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L'hiver arrive ! Du moins, il est bien arrivé à New-York. Profitez-bien de la neige !
C'est hallowen les amis ! Et si vous faisiez un petit tour par notre sujet commun pour fêter l'occasion ?
L'intrigue numéro 6 est toujours en cours ! Pour le moment, tout le monde est encore plus ou moins entier...espérons que cela ne change pas !
Une nouvelle intrigue a fait son arrivée sur MAP ! Pour s'inscrire, c'est ici ! Vous avez une semaine pour vous inscrire !
Bienvenue dans cette nouvelle partie du forum ! C'est ici que vous serez informés de l'avancée des intrigues en cours ! Elle est pas belle la vie ?
L'intrigue de slenderman est achevée ! Vous pouvez découvrir ou redécouvrir cette aventure ici.
Le procès des intrigues de Norvège et de Boston a pris fin. C'est par ici pour en savoir plus !
L'admin qui s'occupe des annonces tient
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  ALEXANDER ◮ « I GO WILD »

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MessageSujet: ALEXANDER ◮ « I GO WILD »    ALEXANDER ◮ « I GO WILD » Icon_minitimeVen 26 Aoû - 15:52



~ Alexandre Henderson Wolfgang ~


Salut la compagnie ! Tu ne me reconnais pas ? C'est moi, Alexander H. Wolfgang, ou plutôt connu sous le surnom de Alex. Tu te souviens aussi, j'ai 25 ans ans d'existence, et une vie bien remplie. Je suis né le 15 Novembre , dans la magnifique ville qu'est New-York, en Amérique bien sûr. Ma vie à moi, elle est passionnante, tu sais mon métier c'est trafiquant d'armes, je fais avec, ça permet de me nourrir en fin de moins, c'est déjà ça. Sentimentalement, je suis Hétéro, mais surtout : je suis marié, et fière de l'être. On dit que je ressemble à Sean O'Pry, et je fais partie du groupe les parisiens.



~ you are the dancing queen ~

Ici, vous devez répondre à quelques questions qui ont un rapport avec le groupe que vous desirez. Pas besoin de faire dix lignes, trois à cinq suffiront. Message à effacer.

Comment se passe ta vie dans la capitale française ? La vie y est "tranquille" ; pour un individu qui a passé son existence à côté des champs de bataille, entendre désormais seulement des orgasmes le soir ou la voix d'alcooliques, il y a du progrès. Pour une fois que je reste plus longtemps qu'une semaine dans une ville, cela est salvateur. Réparateur. Tu es au courant de la prostitution massive dans cette ville ? J'ai peut être en effet eu conscience de ce qu'il se trame, et je suis peut être avec une demoiselle qui a pas mal travaillé dans cette branche. La tentation est grande, très grande : j'ai l'argent, il y a de l'offre, difficile parfois de ne pas être demandeur. Tu en penses quoi ? Chaque homme a ses vices, et plus d'une femme a appris à convertir ceci en billets. En petites coupure. Ce n'est pas si malsain que cela, je ne peux de toute façon pas juger : il y a probablement des hommes qui meurent sous les armes et balles que j'ai vendu. Les prostituées donnent du plaisir, elles. Et si un proche à toi baignait dedans, tu réagirais comment ? Hum, j'ai menotté ma compagne avec un anneau pour éviter qu'elle retourne dans ce milieu : je n'ai jamais été un parangon de vertu mais il est difficile d'être avec quelqu'un alors que celui-ci peut être payé l'heure d'après pour ouvrir les jambes. Néanmoins, il est toujours bon d'avoir des contacts dans la prostitution : pour des passes-gratuites. Tu as déjà fais appel à une ou une prostitué(e) ? Je suis un client régulier, un peu édulcoré depuis mon accès à un état d'individu marié. Mais un pêché reste un pêché, qu'importe à quel point on l'enterre, il trouve toujours assez de force pour ressortir.



~ we are who we are ~

Je suis Citizen, j'écume les rpg depuis x années, et plus cela avance, plus je me dis que je ne vais jamais arrêter : j'ai trouvé le forum grâce à ma partenaire, l'ayant repéré dans les projets (endroit que je n'observe guère, je dois l'avouer). J'ai été emballé, même si Paris n'est pas ma ville favorite, pour une fois qu'un forum s'emploie à éviter les contextes lambdas si puérils, si innocents. J'ai la nausée des rpg trop bien sous tous les angles. Alors me voilà pour apporter mon style porno 😇 ; non, me voilà pour montrer qu'un individu de type masculin peut se cacher derrière un personnage masculin. Et puis, au vu de tout le beau monde qui prépare/a fini sa fiche, j'ai hâte de rentrer en contact (plus ou moins violent) avec tout ça.


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MessageSujet: Re: ALEXANDER ◮ « I GO WILD »    ALEXANDER ◮ « I GO WILD » Icon_minitimeVen 26 Aoû - 15:53




~ i'm just a holly fool ~


bad trip



DOCUMENT EN ENCART : 12/3/87. Transcription d'un appel au commissariat Fitzgerald de New-York. Enregistrée à deux heures et quart du matin — Marqué : PIÈCE A CONVICTION DANS LE PROCÈS WOLFGANG — Interlocuteurs : Agent de police Elisa M. Huntington, Cathy F. Wolfgang

EH. — Allô, ici le poste de police Fitzgerald, quelle est la raison de votre appel?
CW. — Je vous en supplie, venez au plus vite!
EH. — Madame, veuillez expliciter les raisons de l'urgence, le lieu où vous habitez et votre identité.
CW. — Je... je suis Cathy Wolfgang, mon mari est devenu incontrôlable. Je crois qu'il a tué notre voisin!
(bruits de chocs, sur une porte)
EH. — Madame...
CW. — Nous habitons au 97851, Baker Avenue, je me suis enfermé dans le salle de bain mais cela ne durera pas!
EH. — Madame, j'envoie une patrouille immédiatement, ne quittez pas.
CW. — Oh ! Mon fils !
(voix indescriptible en arrière-fond)
Je ne t'ai pas trompé, je ne t'ai pas trompé ! Laisse Alex hors de tout ceci !
EH. — Madame, indiquez-lui que vous êtes en liaison avec les forces de l'ordre.
(voix très faible retranscris approximativement)
CW. — .. tu es un malade mental, un malade mental ! [...] non, je t'en prie ! [...] arrête !
EH. — Madame, Madame?
(bruits de coups de feu)
EH. — Madame, vous êtes encore là?
(fin de l'appel)


anarchy & guns



Un AK-47 vaut 300 dollars au marché noir. 600 coups par minute / pèse 4,3 Kg non chargé, 5,17 quand il l'est / 30 cartouches / portée efficace sur 450 mètres mais peut atteindre une cible jusqu'à 1000 mètres. Il maniait l'arme entre les mains, observant les différentes parties de l'AK; jugeant l'état des pièces, le recul, le moindre détail pouvant prouver qu'il s'agissait d'un fusil en fin de vie. Ou à même d'en prendre. Il s'alluma une clope. Jacob lui avait dit de ne pas fumer à proximité des armes, des munitions, mais Jacob était mort. Il y a bien des années. Dans une stupide vente d'armes au Pakistan. Alexander était américain : Alexander se considérait orphelin. Son passé baignait dans une flaque de sang, littéralement. Il s'était construit une vie grâce à Jacob, son oncle. Le Glock 17 ne le quittait jamais : 17 balles dans le chargeur, normalement, mais il l'avait upgradé pour en avoir 19. Deux balles supplémentaires, cela parait futile ; mais il ne lui en fallait qu'une seule pour tuer un homme. Le pistolet pesait moins d'un kilo, et il le calait souvent dans son dos, entre son jean et son boxer. Pour le sortir rapidement, cela nécessitait de l'entraînement. Alexander était à une cache d'armes d'un de ses contacts, en Angleterre : les affaires l'entraînaient à sillonner le globe. Les pays civilisés avaient le matériel. Les pays non civilisés avaient les acheteurs. « Tes AK commencent à dater, j'en prends pour quinze mille dollars. » L'autre rechigne. L'autre se tasse sur lui-même. L'autre argumente. Alexander ignora ce qu'il disait, prenant une arme, la chargeant, toujours avec une cigarette au bord des lèvres. Il épaula l'AK, fit semblant de viser l'autre : visa en réalité vraiment l'autre. Trois balles partirent. La vessie du vendeur lâcha. Les projectiles allèrent s'encastrer dans le mur de derrière, créant une légère pellicule de poussière. « J'ai visé ta tête, remercie que tes armes soient dégueulasses : soit tu t'en débarrasses au prix que j'ai donné, soit tu vas chercher un autre acheteur encore bien moins conciliant que moi. » La transaction fut enfin fructueuse. Il invita les hommes bossant pour lui à charger les caisses dans les camions : direction la planque, direction l'entrepôt.

Le commerce d'armes peut s’assimiler à n'importe quel autre. Aux vêtements, à la prostitution, aux actions, à l'alcool, aux cigarettes, à la drogue. Il y a la demande ; il y a l'offre. Si l'un est conséquent, l'autre est cher. Vice/versa. Parfois, les modes existent : il y a un mois, tout le monde voulait un M72 LAW, un mini-lance-roquettes, histoire de baiser les chars ou la Mercedes du voisin. Alexander s'adaptait. Alexander avait dans ses contacts quelques dictateurs, et leurs opposants/chefs rebelles ; il fournissait, fournissait, fournissait. Ses vacances se résumaient à ne pas entendre siffler les balles pendant deux jours, soit le temps qu'il lui fallait pour ré-obtenir de la marchandise. Pour les livraisons, il faisait appel à une équipe qu'il avait constitué, formé : mexicains, allemands, anglais, même un suisse. Ces hommes, à force de commercer avec des salopards, avaient appris à remercier le fait que Wolfgang ne leur avait pas encore coupé une main pour avoir emprunté parfois de l'argent. Il fermait parfois les yeux, pour mieux les ré-ouvrir : bien plus efficace que de punir directement. Les hommes avaient une dette envers lui. Alexander se cala dans une chambre d'hôtel, à Bristol, se reposant. Son père était encore en taule. Il avait flingué trois personnes au cours d'une nuit où les seuls souvenirs qui lui restait étaient des pieds : il s'était caché sous un lit, les voix étaient fortes. Les bruits aussi. Première fois qu'il avait entendu une arme à feu. Cela l'avait marqué. S'était incrusté en lui. Jacob baignait à peine dedans, il recelait surtout des cartouches : avec Alexander, il avait expérimenté bien plus. Maintenant, il fournissait le monde entier. Même l'Amérique. Son paquet de clopes arriva à son terme. La télévision endiguait les bonnes nouvelles, se concentrant sur toutes les mauvaises. Le chaos progressait. Le chaos était un estomac à jamais insatisfait. Il entendit du bruit dans la piaule voisine. Des élévations de voix. Il soupira. Les choix les plus importants sont souvent faits dans l'insouciance. Alexander en eut conscience bien après, que le fait d'être sorti de sa chambre pour aller dans la voisine allait constitué le prologue de quelque chose bien complexe.


horny relationship


Une légère migraine avait assailli son crâne ; il se massait les tempes pour la faire fuir. Il frappa à la porte de la chambre d'hôtel — juste avant, le bruit d'une claque avait retenti. L'amour. Un type lui ouvrit, énervé, torse nu, le jean mal remis. « QUOI? » Alexander vit, en arrière-plan : une demoiselle. A terre. Saignant sur le bord d'une lèvre. Se tenant la joue. Ayant des larmes aux yeux. Séduisante, en porte-jarretelles. Visiblement sonnée. Visiblement en sale état. « Tu es tombé sur le mauvais voisin. » L'autre leva un sourcil, commençant à pivoter la tête sur le côté : ceci est le symptôme d'un désir de frapper. Alexander connaissait le tic. Alexander se baissa quand le poing chercha son nez. Il se recula un peu, histoire de pouvoir étendre son pied : celui-ci prit appui sur le ventre du connard, le propulsant dans la chambre sans qu'il ne comprenne comment. Le trafiquant d'armes pénétra dans la chambre d'hôtel. N'oubliant pas de ferme la porte. Le baston dura cinq minutes. L'autre avait beau être classieux en smoking, lorsqu'il était à moitié poil et avec une érection entre les jambes, il n'était qu'un vulgaire être humain. Alexander bloquait ses misérables attaques, lui brisant un bras, lui cassant le nez, l'envoyant cogner les murs, esquivant les objets qu'il lui envoyait, donnant un coup de genou à l'entre-jambes, et le finissant finalement lorsqu'il était à terre d'un crochet du droit. Il avait dû essuyé quelques coups, ses côtes lui faisaient un mal de chien, il saignait lui-aussi des lèvres maintenant. La nana avait activé le repli dès le début, observant la scène sans trop comprendre. Alexander s'approcha d'elle, lui refilant sa veste pour camoufler ses courbes sulfureuses. « Et si l'on changeait d'hôtel? » se contenta-t-il de lui dire pour ses premiers mots.


Une semaine plus tard, dans le même lit, son corps nu caché sous les draps. Celui de la jeune femme, Adrianna, dissimulé aussi. Deuxième fois qu'ils baisaient : la première avait eu lieu à "l'autre hôtel", et il l'avait payé. Elle avait sorti son couplet 'tu as joué le bon samaritain mais ça ne permet pas une passe gratuite". Alexander avait senti qu'elle mourrait cependant d'envie de le remercier. Il avait passé du temps ensemble, après la baise, à discuter. A se soigner mutuellement. Il s'était engagé à quelques confidences lorsqu'elle avait vu une caisse d'armes, lorsqu'elle lui avait demandé d'où il tenait cet façon de se battre. Pour une fois, il n'avait pas esquivé, trop usé et lassé de prétendre être quelqu'un d'autre. D'ici peu, il changerait de pays et elle ne se souviendrait de lui que durant ses nuits en proie à la solitude. Elle caressait son torse tandis qu'il fumait : elle voulait apprendre à tirer. Un individu voulait devenir son mac, chose qu'elle refusait. Alexander caressa sa croupe, posant un baiser au bord de ses lèvres. « J'ai encore quelques jours devant moi, je peux te former, mais ce serait plus rapide si tu me donnais le nom de cet homme. » Non, elle ne voulait pas le remettre dans le danger ; ils se lèvèrent, montèrent dans une bagnole et s'en allèrent dans un terrain de vague. La bonne vieille méthode des bouteilles vides, au loin, et pan pan, vise et brise ces salopes. Pense à ces êtres que tu hais, imagine leurs visages ; pan pan. Place toute ta hargne, écarte bien les jambes (oui, comme au lit, mais pas totalement), respire profondément, fais attention au recul. Il y eut une, deux, trois séances. Pas de baise. Étrangement, maintenant qu'ils se connaissaient, l'acte ne leur paraissait plus aussi futile s'il était perpétré. Mais il la caressait, mais elle aimait se caler tout contre lui tout en tirant. Il la laissa un matin, à même de se défendre : il lui répéta d'employer l'arme pour dissuader, surtout. Demain, Alexander se barrait en Afrique. Ses valises étaient prêtes. Ses clopes s'enchaînaient dans son appart'. Il allait regretter Adrianna. Première fois que cela l'emmerdait véritablement de se déplacer. Minuit débarqua, tout comme la prostituée : tremblante. Les larmes presque aux yeux. Alexander, lui ayant ouvert sa porte, comprit avant même que les lèvres pulpeuses ne prononcèrent un mot : elle avait tué un homme.

Le mariage fut sobre. Le mariage n'était pas "nécessaire", mais il avait été fait malgré tout. Alexander, après l'aveu du crime d'Adrianna, en était venu à aller nettoyer les lieux du meurtre. C'était de l'auto-défense mais aucun témoin. Avec son job, Adrianna risquait la prison : pour longtemps. Tout ceci nécessitait de la rapidité. La nuit fut longue. Il appela un de ses contacts qui fabriqua un passeport à la jeune femme, et avant même qu'elle ne comprenne, elle était dans le sillage du trafiquant d'armes. Voguant dans un avion, se faisant passer pour sa femme : jusqu'à ce qu'Alexander décide d'officialiser tout cela. Ils baisèrent ensemble, pour la troisième fois, durant la lune de miel. Par "habitude", il voulut la payer, lui rappelant le fait de ses passes gratuites forbidden ; elle indiqua qu'elle ne travaillait pas en se mettant à nouveau à le chevaucher.

Body next to body


Amérique. Asie. Afrique. De pays en pays. Dans l'avion. Dans des lits. Contre des murs froids. Les Wolfgang communiquaient ; les Wolfgang baisaient. Marchandaient. Adrianna voulait apprendre, et vite. Les clients levaient un sourcil en voyant cette jolie poupée, se demandant ce qu'elle faisait : sa place étant, dans leurs esprits, à genoux ou attendant docilement au foyer conjugal. Elle testa des armes devant des acheteurs, démontrant ses compétences. Alexander observait l'évolution. De la prostituée un peu à la dérive à la marchande d'armes sulfureuse, répondant aux sarcasmes par l'ironie, étalant ses compétences. Alexander aimait avoir de la compagnie. Parfois, l'envie de la préserver (de la laisser à l'écart du business) le submergeait mais il n'en faisait rien. Leur relation était très bien ainsi. A se perdre dans des orgasmes et des liasses de dollars. A apprendre de nouvelles langues, ou à employer celles qu'ils possédaient à des fins salaces.

Un soir, de passage éclair en Angleterre, elle débarqua dans la piaule en sous-vêtements sexuels. Porte-jarretelles, ensemble noir, bien décidée à se payer du plaisir : elle l'entraîna à s'asseoir sur une chaise, l'effleurant, le caressant, tout en confiant à ses courbes. Elle se laissait faire, un peu. Ils s'embrassèrent. Puis elle extirpa une paire de menottes, sans prévenir, le bloquant sur la chaise : ses deux mains indisponibles pour le moment. Il ragea. Elle posa un doigt sur ses lèvres. Puis elle déroula son show. Ses fesses se promenant contre son entre-jambes, ses hanches ondulant, son pied se plaçant entre les jambes d'Alexander, ses propres mains passant sur son propre corps. Descendant entre ses reins, mimant une masturbation et l'extase en résultant. Elle se cala tout contre lui, assise, perdant des baisers à son cou. Elle invoqua un désir : arrêtons de courir partout dans le monde. Fixons-nous. Fixe-moi dans un logement, que l'on arrête de courir après la guerre, le sang. Alexander ne disait rien, étudiant mentalement l'offre. Ils avaient assez d'argent pour partir déjà en retraite, mais il y avait toujours des imprévus, et plus ils possédaient du fric, plus les imprévus resteraient minimes ou inexistants. Elle fit mouvoir son bassin, chercha à le persuader par des vagues corporelles qui lui créait une trique dantesque. Elle glissa ses lèvres contre son oreille. Je te ferais ce que tu veux, ou tu pourras faire ce que tu veux de moi : si l'on continue à vivre comme ça, notre mariage est menacé. L'intégrité de notre relation sera en danger. Lassitude, routine, ennui. Sa poitrine s'écrasa son torse. Pense à un appartement, loin de tout. Ou une maison. Une villa. Nous deux, dans une piscine. Dans la salle de bain. Bien au chaud dans un lit. On vivrait, au lieu d'apporter la mort. On pourrait continuer le commerce en embauchant d'autres types. Alexander laissa traîner ses dents sur le cou d'Adrianna : il se sentait parfois d'humeur vampirique, surtout lorsqu'elle était nue ou dans une telle tenue. Ou même simplement là.

Okay, souffla-t-il. Paris, répondit-elle. Vous êtes une femme d'affaires sachant exactement où vous voulez aller, lança-t-il. J'ai eu un bon enseignant, gémit-elle. Nouvelle leçon, lança-t-il. Les menottes tombèrent au sol. Mr. Wolfgang était parvenu à les ôter une minute après qu'elle l'avait piégé, les gardant par jeu. Il la souleva de la chaise. Il l'emporta sur le lit. Il perdit son jean/boxer, elle descendit un peu sa culotte : il s'engagea jusqu'à la garde en elle. Miss Wolfgang perdit un soupir au creux de son cou. Il entraîna son bassin encore un peu plus profondément. Elle projeta un regard suppliant : d'augmenter la cadence, de la brûler entre les reins. Alexander s’exécuta, retirant son haut, laissant les doigts fins de son épouse épousseter ses courbes. Les ongles menaçaient parfois la peau. Il malmena sa poitrine. Il malmena son entre-jambes. Il fit descendre un peu son soutien-gorge pour que ses dents octroient du plaisir supplémentaire au sommet de ses seins. Elle en vint à avoir les jambes qui formaient un M avec son corps : cela lui permettait d'aller jusqu'à la garde. De la faire gémir, murmurer son prénom, hurler peu à peu. Ils inversèrent les rôles. Elle se déhancha sur lui, elle s'empala sur lui. Sa queue disparaissait/réapparaissait. Il haletait. Elle se mordait les lèvres. Durant de longues minutes, à froisser les draps, à déplacer leurs corps dans d'autres positions : plus ou moins obscènes, à se faire l'amour, leurs bagues de mariage se frottant l'une contre l'autre quand leurs mains se joignaient. En plus de leurs bassins. Adrianna, ex-prostituée, remerciait à chaque coup de rein d'avoir été tiré des ennuis/par lui. Ils atteignirent l'orgasme presque en même temps.

Ils emménagèrent à Paris, visitant la ville, améliorant leur français. Traînant à des cafés, se baladant dans la rue : lui le tenant par la taille, elle l'attirant comme une gamine dans toutes les boutiques qui faisaient chavirer ses yeux impétueux. Alexander se sentait humain. Alexander apprit à dormir, la nuit, sans rêver d'automatiques, de grenades en fragmentation, de mines claymores. Les jolies filles ne manquent pas pour autant, dans la capitale, ni les hommes. Parfois, il observe Adrianna dormir. Remontant la couverture sur son corps, passant un doigt sur une joue, dans ses cheveux. Peur de la perdre, peur qu'elle le trahisse, peur qu'il la trahisse. Il ne sait pas s'il est amoureux, si c'est la bonne : juste que le monde revêt désormais des couleurs attrayantes et qu'il lui doit ça.








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MessageSujet: Re: ALEXANDER ◮ « I GO WILD »    ALEXANDER ◮ « I GO WILD » Icon_minitimeVen 26 Aoû - 15:54

bienvenue jolie garçon :angeel: bonne chance pour ta fiche.
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MessageSujet: Re: ALEXANDER ◮ « I GO WILD »    ALEXANDER ◮ « I GO WILD » Icon_minitimeVen 26 Aoû - 15:55

SEAN ㊙
Excellent choix, et bienvenue parmi nous heart
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MessageSujet: Re: ALEXANDER ◮ « I GO WILD »    ALEXANDER ◮ « I GO WILD » Icon_minitimeVen 26 Aoû - 15:57


OMG SEAN!! Viole moi!!!! ㊙ bave red Bienvenue! J'exige un lien perv
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MessageSujet: Re: ALEXANDER ◮ « I GO WILD »    ALEXANDER ◮ « I GO WILD » Icon_minitimeVen 26 Aoû - 15:58

    Wow, c'est de l'accueil rapide.

    Merci Anna ㊙

    Et je ne viole que les femmes, Newton, principe de la maison 😇
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MessageSujet: Re: ALEXANDER ◮ « I GO WILD »    ALEXANDER ◮ « I GO WILD » Icon_minitimeVen 26 Aoû - 16:01


*boude* Tu céderas à la tentation! :gna:
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MessageSujet: Re: ALEXANDER ◮ « I GO WILD »    ALEXANDER ◮ « I GO WILD » Icon_minitimeVen 26 Aoû - 16:02

pas besoin de me violer, je consent ㊙ il a de ces yeux !
bref, bienvenu ici et bonne chance pour ta fiche :frenchkiss:
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MessageSujet: Re: ALEXANDER ◮ « I GO WILD »    ALEXANDER ◮ « I GO WILD » Icon_minitimeVen 26 Aoû - 17:28

    C'est pas toi, c'est moi qui te viole ㊙
    Bienvenue What a Face
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MessageSujet: Re: ALEXANDER ◮ « I GO WILD »    ALEXANDER ◮ « I GO WILD » Icon_minitimeVen 26 Aoû - 19:45

Olà, on se calme mesdames !
*montre son annulaire tout fièrement*
Il est à moi :angeel: ㊙
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MessageSujet: Re: ALEXANDER ◮ « I GO WILD »    ALEXANDER ◮ « I GO WILD » Icon_minitimeVen 26 Aoû - 19:55

    L'un n'empêche pas l'autre ! :diable:
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MessageSujet: Re: ALEXANDER ◮ « I GO WILD »    ALEXANDER ◮ « I GO WILD » Icon_minitimeVen 26 Aoû - 20:11

    Je suis désolé Newton ; je ne jure que par les femmes sulfureuses ㊙

    Je note Juliette que tu es prête à t'adonner à de l'exercice with me perv
    Et une Marloes qui me viole? Je veux voir ça angel

    Mais la meilleure reste ma Adrianna red

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MessageSujet: Re: ALEXANDER ◮ « I GO WILD »    ALEXANDER ◮ « I GO WILD » Icon_minitimeVen 26 Aoû - 21:33

Sean brill Excellent choix.
Bienvenue parmi nous ♥️
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MessageSujet: Re: ALEXANDER ◮ « I GO WILD »    ALEXANDER ◮ « I GO WILD » Icon_minitimeSam 27 Aoû - 13:55

    han mon amour :genoux:
    hurm, je déconne, bienvenue! heart
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MessageSujet: Re: ALEXANDER ◮ « I GO WILD »    ALEXANDER ◮ « I GO WILD » Icon_minitimeMer 31 Aoû - 15:20

    Thanks Ava ; et catwalk ㊙
    Je t'aurais bien violé si t'étais une nana 😇
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MessageSujet: Re: ALEXANDER ◮ « I GO WILD »    ALEXANDER ◮ « I GO WILD » Icon_minitimeMer 31 Aoû - 17:21

Je te valide heart
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MessageSujet: Re: ALEXANDER ◮ « I GO WILD »    ALEXANDER ◮ « I GO WILD » Icon_minitime

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