L'hiver arrive ! Du moins, il est bien arrivé à New-York. Profitez-bien de la neige ! C'est hallowen les amis ! Et si vous faisiez un petit tour par notre sujet commun pour fêter l'occasion ? L'intrigue numéro 6 est toujours en cours ! Pour le moment, tout le monde est encore plus ou moins entier...espérons que cela ne change pas ! Une nouvelle intrigue a fait son arrivée sur MAP ! Pour s'inscrire, c'est ici ! Vous avez une semaine pour vous inscrire !Bienvenue dans cette nouvelle partie du forum ! C'est ici que vous serez informés de l'avancée des intrigues en cours ! Elle est pas belle la vie ? L'intrigue de slenderman est achevée ! Vous pouvez découvrir ou redécouvrir cette aventure ici. Le procès des intrigues de Norvège et de Boston a pris fin. C'est par ici pour en savoir plus !
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- Halvard Stinson -
duco corporis
Tu t'accroches à la seule personne qui t'a filé le frisson éternel. Métamorphose en serpent : Transformation en python royal. Persuasion par contact visuel : Hypnose permettant de donner un ordre à la cible. Branleur, glandeur, élève perturbateur que tu es, détesté par les surveillants et la source de désespoir des enseignants. 11/03/2014 Tom Felton Avatar : @Adament; Gifs profil & Signature : @brooklynofrph, @Adament, Tumblr. 1456
Sujet: Halvard ◊ I lost myself between your legs... Mar 27 Jan - 17:20
◊ NOM :Stinson. Héritage d’un père non-connu, qui a laissé un vide incongru. Des scènes de ton enfance qui viennent t’emplir d’un vide immense. Et pourtant, il t’assure l’accès à la fortune, il pourrait t’envoyer jusqu’à la lune. Dans une consonance tragique, il t’apporte pourtant tellement, enchaînement de syllabes magique. ◊ PRÉNOM(S) :Halvard. Belles intonations qui incitent aux interrogations. Assimilé au nom d’une école célèbre, il provoque la fièvre chez ceux qui le connaissent, qui ont expérimenté la détresse d’avoir son détenteur qui vient faire tanguer leurs cœurs. Noam. Court, loin d’être lourd. Rares sont ceux qui peuvent se targuer d’en être informés, secret dissimulé. Tu n’en soupçonnes pas les origines, les attentions divines. ◊ AGE ET DATE DE NAISSANCE :25 trains sont déjà passés par la gare dans le tintamarre des souffrances que tu causes en toute insouciance. Né le 26 mars 1990, dans la haine et la peine, dans les cris de la personne qui t’a maudit car il était trop tard pour la péridurale. Tant mieux, tu lui as fait mal. ◊ STATUT AMOUREUX : Tu en as connu des nuits de plaisir, des instants de loisir. Le sexe ayant cette saveur exquise de convoitise. Homosexuel, rien à foutre des jugements, des opinions. Tu aimes les hommes en toute somme. Tu aimes leurs odeurs, leurs horreurs. Tu aimes leur dureté et leur fragilité. Tu aimes les écraser, les pulvériser. Et tu offres ton corps, tout en te sentant fort. Que tu sois en dessus ou en dessous, c’est toi qui dictes les règles, c’est toi qui bats des ailes. Tu n’as qu’à murmurer sensuellement dans leurs oreilles pour qu’ils perdent la face et qu’ils trépassent. Célibataire, amoureux des corps, amoureux des torts. Le sexe sans attaches, sans que ton cœur ne lâche. Jusqu’à maintenant, jusqu’à l’apparition du mécréant. ◊ DEPUIS QUAND ES-TU A L'INSTITUT :Bientôt un an alors que ça ne devait durer que quelques temps. Des mois tout au plus, le temps d’avoir assouvi le fantasme de l’étudiant et de t’être tapé tous les présents. Mais au final, tu as réussi à commettre l’imaginable en t’attachant à un endroit où tu es pourtant loin d’être roi. ◊ POUR LES PROFESSEURS&STAFF, LA MATIÈRE ENSEIGNÉ OU SON POSTE : écrire ici ◊ POUVOIR/DON : Métamorphose en python royal & persuasion par contact visuel. ◊ CARACTÈRE : écrire ici ◊ AMBITION : écrire ici ◊ GROUPE : Duco Corporis.
◊ PSEUDO : pipelette. ◊ PRÉNOM : Mo. ◊ AGE : 20 ans. ◊ PAYS : Maroc avant, France maintenant. ◊ FRÉQUENCE DE CONNEXION : ◊ INVENTE OU SCENARIO : Copyright Dra-Mo Queen and his Whore-Mo-Nes. ◊ OU AS TU CONNU LE FORUM : ◊ AS TU QUELQUE CHOSE A DIRE DESSUS : ◊ CRÉDITS : Tumblr.
◊ 001. Un sourire, et ils soupirent. Ils rêvent de te conquérir, de t’acquérir, de t’anéantir. Ce petit bijou au rire qui carillonne, qui résonne et qui déraisonne. Tu leur fais écarquiller les rétines avec ton innocence feinte assassine, ta candeur prétendue mais qui s’évapore lorsque confronté au nu. Un rictus sadique, annonciateur du tragique, qui vient remplacer l’air angélique ainsi que la personnalité candide, chose qui glace le sang des plus intrépides. ◊ 002. La voix séductrice, qui inflige le supplice, qui rapproche du précipice. Elle se fait lente, accablante. Elle envahit les sens dans une sorte de danse dont on ne peut s’échapper, dont on ne veut pas se détourner. ◊ 003. Ces gestes à l’apparence banale, mais qui sont étudiés au final. Un passage de la main dans les cheveux, un clignement des yeux. Un froncement des sourcils sans colère, cette façon avec laquelle tu t’humectes les lèvres. Tout en toi crie la séduction, pousse vers l’aliénation. Tu es créature de luxure, qui n’hésite pas à tout détruire juste pour s’en divertir. ◊ 004. Manipulateur jusqu’au bout des ongles, tu ferais tout pour arriver à tes fins, pour apaiser tes faims. Tu te fixes des objectifs, et les remplis toujours sans être hâtif. C’est dans un rythme calculé et étudié que tu t’avances sans exciter les méfiances, bravant les règles de la bienséance. Tes mots sont doux, mettant tes victimes à genoux. ◊ 005. Ton pire cauchemar? Te plonger dans le désespoir. Une existence monotone, où plus rien ne t’étonne. Ne plus éprouver de plaisir, ne plus connaître le désir. Devenir un fantôme empli d’ire. C’est un rythme impossible que tu imposes à tes cibles, et tu as toujours été satisfait de tes méfaits. Tu as toujours besoin de plus, rarement lassé, t’assurant de prendre ton pied en emprisonnant tes souffre-douleur dans les sueurs d’un paradis infernal et fatal. ◊ 006. Une empathie dont tu es doté par dépit. Une compréhension des sentiments totale, une prédiction des réactions loin d’être bancale. Un seul coup d’œil, et tu sais ce qu’ils ressentent, ce qu’ils cachent avec une difficulté affligeante. Tu sais te servir de cette palette d’émotions avec précaution, de sorte à toujours en sortir gagnant, artiste pourvu de tempérament. ◊ 007. Un vide que tu essaies sans cesse de combler. Le soulagement que tu retrouves entre des cuisses, jusqu’à ce que les cris périssent dans un silence après l’offense. Une expérience que tu bâtis de jour en jour, tu deviens de plus en plus doué dans ce que tu fais. Et te savoir convoité te remplit d’une joie inespérée. ◊ 008. Perfectionniste à la recherche de l’impeccable, ne souffrant pas le minable et le pitoyable. Si tu as à faire, soit tu le fais bien, soit tu ne le fais pas tout court. Chaque détail se doit d’être irréprochable, une précision presque machinale. Et se fondre dans le désordre est une peur qui t’agrippe le cœur. ◊ 009. Un attachement sans pareil pour les animaux mignons. On n’aurait pas pu s’y attendre en voyant ton côté loin d’être tendre. Mais un chat te rend extatique, un chien te rend hystérique. Tu es néanmoins conscient que tu ne peux pas t’en occuper, alors tu te contentes de contempler avec un serrement au cœur, et dans la poitrine une lourdeur. ◊ 010. Faire la fête, jusqu’à en perdre la tête. Varier les plaisirs jusqu’à en mourir. Et l’ennui n’est jamais de la partie, il s’agit d’être toujours sous ton plus beau jour. ◊ 011. Elle comble l’espace entre tes lèvres, se fait fièvre coincée ainsi en envie occasionnelle, sans être éternelle. Cigarette qui se prête à tes caprices sans pour autant devenir vice. ◊ 012. Dégoûté par le goût de la viande, peu importe à quel point elle est tendre. Végétarien non pas par amour des bêtes, mais juste parce que les saveurs te débectent. En parallèle, les frites sont ton plaisir coupable, l’aliment que tu espères toujours trouver à table. ◊ 013. Le désordre, la saleté sont des concepts qui t’échappent. Habitué au luxe et aux belles choses, tu fuis ces imperfections qui t’emplissent d’une frustration sans nom. ◊ 014. tics, manies de votre personnage. ◊ 015. tics, manies de votre personnage. ◊ 016. tics, manies de votre personnage. ◊ 017. tics, manies de votre personnage. ◊ 018. tics, manies de votre personnage. ◊ 019. tics, manies de votre personnage. ◊ 020. tics, manies de votre personnage.
→ quand as tu découvert que tu étais "différent(e)" ? réponse à la question en un minimum de cinq lignes. réponse à la question en un minimum de cinq lignes. réponse à la question en un minimum de cinq lignes. réponse à la question en un minimum de cinq lignes. réponse à la question en un minimum de cinq lignes.
→en quoi consiste ton pouvoir ou ton don ? UC
→ arrives-tu à le maitriser ? est-il dangereux pour ta santé ou celles des autres ? réponse à la question en un minimum de cinq lignes. réponse à la question en un minimum de cinq lignes. réponse à la question en un minimum de cinq lignes. réponse à la question en un minimum de cinq lignes. réponse à la question en un minimum de cinq lignes.
→ est-ce que cela a une influence sur ta vie ? as-tu été exclu par ta famille, tes amis, la société ? réponse à la question en un minimum de cinq lignes. réponse à la question en un minimum de cinq lignes. réponse à la question en un minimum de cinq lignes. réponse à la question en un minimum de cinq lignes. réponse à la question en un minimum de cinq lignes.
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- Halvard Stinson -
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Tu t'accroches à la seule personne qui t'a filé le frisson éternel. Métamorphose en serpent : Transformation en python royal. Persuasion par contact visuel : Hypnose permettant de donner un ordre à la cible. Branleur, glandeur, élève perturbateur que tu es, détesté par les surveillants et la source de désespoir des enseignants. 11/03/2014 Tom Felton Avatar : @Adament; Gifs profil & Signature : @brooklynofrph, @Adament, Tumblr. 1456
Sujet: Re: Halvard ◊ I lost myself between your legs... Jeu 12 Nov - 20:00
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It’s a big bad world outside…
C’est le même cauchemar qui revient à chaque fois, qui s’évertue à te faire crier d’effroi. Des frissons qui courent le long de ton échine, fruits des peurs assassines. Les rétines essaient de s’habituer au noir, tandis que tes genoux se replient pour que tu puisses les entourer de tes bras. Tu n’es qu’enfant apeuré, réclamant un cocon pour le protéger. Le lit est trop grand pour toi, traité comme un roi. Pourtant, tu aurais volontiers choisi la pauvreté si cela pouvait te donner une maman attentionnée. Comme d’habitude, elle n’a pas entendu les hurlements de détresse, ne se réduisant pas à la bassesse de prendre soin de son enfant. Elle se concentre sur sa carrière, en oubliant son rôle de mère. Et tu te retrouves à la merci de tes frayeurs, dans ton monde où pullulent les horreurs. Contemplant les murs en essayant d’ignorer les murmures qui te soufflent des atrocités sans pitié. Esprit torturé par des voix qui n’existent pas vraiment, qui relèvent du dément. Tes petits pieds se déposent sur le sol, malgré la crainte folle. Ton imagination te joue des tours, te faisant croire que des monstres t’entourent. C’est néanmoins dans ta conscience qu’ils résident en créatures avides de ta destruction et de ta perdition. Mais ça, tu ne le sais pas. Car à tes yeux, c’est sous le matelas qu’elles guettent, en continuelle quête de te dévorer et de te ruiner. Pourtant, le courage est la conséquence de la rage de vaincre et de ne plus craindre. Un pas devant le précédent, tu te vautres dans une excitation vis-à-vis de la rébellion. Ils ne te garderont pas dans les couvertures de ta lâcheté, dans une forteresse qui ne pourra nullement te préserver. Et tu t’embarques dans le couloir, l’oppression qui t’éventre, l’affliction au ventre. Les rires résonnent d’en bas, et tu oses encore avoir foi. Descendant les marches l’une après l’autre, tu embarques dans le salon. Sur l’un des fauteuils en cuir blanc, en face d’une bouteille de vin ouverte, un brun au rayonnant sourire, qui attise les désirs et dont la vision est un pur plaisir. Mais ton attention se porte plutôt sur la blonde sulfureuse à côté de lui. Créature délicieuse, qui ravage avec son apparence, responsable de mille et une souffrances. Il y a sept ans, elle t’a mis au monde, dans une colère immonde. Elle a essayé de te tuer pourtant, elle a essayé de se débarrasser de ce démon qui a élu résidence dans son utérus. Ce fétus intrus, qui a osé trouver le moyen de défier les statistiques, dans des circonstances tragiques. Et le voilà qui le dérange, avec son chuchotement timide qui ne fait qu’accentuer son ire. "M-Maman…" Elle t’ignore, sans grand effort. Persuadée que tu n’es qu’une mouche qui s’en ira au bout d’un moment, qui se lassera de son entêtement agaçant. Trop effrayé, les yeux mouillés, tu réitères, dans un désespoir amer. Tu as besoin d’elle, tu as besoin d’ailes pour te sortir du précipice de ton supplice. Et tu oses encore penser qu’elle en a quelque chose à cirer… "Maman…" D’un ton un peu plus assuré, un peu plus déterminé. Cette fois, tu arrives même à attirer la curiosité de l’homme qui fronce des sourcils et qui s’interrompt dans son monologue. Et de longs doigts fins s’empare de sa main virile, la caressant doucement et sûrement. Le charme opère, et il ne regarde plus qu’elle, te reléguant au second plan et reprenant ses paroles comme si rien n’était venu le perturber. Et ton courroux hurle à l’intérieur, la douleur est telle que tu ne contrôles plus rien. "MAMAN !" Les sourcils arqués, le front plissé, la veine qui ressort pour menacer les présents. Et enfin, elle t’accorde un coup d’œil, la glace faisant miroiter ses iris. Un vent glacial vient t’envelopper et secouer tes membres déjà endoloris. Elle soutient ton regard sans sourciller, et fait vaciller ta fougue instantanément. Au lieu de ça, ce sont les larmes qui coulent, ouvertement cette fois. Sans néanmoins provoquer le désarroi, car l’ombre d’un sourire vient courber ses lèvres tandis qu’elle revient à sa conquête avec sa tendresse qu’elle ne réserve qu’à ceux qui lui font des promesses. Tu n’as jamais été suffisant, tu as toujours été le garçon irritant qu’elle s’empêche de jeter à la rue pour ne pas être privée de l’héritage de son ex-mari. Tu es le seul lien qu’elle a avec la fortune, puisque tout t’est revenu sans aucune considération pour la mégère. La seule chose de bien qu’a faite ton père, avant de se jeter par la fenêtre du 15e étage de son appartement à New York. Ou alors elle ne devait pas savoir qu’elle s’est déjà faite déshériter lorsqu’elle l’a poussé. L’homme est déstabilisé, te prenant sûrement en pitié. Tes sanglots retentissent dans le silence qui a fini par s’installer lorsqu’il s’est désintéressé de la génitrice pour le petit garçon malheureux. Et tu peux sentir l’étendue de sa colère, prête à semer la destruction et à administrer la punition. "Dans ta chambre, Halvard." Tu ne veux pas retourner aux kidnappeurs, à ceux qui ne cherchent qu’à te faire peur. Et tu agrippes le tissu de ton pantalon de pyjama, les genoux qui flageolent et la tête que tu secoues de droite à gauche. "Mais… Mais j’ai peur tout seul, Maman." "Tout de suite." Tu baisses tes billes, mais pourtant tu restes immobile, sur place. Juste un peu de considération, un peu d’attention. Quelque chose, quelqu’un pour te sauver de ta solitude, de tes angoisses. "Soit. Tu peux rester ici. Nous, on s’en va." Elle se lève et une nouvelle fois, elle fait comme si tu n’étais pas là. Des regards suggestifs qu’elle lance au mâle, qui hésite et garde ses pupilles rivées sur toi. "Tu préfères rester avec le gosse plutôt que de venir dans la chambre à coucher?" Tu sais son indignation, qu’elle voile sous le ton de la plaisanterie. Ce dernier finit d’achever et de charmer ton allié qui hausse les épaules d’un air désolé et qui t’abandonne ici aussi, dans l’obscurité de ton existence.