famille, tes amis, la société ?Quiconque ayant entendu parler de ton passé sait qu'effectivement, évidemment, ton pouvoir a influencé ta vie. Si elle n'était et ne promettait déjà pas d'être rose sans cela il a, en un sens, été le déclencheur du pire. L'escalade du fiel et de la hargne d'abord, frôlant le cruel. Des mots qui devenaient actes, persécution qui s'échappait jusque hors de la maison pour la simple raison, aussi imbécile que puérile, que tu étais différent et étrange. Et lorsque ton don a fini de s'éveiller, lorsque tu t'es transformé pour la première fois, que à cet instant que le ''pire'' a commencé. Enfermé, attaché comme un clebs enragé jusqu'à ce qu'on te vende. Comme un animal, un monstre, un cobaye. A leurs yeux, tu n'avais plus aucune trace d'humanité. Vendu à la science, ou plutôt à la violence et la souffrance. Ont-ils vraiment mené des expériences sur toi ? A part mesurer ta douleur et ta résistance, le point de rupture à atteindre pour te pousser dans la folie ? Sans doute au début, mais après ? Tu n'es pas sûr de vouloir le savoir. Pourtant, peut-être étrangement, tu tiens à ton don, tu ne le détestes pas et ce de très loin. Il est un peu ce qui t'as aidé à résister, un peu à sombrer dans ton monde pour ne pas crever sous la réalité. Il est toi, et c'est comme ça. Toujours exclu de la société, du moins au pire, jusqu'à ce qu'il t'en libère, jusqu'à ce qu'il te sauve. Et maintenant, il te faut apprendre ce que c'est.

PSEUDO : Adament.
PRÉNOM : Lucile.
AGE : 21 ans.  
PAYS : France.  
FRÉQUENCE DE CONNEXION : Toujours. :c:
INVENTE OU SCENARIO : Inventé bébé !
OU AS TU CONNU LE FORUM : Sur internet il y a un moment. Un très long moment d'ailleur.
AS TU QUELQUE CHOSE A DIRE DESSUS : Qu'une chose à dire :
Sa sentait le Souffre et Max savait que le Souffre. Le Souffre. satan
(Bon, ok, y a une autre chose : je vous aime. never )
CRÉDITS : Adament pour les avatars.

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Izar Vulpesco

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- Izar Vulpesco -

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MessageSujet: Re: Izar + But are we all lost stars trying to light up the dark?   Izar + But are we all lost stars trying to light up the dark? Icon_minitimeSam 6 Fév - 2:03


"Have you ever been in a summer storm in the desert?"
"They just come up on you -the wind and the thunder and the lightning and the rain begins to pound. And you think that the world is going to end. It's this overwhelming apocalyptic moment."

Quarante cinq, quarante six, quarante sept... C'était fini ? Étaient-ils partis ? Ta respiration fluctue et c'est ta peur qu'elle trahit. Lentement, tu rouvres les yeux pour tomber sur des regards curieux. Un autre sourit d'un sadisme mielleux, que la cruauté a rendu heureux. Non. Pas le bon moment. Tu as tout juste le temps de clore tes paupières précipitamment que la souffrance tord ton corps péniblement. Encore. L'inspiration sifflante prédit un cri qui reste bloqué dans ta gorge. Tu serres les dents et ta mâchoire se carre. Il faut que tu comptes. Quarante... huit, quarante neuf. Ca ne fait pas mal. Cinquante. Non, ça ne fait pas si mal... La douleur est cruelle, presque perpétuelle mais elle est la seule chose qui te sois fidèle. Paumé dans un ouragan, tu es seul à percevoir les rires et les murmures condescendants, parfois compatissants. Ils ne sont pas vrais, tu le sais. Spectateurs réguliers, passagers occasionnels avec qui personne n'interagit jamais. C'est pour ça que tu les reconnais et que tu sais. Dans ton esprit embrumé, une voix te parvient étouffée.

- Apportez l'EVZ90.

Qui a parlé ? Qu'est-ce que c'est, est-ce la réalité ? Des bruits de pas, et tu sens qu'ils s'affairent sur ton bras. L'indélicatesse des mains pour qui tu n'es qu'animal, la froideur de l'aiguille en métal chirurgical. Non, ça n'est pas une illusion. Tu n'aimes pas du tout ça, lorsqu'ils veulent tester des produits sur toi. Tout ça pour une observation sadique, soit disant scientifique. Tu ne sais ni ce qu'ils font mine de chercher, encore moins ce qu'ils veulent tenter de trouver. Si tant est qu'il ne s'agit pas d'un prétexte facile pour satisfaire leur cruauté. Une fois, tu avais eu l'impression de brûler vif, comme si un acide courait dans ton sang pour te faire fondre de l'intérieur, sans évidemment qu'ils ne te donnent de sédatifs. Un autre jour, tu n'avais plus rien senti pendant plusieurs heures. Ils n'avaient pas vraiment apprécié, effarés à l'idée que tu puisses te révolter sans la menace de la douleur. La plupart du temps, ça te faisait juste délirer avec plus ou moins d'intensité, quoiqu'on puisse rétorquer que tu as déjà été détraqué.

Pourtant, lorsque l'aiguille perce ta peau tu ne bouges pas. Tu ne te débats pas. Tu es trop entravé, inhibé. Au début, tu le faisais. Tu résistais. Mais ça fait maintenant bien longtemps que tu as arrêté de lutter s'il n'y a pas d'opportunité. Quelqu'un pousse sur la seringue et durant quelques secondes tu ne sens rien. Nerveusement, tu te remets à compter. Un. Deux, trois,... Quand tu arrives à sept, tu sens le liquide se diffuser et chauffer dans le creux de tes veines. Treize, et ça commence à te brûler, à te cramer. Feu irrépressible, incendie incoercible. Et de peur, le myocarde accélère, réaction qui lui sera délétère. Tu perds le fil lorsque la douleur croît encore, se répercute dans chaque parcelle de ton corps. Est-ce enfin l'heure où sonne ta fin ? Un. Ta respiration erratique invite le tragique.

Tu n'as aucun souvenir qu'on t'ai ramené dans la cellule où ils veulent te voir pourrir. Lorsque tu t'y réveilles, hagard et paumé, tu es recroquevillé sur le sol glacé. La douleur s'est un peu calmée, ne laissant que de vagues réminiscences, fantômes qui continuent à roder, toujours prêts à frapper. C'est ton esprit qui, surtout, est touché. Il te faut un moment pour revenir à toi. Tu te redresses et t'assoies, puis lentement te recules. L'immobilité lorsque ton dos rencontre le coin le plus éloigné de la lourde porte de métal, que tu perçois le semblent d'une illusion de sécurité. Tu ramènes tes genoux contre ton torse et les entoures de tes bras, tu te serres contre toi. Encore tremblants, tes doigts se referment sur le tissu râpé du pantalon, s'accrochent comme si ce geste t'apporterait un peu de commisération. Ton regard presque trop clair est hanté, effrayé lorsqu'il se ballade dans cette pièce parfaitement connue, que tu as bien trop vue. Trois pas sur quatre, vide si ce n'est pour ta forme recroquevillée et un vieux lit au squelette métallique un peu défoncé. Un vieux matelas miteux et pas d'oreiller, tout juste une couverture élimée. Pas de fenêtre non plus, ton monde se limite à cette vue. A ce vide et ces murs qui étaient un jour d'un blanc oppressant. A présent, la pièce est couverte de graphite, tu marches sur un tapis de dessins qui s'arrête en bordure de ton coin. C'est là la seule liberté, la seule chose même qu'on t'autorise. Tu t'es souvent demandé la raison derrière cette quasi clémence, sans jamais vraiment y trouver d'explication. Ca ne peut pas être simplement pour t'empêcher de devenir cinglé, dément, quand tout dans leurs expérimentations te pousse à cette folie qui leur profite, semble-t-il, tant. A moins que ce ne soit pour te garder un minimum sain tout de même, afin que tu ne tentes pas de te crever encore. Un jour tu avais arraché un ressort qui perçait ton matelas bousillé, et tu l'avais utilisé pour te taillader les veines. Tout ça pour fuir cette foutue prison, ou même tout simplement l'entrave qu'est ton corps. Ca n'avait pas marché, mais du carnage de ton poignet déchiré, beaucoup de sang s'était écoulé. Près du lit, la tâche d'un rougeâtre passé imprègne toujours le sol bétonné comme un spectre qui refuse de le quitter. Ils avaient remplacé le matelas pour t'empêcher de recommencer, et tu avais passé trois jours dans une pièce médicalisée. Malgré les murs trop blancs, oppressants, elle avait une fenêtre par laquelle tu avais pu voir un peu du paysage extérieur, un pan de ciel qui s'étend sans peur. Ca t'avait plus, une fenêtre.

Tes yeux d'éther voient de chimères. Des silhouettes apparaissent soudainement, et tu te raidis brusquement. Formes fantomatiques, elle se précisent, semblent se faire tangibles. Sadisme quasi visible. Réaction immédiate, c'est de terreur que les pupilles se dilatent. Leur attention te vrille, l'hostilité féroce brille dans les billes. Ils sont vraiment là. Ils sont venus pour toi. Leur approche est délibérément lente et mesurée, et tu oublies de te demander comment ils ont bien pu entrer. Quatre sourires cruels éternels, plus un regard froid teinté d'une culpabilité mêlée d'effroi. Hagard, tu cherches un échappatoire à leurs regards. Mais tu sais déjà qu'il n'y a aucun endroit pour te cacher, aucun moyen de leur échapper. Tu auras beau crier, personne ne viendra te sauver. Les coups se mettent à pleuvoir, et sous la douleur fantôme, sous la terreur, tu sens ta conscience choir. Un instant c'est le noir, et tu te retrouves précipité dans des souvenirs, des visions d'un passé qui s'amuse à te broyer entre ses mâchoires.

Enfant trop clairvoyant, tu faisais fleurir la peur dans les coeurs. Tu savais des choses que tu n'étais pas censé savoir, connaissais des réponses que tu n'étais censé avoir. Et lorsque agacés, ils te demandaient d'où tu savais, c'est en ouvrant des grands yeux innocents que tu disais l'avoir tout juste entendu. Tu évoquais des voix inconnues, parfois des impressions de visages entraperçus. Et énervés, ou peut-être effrayés, ils se vengeaient du malaise que tu créais. Enfant persécuté par une famille qui te considère comme une présence étrangère et délétère, un être qui avili la pureté de leur air. Izar le bâtard. Abandonné encore bébé, tout juste né, par ta mère biologique dans les bras de ton père par une nuit d'hiver. La belle-mère, femme vénale capable des choses les plus immorales, image parfaite de cruauté et de froide beauté, ne t'a jamais vu autrement que comme une menace. Le fils d'une sale traînasse qui avait l'audace de ne pas rester parmi les chiens à sa juste place. Tu étais une preuve de l'adultère de son mari, de ton père, une trahison qui l'a faite frôler l'irraison. Un être à faire disparaître, étalant sous ses yeux sa propre imperfection. Elle n'avait pas su être suffisante, et elle en devenait violente. Tu étais l'éclat sur la porcelaine appelant à la haine, la brèche dans son image parfaite. Pour tout ce que tu représentais, elle te détestait. Rancunière, elle transmettait son aversion et sa colère à ses enfants qui, bien sages, la semaient partout dans ton entourage. Les cousins, les camarades de classe, les autres gamins. Y en avait-il un seul à t'offrir autre chose que du mépris, que de l'agressivité dans ta vie ? Tu te rappelles trop bien de ces mots terribles susurrés pour te faire souffrir. Des cheveux que l'on tire, de la peau fragile que l'on pince, des coups portés à ton anatomie déjà trop mince. L'escalade de la violence te privant de l'innocence de l'enfance. Au départ, ton père s'était opposé à la chose, alors que tu étais encore trop petit pour comprendre, mais ça n'avait réussi qu'à y mettre une très courte pause. Tu te souviens tout juste qu'un jour Nicolae t'avait volé ta peluche en forme de loup, et ton père te l'avait rendue avec une caresse sur ta joue. Cette même joue qui quelques heures plus tard avait été victime d'un coup. Il n'était pas là pour l'empêcher, pas là pour te protéger. Comme presque toujours. Trop de travail, trop d'affaires pour s'occuper de toi, et surtout trop de failles. Celles créées par la honte qui sans cesse monte. La culpabilité sournoise que Manya lui soufflait pour avoir osé la tromper. Celles nées de sa lâcheté. Celles induites par son erreur et surtout celles engendrées par l'incompréhension à ton égard qui se transformait rapidement en peur. Elles ne cessaient de se multiplier, de se creuser. Se faisant crevasses géantes, plaies béantes. Démentes.

Lorsque tu reprends conscience, les coups ont cessé mais tu perçois encore le danger en latence. Ta cellule te semble soudainement bien plus grande, emplie d'une foule oppressante. Les Vulpesco sont toujours là, avec leurs sourires cruels, les yeux brillants de promesses de souffrances potentiellement mortelles toujours fixés sur toi. Autour d'eux, des dizaines de silhouettes dont tu ne vois que quelques facettes. Des dents dévoilées par le mépris de lèvres ourlées. Une symphonie hystérique de rires si moqueurs qu'ils en deviennent sadiques. La violence, l'indifférence. Des billes mauvaises où brillent des lueurs malsaines, où passent des éclairs de haine. De la colère, des envies meurtrières qui traînent dans l'air. Des corps précis, des formes vagues dont parfois l'humanité se perd. Des visages bien définis, des traits qui se perdent dans le flou. Des ombres partout, à t'en rendre fou. Tu sombres, tu paniques. Le coeur s'emballe, le rythme cardiaque monte en pic. La respiration se précipite et te rapproche du précipice. Prit de vertige, tu contemples les vestiges. Les tiens ? Tu te plaques contre le mur comme si c'était un endroit sûr. Comme s'il pouvait te sauver de ces regards tous fixés sur toi, de ces illusions que tu vois. Tu gémis, tu trembles, tu suffoques. C'est le chaos dans ton corps, l'anarchie dans ton esprit. On te cogne et tu grognes. Encore. Tes dents se dévoilent, les yeux s'imprègnent d'une sauvagerie animale. Mais tu n'as pas le temps de poursuivre ta transformation. Ils fondent sur toi et t'interrompent, et à nouveau tu tombes.

Des gens, partout autour de toi comme ces fantômes que tu vois. Ceux-ci sont bien réel cependant, et tous les regards sont rivés sur ta personne. Dévisageant cette insolence, cette impertinence qu'on te donne. Tu as osé répliquer. Tu as osé tenter de te rebeller. Le doigt accusateur pointé droit sur toi, geste diffamateur que tous suivent avec cet air réprobateur. Déjà on s'exclame, et sans écouter ton côté de l'histoire on te blâme. Des mensonges proférés sans la moindre once de honte, pourvu que la malice te porte préjudice. On te pousse et te bouscule avec une facilité qui leur prête l'illusion de force d'hercules. Tu n'es qu'une particule ridicule, malmenée par les vagues océan violent qui n'ont de cesse de la heurter sans éprouver la moindre trace de pitié. Les mains frappent le dos, les flancs et les côtes, partout là où elles peuvent te toucher pour te repousser dans des élans agressifs. Les cheveux agrippés et malignement tirés. Les ongles qui s'enfoncent et griffent sous les éclats de rire moqueurs et abrasifs. Ils résonnent à tes oreilles comme une symphonie infinie qui met à mal l'esprit tandis que les tympans sont assaillis par le ressac assourdissant des flots vermeils. L'équilibre précaire qui se perd alors que tu peines à trouver de l'air. Le souffle s'entrecoupe en des bribes d'inspirations, de brusques expirations violemment chassées des poumons. Et ça crame la trachée, ça brûle les yeux emplis d'eau salée que tu refuses de laisser couler. Ne surtout pas céder au réflexe de les fermer. Tu as cette impression idiote que tu ne verrais plus les dangers arriver, alors que tu ne vois déjà plus qu'un épais brouillard criard. Flou de mouvements violents parsemé de rictus méchants. Le cou se cache entre la forteresse des épaules frêles, les bras se dressent pour protéger le visage des attaques qui t'agressent. Et soudain tout s'arrête. Les doigts salvateurs enserrent ton poignet comme un étaux et tirent vers le haut, stoppant la vrille en de nouveaux maux.  Précautionneusement, tu abaisses ton bras sans relâcher la crispation de tes épaules. Lentement, tu relèves les yeux pour croiser le regard furieux. Tu pâlis, tu blanchis, comme si tu avais vu un terrible fantôme alors qu'ils ignorent tous qu'ils peuplent déjà ton royaume. Les lèvres peintes de carmin se pincent et s'étirent en une ligne sévère avant que le blanc des dents n'apparaisse comme dans de furtifs éclairs. Crocs aiguisés tout prêts à t'égorger. ''Qu'est-ce que tu as encore fait, Mihai ?'' La satisfaction morbide alors qu'elle susurre, avide de t'infliger les blessures. Tu as beau murmurer que tu n'as rien fait, c'est comme si les sons refusaient de sortir pleinement de ta gorge. Litanie quasi silencieuse alors que la frustration enfle jusqu'à se faire furieuse. Déjà, le dos de la main s'abat sur ta joue, la sécheresse du coup coupant la fragilité de ta lèvre qu'elle atteint dans le même mouvement. ''Et ne cherche pas à en accuser d'autres pour tes bêtises ! Petit menteur !'' Et derrière ces simples mots, tu entends ses milles reproches qu'elle ne peut t'adresser que par ses yeux qui ne sont plus que glace. Et derrière le venin vicieux qu'elle vomit dans chacun de ses mots, c'est sa haine qui sonne le glas. Et elle résonne en toi d'une façon nouvelle, faisant naître une pointe nouvelle de colère. Celle qui chauffe, et chauffe, et serre les entrailles d'une façon étrangère. C'est une étincelle qui prend vie, qui flambe lorsqu'elle atteint finalement l'huile et se transforme en incendie. Et ça brûle à l'intérieur. Quelque chose qui te dérange, la chair qui soudainement te démange. Les os servent d'instrument de musique à un début de douleur qui y résonne. Cruelle, lorsque les images que tes yeux perçoivent se dissocient et se superposent, se tordent dans des torsions irréelles. Comme si tout autour de toi, c'est la Terre elle-même qui tourbillonne. Ton équilibre vacille, ton attention se perd dans ces effrayantes vrilles. Tu perçois la voix de ta belle-mère à travers une purée de poids, pourtant ses mots, ses phrases et leurs significations ne parviennent pas à toi. La claque suivante en revanche, tu la sens belle et bien. Pique de douleur qui éclate dans ta joue et met le feu aux poudres. Son autre main te relâche, te repousse et tu titubes. Tu part en arrière, incapable de résister aux oscillations étrangères. Ton corps se cambre avant même d'avoir atteint le sol. Souffrance explose comme un volcan, lave qui se répand jusque dans la moindre parcelle. Tu résistes, tu paniques. Ca ne fait que plus mal, incapable d'endiguer l'animal et sa force colossale.

C'est la douleur qui vous réveille. La rage qui vous tire de votre sommeil. Des hurlements qui accueillent votre éveil. Les paupières papillonnent et se rouvrent, observant le cercle qui se disperse selon un champ de vision bien plus grand qu'auparavant. Dédoublé par deux fois, ils se superposent parfois et bien qu'ils soient trois, ils n'en forment qu'un. Le Passé s'abaisse tandis que ses crocs se dévoilent, prêts à attaquer. Agressivité exacerbée, tempérée par le Futur anxieux des représailles et le Présent qui reste haut, qui se contente d'observer la scène malgré sa propre véhémence. Autour de vous, le monde a arrêté de tourner, bien que vous restiez perturbés, bien que la première transformation vous ai épuisé. Migraine qui explose dans vos crânes face à ces sens exacerbés. Les cris persistent à écorcher vos oreilles, les centaines d'odeurs étrangères à heurter vos truffes alors que devant vous, ceux qui vous persécutaient se sont figés en pleurant ou déguerpissent en hurlant. Et puis, vous repérez Manya. Attention happée, complètement captivée. Les gueules s'étirent, les grognements s'en échappent de concert. Vous voudriez la traquer, la chasser, l'écharper vive. La tuer pendant que l'un d'entre vous l'éviscère. Répandre ses entrailles sur le sol tandis que son sang abreuverait la terre pour ce qu'elle a osé vous faire. La précipiter dans ses propres enfers pour épancher votre colère meurtrière. Elle recule, tremblante, hurlant le nom de son mari, pourtant lorsque son regard se pose sur vous, le mépris et la haine se mêlent persistent dans l'océan de sa terreur. Et vous êtes prêts à bondir, à vous jeter sur elle pour l'anéantir. Lui rendre ses sévices au triple. Vous n'en aurez pourtant pas le temps. Trop focalisés pour remarquer la présence qui s'est approchée sans que vous n'en ayez conscience. Douleur sourde et vive qui se répand brusquement, ouragan qui met en furie l'océan. Les vagues déchaînées vous emportent, cette fois. Le noir vous enveloppe et vous tombez.

Tu émerges des souvenirs qui te submergent et rêvent de te voir périr. Le métal mord ta gorge sans pitié, marque la peau là où la chaîne a été enroulée, empêchant l'air de passer. Gémissement étranglé, tu te retrouves à suffoquer. Et ça te crame dans les poumons, ça t'arrache la trachée et tu as cette impression que tes yeux se mettent à brûler. Des gestes saccadés, comme si tu étais à la recherche de quelque chose où t'accrocher pour te retenir de couler. Toujours recroquevillé sur le sol, les doigts montent et grattent l'épiderme sans rien trouver, finissent par se refermer sur ton col. Rien, il n'y a rien. Rien à part la cicatrice pâle qui orne tout le tour de ta gorge là où la chaîne t'avait étranglé et avait arraché la peau à force de frictions il y a une dizaine d'années. Tu t'étais réveillé dans ta chambre verrouillée, attaché au pied du lit comme un chien maltraité. Depuis ce jour, on n'a cessé de te priver de ta liberté, de te délester continuellement de ta dignité. Tu ne sais pas combien de temps tu as passé ainsi, tout juste nourri. Parfois soumis aux regards emplis de mépris. Tu as un peu pleuré, un peu supplié dans l'espoir de te faire relâcher. Pas longtemps, quelques heures seulement. Jusqu'à ce que tu vois le maelstrom dans les yeux de ton père. La terreur, une infime pointe de douleur. L'incompréhension, la honte et l'abandon. Quelques jours plus tard, des hommes sont arrivés. Ta belle-mère les a conduit à toi, un sourire cruel sur les lèvres peintes de carmin. Ils t'ont examiné, lui posant quelques questions de confirmation dans une langue que tu savais être de l'anglais. Parlant la langue depuis ton enfance, tu as comprit qu'ils posaient des questions sur toi et ta transformation fortuite. Le lendemain, c'est dans leur laboratoire, dans une cellule semblable à celle-ci que tu te retrouvais enfermé. Il n'y avait certes plus cette fichue chaîne qui t'étranglait, mais tu n'avais pas tardé à apprendre les subtilités malsaines entre tant d'autres douleurs infligées.

L'eau s'échappe et brouille ta vision, dégoulinant lentement sur tes joues creusées, laissant derrière elle des sillons salés. Non, plus de chaîne, plus rien ne t'étrangle et pourtant tu étouffes sous la peine. Tu forces l'inspiration, lutte contre ce vide qui obstrue ta trachée et t'empêche de respirer. L'air inonde enfin tes poumons mais au lieu de les abreuver, il ne fait que les noyer. Une panique sournoise t'immerge sous les flots, créature marine qui t'attrape par les chevilles et t'entraîne vers le fond tandis qu'une autre te maintien la tête sous l'eau. Et tu as beau te forcer à inspirer jusqu'à t'en faire exploser les bronches, tu as beau te faire tousser et essayer de cracher ce bouchon de rien qui est comme coincé, tu continues à suffoquer. L'obscurité envahi ta vision, taches d'encre projetées qui ne font que se diffuser sans se diluer jusqu'à ce que ce soit dans les ténèbres que tu sois plongé. Compter, tu dois compter. Invoquer cette bulle de vide et de feinte sérénité où te réfugier. Des cris se mettent à résonner dans le bâtiment aseptisé, des hurlements ponctués de silences assourdissants. Étouffés par la porte épaisse de ta cellule, tu en es pourtant inconscient. Tu es trop absorbé par ces chiffres que tu t'obstines à énumérer. Toujours confronté à cette pression fantôme qui te bouche les tympans et te presse contre le sol, à cette anxiété aiguë qui piétine tes poumons sans faire preuve de pitié, c'est à peine si tu entends les alarmes se déclencher. Pourquoi alors réagis-tu aux signaux plus subtils ? Le son d'une respiration sereine, lorsque la tienne sort en sifflements laborieux tant tu peines. La pression écrasante qui s'allège lorsque tu sens le poids de son regard. Tu te forces à revenir, à dénouer ton corps recroquevillé sur lui comme pour se cacher de ce qui cherche à l'anéantir. Tu relèves les yeux, leurs ténèbres et leur éther. Et tu tombes sur l'oeuvre d'art. Le souffle coupé pour une toute autre raison. Il est cette fameuse, cette si belle illusion. Ce fantôme que tu as vu un soir dans le noir. Tu connais déjà le moindre de ses traits. Tu ne sais pas pourquoi il t'a tant marqué, alors qu'il n'avait pas même parlé, qu'il n'avait fait que te regarder. Et tu l'as encore rêvé, fantôme qui t'a hanté si bien que tu as fini par le dessiner. Tu n'as pas besoin de regarder le mur à côté de ton lit pour savoir que là, près du coin gauche, ce sont traits parfaits de l'homme qui sont reproduits au graphite sur le mur autrefois blanc. Lignes fiévreuses, passivement agressives. L'aura radie, dangereuse. Une violence réprimée dans l'inconscience, faisant naître les angles et les creux ciselés de son visage, la dureté de l'expression qui fait gronder dans ses yeux ce même orage. Est-il vrai ? Tu en as l'étrange conviction, tu voudrais tant croire à l'illusion. Mais s'il n'est pas un fantôme, comment serait-il entré ? Comment aurait-il passé la porte de ta cellule blindée ? ''Etes-vous réel ?'' Que tu demandes en un murmure éraillé. Il écorche les cordes vocales, s'accroche sur les lèvres trop pâles et parcheminées. Il faut que tu saches. ''Je vous ai vu en rêve, une nuit...'' Comme une justification qui te fait pourtant sûrement passer pour un fou. Semi-mensonge pour qu'il ne fuie pas, ne te frappe pas en découvrant le monstre que tu es. Même s'il n'est qu'un énième fantôme, tu veux qu'il revienne, le dessiner encore. Et tes entrailles se nouent à l'idée qu'il disparaisse et que tu ne puisses plus le revoir, cherchant à tordre ton corps avec elles.

Tu n'as pas le temps de vouloir disparaître pour te soustraire au bleu glaciaire de ses yeux clairs, pas le tenter de te recroqueviller pour espérer te cacher. La lucarne de la porte coulisse avec une supplication métallique et quelqu'un jette un regard à l'intérieur. Tu discernes d'ici les yeux s'écarquiller, les prunelles se dilater alors que c'est sur lui qu'ils se sont fixés. De nouveaux cris, à peine étouffés cette fois à cause de leur proximité. Tu n'entends pas, mais tu devines très bien. Ils viennent pour lui. Et ça t’emplis de rage autant que d'une sensation étrange que tu crois être de la joie, parce que ça veut dire qu'il est vraiment là. Il n'est pas qu'illusion, il existe vraiment. Ton intuition avait raison. Il est réel. Le bruit des verrous résonne, et lorsque la porte pivote, tu t'es redressé sur tes mains et tes genoux. Tes yeux d'éther lancent des éclairs lorsque plusieurs scientifiques inondent l'entrée de la pièce, armés. Tes lèvres s'ourlent et dévoilent les blancs des dents alors que s'en échappe un sourd grognement. Ils ne te l'enlèveront pas. Possessif sans raison de celui que tu avais déjà rêvé, au point de te rendre dangereusement agressif. Leurs regards se braquent sur toi, hésitant entre vous l'espace d'un battement. Instant de trop. Tu bondis brusquement, fonds violemment sur l'un de ceux qui t'a persécuté et qui est désormais votre proie. Les mâchoires se referment sur sa chaire, une autre paire déchire sa gorge comme si elle n'était rien de plus d'un vulgaire bout de tissu. Le sang gicle et colore tes dessins qui tapissent déjà les murs et le sol. Le sang gicle, et le rouge fleurit sur les blouses qui bientôt n'auront plus rien de ce blanc oppressant. Le sang gicle, et coule en de fragiles ruisseaux ou en torrents qui n'ont rien de subtil. Bientôt, les flaques se feront mares où se noieront organes esseulés et chaires lacérées. Et les mares deviendront des lacs, où pourriront leurs cadavres mutilés. Non pas un mais deux fléaux qui se sont abattus sur ceux qui t'ont tant fait souffrir et se sont vu anéantir. Dieux implacables qui les foudroient de leur sentence irrévocable.

Et lorsque l'on trouvera le charnier, vous serez déjà loin, ne laissant aucune trace de votre départ, ni même de son arrivée. Lorsqu'ils boucleront les lieux du carnage, tu seras enfin en liberté après tant d'années à n'avoir connu que la captivité. Parce qu'il est comme toi, cet homme que tu avais déjà rêvé. Un mutant qui, en une seconde, t'a emmené à l'autre bout du monde, dans ce pays que l'on dit être celui des rêves et de la liberté. Et même s'il t'a déposé devant la grille de cet institut avant de disparaître à nouveau, tu ne peux pas demander plus. Et tu es persuadé qu'un jour, tu le reverras. Parce que tu as cette incompréhensible impression qui le concerne, qu'il y a ce lien qui vous entraîne. Parce que tu as cette étrange conviction que ce n'est pas pour rien que son image t'a hanté. Que, quoiqu'il en sache, c'est pour une raison qu'il t'a sauvé au lieu de t'abandonner ou te tuer. Mais en attendant, tu veux profiter de cette liberté qu'il t'a offerte. Des murs qui ne te restreignent plus. De cette porte de métal, de ces liens d'aciers qui ne t'enferment plus. Après tout ce temps à attendre de mourir, convaincu que tu ne sentirais plus jamais l'air courir sur ta peau, le vent se glisser dans tes cheveux, il est peut-être enfin temps d'apprendre un peu à vivre.

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Adele Ward

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MessageSujet: Re: Izar + But are we all lost stars trying to light up the dark?   Izar + But are we all lost stars trying to light up the dark? Icon_minitimeSam 6 Fév - 2:44

Wahhhhhhhhhhhh rebienvenue love J'adore déjà le personnage ! red
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Cassiopée Harrison

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MessageSujet: Re: Izar + But are we all lost stars trying to light up the dark?   Izar + But are we all lost stars trying to light up the dark? Icon_minitimeSam 6 Fév - 3:09

Je suis troooooop contente de voir enfin Izar!! ** J'ai beaucoup trop hâte de rp avec toi!! heart
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Riley Dawkins

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MessageSujet: Re: Izar + But are we all lost stars trying to light up the dark?   Izar + But are we all lost stars trying to light up the dark? Icon_minitimeSam 6 Fév - 4:00

C'est trop bien! Je te n'aime :D et j'ai hâte de le voir joué ce petit depuis le temps que tu en parles brill
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Luke Holmes

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MessageSujet: Re: Izar + But are we all lost stars trying to light up the dark?   Izar + But are we all lost stars trying to light up the dark? Icon_minitimeSam 6 Fév - 11:00

L'avatar est parfait, je le connais pas, mais il a trop une bonne bouille chou Bienvenue parmi nous, bon courage pour ta fiche ! heart
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Aerin Applegate

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ses cheveux ont la capacité de changer de couleur sur demande, mais ils peuvent aussi produire de la lumière, qui peut s'avérer dangereuse pour les yeux si Aerin est victime d'une émotion forte
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MessageSujet: Re: Izar + But are we all lost stars trying to light up the dark?   Izar + But are we all lost stars trying to light up the dark? Icon_minitimeSam 6 Fév - 12:15

IZAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAARRRRRRRRRRRRR red brill Le don est tellement cool fall
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Izar Vulpesco

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MessageSujet: Re: Izar + But are we all lost stars trying to light up the dark?   Izar + But are we all lost stars trying to light up the dark? Icon_minitimeSam 6 Fév - 17:28

Merciiiiii les chatons love

Adele je suis contente que le personnage te plaise déjà perv
Cassie on pourra se faire ça bientôooot now brill
Riri, oui hein, ça aura prit le temps avant qu'il arrive, Izar mdr
Luke, une bonne bouille dit celui qui joue DeHaan coquin
AEEEEEEEE' (#clubdespersoscutes) thanks pour le don, Fantominus m'avait un peu aidé à trouver le côté cerbère j'avoue coquin
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MessageSujet: Re: Izar + But are we all lost stars trying to light up the dark?   Izar + But are we all lost stars trying to light up the dark? Icon_minitimeSam 6 Fév - 17:47

l'avatar est juste magnifique, il me fait penser à une beauté torturée heart
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Holden Whitfield

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1° Sécrète des phéromones qui obligent les gens alentours à croire tout ce qu'il raconte. 2° Évolution de son premier pouvoir, certains mensonges que raconte Holden se réalisent. Essentiellement sur une durée limitée, compris entre 30 minutes et 2h. [Pouvoir absolument pas contrôlé]
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MessageSujet: Re: Izar + But are we all lost stars trying to light up the dark?   Izar + But are we all lost stars trying to light up the dark? Icon_minitimeSam 6 Fév - 18:19

Citation :
OU AS TU CONNU LE FORUM : Sur internet il y a un moment. Un très long moment d'ailleur.
◊ AS TU QUELQUE CHOSE A DIRE DESSUS : Qu'une chose à dire :
Sa sentait le Souffre et Max savait que le Souffre. Le Souffre.

mdr

Sinon : Monstre never


çavajet'aimequandmême
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Wolfgang Rehmer
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MessageSujet: Re: Izar + But are we all lost stars trying to light up the dark?   Izar + But are we all lost stars trying to light up the dark? Icon_minitimeDim 7 Fév - 0:33

Coucou petit loup. perv
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Izar Vulpesco

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MessageSujet: Re: Izar + But are we all lost stars trying to light up the dark?   Izar + But are we all lost stars trying to light up the dark? Icon_minitimeDim 7 Fév - 1:15

Torturé ? Naaaaaaaan. Jamais. angel

Merci d'avoir relevé Fantominus, je savais que tu saurais apprécier ces citations tirées de ces... oeuvres littéraires troll
Monstre toi même ; Céleste et HPM never etencoreheureuxquetum'aimesquandmême,moiaussi

Wolf-Sauveur. big eyes
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Mael Axley

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MessageSujet: Re: Izar + But are we all lost stars trying to light up the dark?   Izar + But are we all lost stars trying to light up the dark? Icon_minitimeDim 7 Fév - 12:01

    ce qu'il est mignon, et puis ce pouvoir brill rebienvenue !!
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Cassiopée Harrison

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MessageSujet: Re: Izar + But are we all lost stars trying to light up the dark?   Izar + But are we all lost stars trying to light up the dark? Icon_minitimeJeu 31 Mar - 17:22

love brill heart

Juste plein d'amour !!
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MessageSujet: Re: Izar + But are we all lost stars trying to light up the dark?   Izar + But are we all lost stars trying to light up the dark? Icon_minitimeDim 3 Avr - 11:01

Bienvenue ici bas chien des enfers, puissiez-vous trouver votre bonne étoile parmi nous Monsieur Vulpesco.
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Cassiopée Harrison

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MessageSujet: Re: Izar + But are we all lost stars trying to light up the dark?   Izar + But are we all lost stars trying to light up the dark? Icon_minitimeSam 16 Juil - 3:33

litlove heart love étouffé faim fou

Voilà. Plein d'amour. ENCORE!!! heart
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Isaora Fanizzi

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MessageSujet: Re: Izar + But are we all lost stars trying to light up the dark?   Izar + But are we all lost stars trying to light up the dark? Icon_minitimeSam 16 Juil - 13:21

Moi aussi je veux t'envoyer de l'amour !!! heart  heart *lui donne 3 plaques de chocolats* >>>
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Izar Vulpesco

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MessageSujet: Re: Izar + But are we all lost stars trying to light up the dark?   Izar + But are we all lost stars trying to light up the dark? Icon_minitimeSam 16 Juil - 16:10

Rooooh, merci mes petits chats, vous êtes trop cute dingue love in love litlove câlin heart
je vous envoie aussi de l'amour et tout comme ça angel (par contre le chocolat je le mange, faut pas déconner What a Face maisonpeutpartager,cettegénérosité)
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William Wallace

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Xavier's ears and eyes
Bouclier permanent : qu'il soit physique ou mental, rien ne peut l'atteindre, sauf s'il baisse volontairement sa garde, ce qui arrive rarement...
Cuisinier de l'institut
05/06/2015
Channing Tatum
Lion-lame et autres
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MessageSujet: Re: Izar + But are we all lost stars trying to light up the dark?   Izar + But are we all lost stars trying to light up the dark? Icon_minitimeSam 23 Juil - 15:59



Félicitation, tu es validé(e) !
"Un grand pouvoir implique de grandes responsabilités."

Eh beh, voici un perso qui promet une grande amplitude de jeu ! Je suis curieuse de voir comment tu vas le faire évoluer. Il part de loin ce petit ! Et je suis aussi curieuse de savoir qui est l'inconnu qui l'a sauvé ! Mais chaque chose en son temps, pour l'heure des félicitations s'imposent et un bienvenue un brin inutile puisque tu es déjà là lol

Et voilà, tu es officiellement validé(e). Tu as franchi l'étape la plus importante avant d'aller t'enjailler, t'éclater, bref avant de pouvoir RP sur le forum. Mais on est gentils, on ne va pas t'abandonner de la sorte en pleine nature. Donc voici quelques petites étapes que tu peux suivre pour mieux t'y retrouver et t'intégrer.
♓ En passant ta souris sur le gif ci-dessus (magnifique, n'est-ce pas ?), tu trouveras tous les liens utiles qui te permettront d'intégrer ton personnage comme il se doit.
♓ Il est évident que tu es déjà allé lire le règlement, les annexes ainsi que le contexte. Si ce n'est pas le cas, nous t'invitons à le faire après lecture de ce petit message.
♓ Le moment est venu d'intégrer ton personnage. Tu as donc l'obligation de demander une chambre s'il vit à l'institut, ou un logement s'il habite à New York afin qu'il n'aille pas vivre sous les ponts.
♓ N'oublie pas de créer une fiche de liens pour trouver des amis à ton petit mutant (voire plus si affinités !). Par ailleurs, la roulette MAP russe et les demandes de RPs sont là pour t'aider à te lancer.
♓ Pour finir, nous t'informons que ton mutant appartient à la classe des gamma et au groupe des They don't fit in the mould. Tu es également invité à te renseigner sur ton groupe de parrainage qui est le Madmen krakens.

Tu es dorénavant prêt(e) pour débuter cette magnifique aventure à nos côtés !

ENJOY ET ENCORE UNE FOIS, BIENVENUE A L'INSTITUT !
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MessageSujet: Re: Izar + But are we all lost stars trying to light up the dark?   Izar + But are we all lost stars trying to light up the dark? Icon_minitime

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