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L'hiver arrive ! Du moins, il est bien arrivé à New-York. Profitez-bien de la neige !
C'est hallowen les amis ! Et si vous faisiez un petit tour par notre sujet commun pour fêter l'occasion ?
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 I believe, i can fly. FEAT Wade Lester.

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Wade Lester

Feuille de personnage
statut: administrateurclasse gammaspicy squirrels
- Wade Lester -
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T'as pas le choix, tu ressens rien, tu es vide, froid. Un cerveau dans une boite alimenté en oxygène par un muscle qui te ment. Tu peux pas.
empathie & apaisement par le toucher: il ressent tout ce que les autres ressentent. Il les comprend mieux que n'importe qui et peut même les apaiser en les touchant. Lui, ne ressent rien par lui-même. Seulement les sentiments des autres lui font vivre ces émotions qu'il a perdu depuis des années.
professeur de biochimie et chercheur de l'institut
02/03/2014
sebastian stan
batteryfox & tumblr
401

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MessageSujet: Re: I believe, i can fly. FEAT Wade Lester.   I believe, i can fly. FEAT Wade Lester. - Page 2 Icon_minitimeDim 1 Fév - 23:37

Tu parlais avec une extrême sincérité, un œil ont écrit du monde. Tu la voyais comme tout le monde devrait la voir, une femme brisée, abîmée et pourtant rayonnante, lorsqu'on la laisse briller, pas comme toi, tu l'avais fait. Tu t'y connaissais alors, dans ses pertes d'éclats, dans ses chutes d'humeur. Tu pouvais en jouer par tes mots, tes gestes. Tu pouvais tout faire oublier, ou tout rappeler dans la seconde, sans t'en rendre compte, sans vouloir blesser. Trop arme contre elle, trop apte a jouer de ses sentiments, tu aurais préféré être désarmé, ne pas être capable de blesser ta paire porcelaine ébréchée que tu chérissais tant, au fond de toi, sans le savoir. Peut-être que tu t'en étais rendu compte mais refusait de te l'avouer ? C'était une trop belle réalité non, penser a elle lorsque tu croisais des amoureux. Qu'elle effleure ton esprit à se moment là et que cette pensée te réchauffe le cœur, étais-ce seulement du au couple se bécotant non loin ou bien, elle jouait une part là-dedans, boostant les émotions que l'ont te forçait de ressentir ? Tu n'en savais rien, tu savourais en silence, espérant être à leur place au lieu de les fuir. Oui, tu ne cherchais plus a fuir les amoureux, plus trop. Tu appréciais, pour l'avoir connu comme eux, animant ton sourire comme un ancien regardait les plus jeunes, partagé entre une certaine fierté et de vieux souvenirs.

Tu la regardes se perdre dans tes mots comme si tu lui révélais le monde, comme si tu ouvrais son regard sur quelques choses de si lisible pour toi, comme le ciel est bleu ou le ciel se lève. De tes yeux, cela semblait normal tout comme des siens, tu étais aimé de tous, de trop. Alors que dans vos réalités, elle ne se voyait pas comme la jeune femme attachante à qui tu t'étais offert pour son seul plaisir. Comme toi, tu n'étais pas un être aussi aimé qu'il le paraissait, tu ne faisais que plaire physiquement autres autres. Tu n'étais que cette jolie boîte, qui sonnait creuse et énormément de place pour aimer. Étrangement la première choses lui revenant a l'esprit c'est sa robe, a l'envers, ce qui ne manque pas de te faire rire. « Et moi je comprends rien quand tu signes.» il et vrai que tu n'as jamais apprit cet art, et que ton incapacité a la comprendre parler avec ses mains te donne l'air en un écervelé, d'un idiot, tu devrais sérieusement apprendre, au moins pour elle.

« Je suis d'accord, alors. Réglons nos problèmes d'abord pour voir les communs ensuite. Parce que c'est bien de toi que je parle, tu n'as pas d'inquiétudes à te faire là-dessus. » Tes doigts enlacent les siens avec douceur, vous êtes unis d'un étrange lien, d'un amour étrange qui recommençait à fleurir dans ton cœur. C'est parce que vous vous touchiez, sûrement. Tu évacuais toutes ses peines, la soulageais, vous soulageais de tous maux. Par le simple biais de vos doigts entrelacés, découvrant leurs confrères, se chahutant pour votre confort, votre bien être dans ce moment de tendresse tout a fait privilégié, unique que tu ponctuais d'un sourire timide, autant que vous pouviez l'être, intimidés. « D'accord, on fera de notre mieux tous les deux. Je veux juste que tu sois heureuse, et aimé. Que ce soit par moi, ou par un autre. Tu le mérites. » Si seulement elle savait, a quel point elle méritait de l'amour. Qu'on la serre dans ses bras, qu'on lui murmure que tout allait bien se passer. Elle en avait besoin. Elle devait avoir ça, au moins une fois dans sa vie. Tout comme d'une maman attentionné, une maison où elle se s'étirait chez elle, à sa place... « Ça n'a rien à voir, et tu n'es pas forcée de dire oui, mais je me demandais si avant que tu partes, tu ne voudrais pas venir avec Graham et moi, fêter Noel avec notre sœur et notre mère...On aura des gâteaux et son superbe chocolat chaud et Mari passera son temps à vouloir te coiffer les cheveux, mais je pense, qu'elles seront heureuse de t'accueillir pour les fêtes. Ça ne dérangera absolument personne. Ça te dit ? » L'idée te paraissait judicieuse, plaisante, sur le coup. Lui offrir un Noël en famille plutôt que le passer toute seule était un mieux, quelques choses de réalisable si elle le souhaitait. Si ta présence ne la dérangeait plus tant que cela.
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Seven Owlbreaker

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Célibataire. Point.
Elle peut ressentir le futur et le passé. L'entendre, en sentir des odeurs, en subir les douleurs ou simplement ressentir des sentiments liés aux moments de la vie d'une personne ou d'un lieu. Elle pousse aussi un cri qui effraie et fait souffrir la personne physiquement. Ce cris prévient d'une mort éminente.
Intendante. Professeur à remplaçant de maths, sciences et biologies.
09/12/2013
Elizabeth Olsen.
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MessageSujet: Re: I believe, i can fly. FEAT Wade Lester.   I believe, i can fly. FEAT Wade Lester. - Page 2 Icon_minitimeLun 2 Fév - 15:07


Allô, maman, bobo.
Tu parles si vite, avec tant de sincérité, que tu ne te rends pas vraiment compte que tu utilises le langage des signes, ça te paraît si naturel, et tu te sens si libre avec lui que tu ne peux t'en empêcher. Ça te manque parfois de pouvoir utiliser ce langage, tu sais qu'à part Mathias, peu de personnes peuvent le comprendre ici, mais c'est un prolongement de ton corps ses signes, un prolongement de ton esprit, alors tu ne relèves pas vraiment sa remarque, tu affiches un sourire un peu gêné, avant de l'écouter à ton tour. Tu avais parlé avec ton cœur, tu avais compris certaines choses grâces à quelques mots, quelques phrases qui ne devaient pas changer ta vie et pourtant, personne ne te les avait dites avant, pas quelqu'un qui tu aime autant, surement est-ce pour ça qu'elles eurent un impact si important sur toi. Grâce à lui tu venais de choisir de ne plus être la victime de tes démons, ou en tout cas, d'essayer de ne plus l'être, tu appréhendais déjà ta rencontre avec ta mère, tu la connaissais maintenant, tu connaissais sa cruauté, son manque d'empathie ou simplement son manque d'affection pour sa première fille, toi. Elle n'a jamais été tendre, même lorsque tu étais une petite fille, même avant ta surdité et ta mutation, à cette époque elle n'était pas foncièrement méchante, c'est vrai, mais elle ne te prenait pas si souvent que cela dans ses bras, tu n'étais qu'un trophée aux yeux clairs, elle te coiffait de façon brusque, t'habillais à son goût, pour que tu sois d'apparence parfaite, c'est tout, jamais d'amour, jamais de tendresse, juste une mère présente pour montrer aux autres à quel point sa petite fille était sans défauts. Les choses ont dégénéré quand tu as changé, quand tu es devenue sourde, quand tu es devenue mutante, tout ça à quelques semaines d'intervalles, l'ignorance se transforma en haine, en cruauté et tu ne pouvais rien y faire. C'est ta mère. Le seul parent qui a réellement fait partie de ta vie, tu n'as jamais songé à hausser la voix avec elle, à dire ce que tu penses, car tu t'imagines ne pas avoir le choix, tu crois que ça marche comme ça, tu le croyais en tout cas. Aujourd'hui, à cet instant précis, les choses ont changé, tu veux qu'elles changent, pour toi, pour lui, pour un potentiel vous.

Tu l'écoutes, silencieuse. Une nouvelle fois tu ne sais quoi répondre, hormis glisser tes doigts entre les siens, laissant vos phalanges danser les unes avec les autres, un sourire un peu gêné sur ton doux visage. Tu as encore du mal à croire qu'il puisse parler de toi, tu as peut-être pris de bonnes résolutions, mais tu restes la Seven qui n'a pas confiance en elle, la jeune femme brisée qui ne croit en rien lorsque ça la concerne, tu as juste une espèce de petite lueur en toi qui te pousses à te dire que la fin du tunnel n'est peut-être plus si loin que cela. Peut-être. « Toi tu. mérites. d'aimer … et j'espère. vraiment. que ton. idée. marchera... » Tu étais sincère une nouvelle fois. Tu te sentais bien lorsque tu étais près de lui grâce à l'amour que tu lui portais, aussi irréelle te semblait-il être, tu avais envie qu'il ressente ce genre de chose et que ce ne soit pas qu'une illusion pour lui, le miroir d'une tierce personne. Tu sais à quel point il est difficile d'être le second rôle de sa propre histoire, tu ne lui souhaites donc qu'une chose, qu'il soit la vedette de la sienne à présent.

Ton apaisement se transforme soudain en surprise. Il t'invite à passer les fêtes avec sa famille, avec Graham, sa mère, sa sœur et lui. Tu n'as jamais eu la chance de vivre ce genre de choses, surtout étant enfant, quand noël arrivait, ta mère t'enfermait dans ta chambre, elle faisait un diner spectaculaire avec tes voisins, des gens bourgeois, et lorsqu'ils demandaient où tu étais, elle rétorquait que tu passais les fêtes chez tes grands-parents. Heureusement que ce n'était qu'un mensonge. Ton grand-père était encore pire que pouvait l'être ta génitrice. Tu ne connais donc pas vraiment les codes de ce genre de soirée, hormis celles que tu as apprise dans les films, autant dire que tu n'as surement pas les bonnes bases. Tu restes incrédule quelques secondes, avant de répondre la seule chose qui te vient à l'esprit à cet instant précis. « Pourquoi. Elle. Voudrait. me coiffer. les cheveux? » Dans ton esprit, tu ne comprends pas. Personne n'a jamais eu une envie subite de te coiffer, enfant ou pas, hormis ta mère bien évidemment, mais uniquement de façon brutale et pas vraiment appréciable. Alors, tu ne comprenais pas pourquoi la sœur de Wade aurait cette étrange envie, cela dit, tu aimerais bien le vivre, au moins une fois, sentir une gentille personne te faire une tresse, plutôt qu'un monstre serrer ton chignon comme si sa vie en dépendait. « Enfin je. veux dire. Oui, ce serait. Vraiment. Cool. si ça. Dérange. Personne... je veux. pas. gêner. » Tu souris, avant de penser à tout un tas de choses. « Je dois. emmener. quelque. chose? Je ne. sais pas. cuisiner, quand. j'essaie, Francis. disparaît. pour ne pas. avoir à. gouter. mes plats... mais je. pourrais... acheter. des choses... Tu pourrais me. faire une. liste de. choses. à prendre? Comme ça. je ne. me tromperais. pas. Et puis. il faut. que j'achète. une robe. et que. j'aille. au coiffeur... Est-ce. que. Francis. peut. venir? » Trop de questions, mais tu n'as pas l'habitude, et ton côté mathématicienne et logique t'oblige à penser à des choses pas franchement indispensables pour ce grand jour. Tu te reprends quelques secondes, tu souris, et l'embrasses... sur la joue, en bonne amie que tu es, tu ne veux pas abuser de ce qui se passe. « Merci. » Il vient du cœur, il est sincère. Mais ta maladresse reprend le dessus. Tu te demandes ce que tu vas porter, quelles chaussures tu vas mettre, comment tu vas aller chez eux, et si tu te perds comment tu vas faire? Et s’il y a une tempête de neige? Et si la maison prends feu, qui tu sauveras en premier? Et si tu te mets à hurler sans raison apparente? Et si tu casses un vase hyper important pour la mère de Wade et qu'elle se met à te détester? Et sa sœur ne t'aime finalement pas? Trop de choses. Ton visage semble terriblement inquiet tout d'un coup, pensive, comme si tu étais en train de buguer. Trop d'infos, trop d'émotion d'un coup pour ton petit esprit fragile. Tu bug. 404 ERROR.
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Wade Lester

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T'as pas le choix, tu ressens rien, tu es vide, froid. Un cerveau dans une boite alimenté en oxygène par un muscle qui te ment. Tu peux pas.
empathie & apaisement par le toucher: il ressent tout ce que les autres ressentent. Il les comprend mieux que n'importe qui et peut même les apaiser en les touchant. Lui, ne ressent rien par lui-même. Seulement les sentiments des autres lui font vivre ces émotions qu'il a perdu depuis des années.
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MessageSujet: Re: I believe, i can fly. FEAT Wade Lester.   I believe, i can fly. FEAT Wade Lester. - Page 2 Icon_minitimeLun 2 Fév - 23:49

you won't fall
I can't stop this feeling deep inside of me girl, you just don't realize what you do to me. when you hold me in your arms so tight you let me know everything's all right I'm hooked on a feeling I'm high on believing That you're in love with me Lips as sweet as candy Its taste is on my mind Girl, you got me thirsty For another cup of wine

Ta sœur représentait pour toi des années de ta vie où elle avait joué le rôle central,  t'aidant à te lever, à bouger, à retrouver une pointe d'humanité que tu avais perdu lorsque tu avais décidé d'ignorer l'existence des autres. Peu importe ce que tu avais eu ce jour là, ça t'as cassé, comprendre que tu n'étais pas aussi aimé que tu pensais l'être, il n'y avait qu'elle, qui savait comment faire, qui ne te mentait pas pour te protéger, toi, le fragile Wade dont personne ne savait grand chose. Elle a longtemps été ton soutiens, ta bouée, jusqu'à son départ qui t'as conduit au bout de la ligne, au bout de tes songes. Tu étais prêt à mourir, puis finalement, tu t'es réveillé. Quoi que tu puisses en dire et malgré le peu d'intérêt avec lequel tu parlais de ça, quelques part, tu étais reconnaissant de ce grain de lucidité qui avait sauvé ta misérable vie. Ça te permettait d'être là aujourd'hui, ce que ironiquement, tu préférerais ne pas être. Là. Elle se serait beaucoup mieux portée sans toi, même si elle ne regrettait pas être tombée amoureuse de ta saleté de caractère et ta saleté de mutation, tu savais, que cela aurait mieux valu pour le bien être de ton amie. « Elle aime bien faire ça aux gens, mais maintenant que je n'ai plus les cheveux long, elle râle. Ça lui fera sûrement plaisir j'imagine, elle est adorable avec les gens. Bien que très collante. » Tu décroches un sourire, te remémorant de façon très juste les heures qu'elle passait à tresser ta tignasse, à défaut de s'occuper de celle d'une éventuelle petite sœur. Elle devait parfois bien se demander ce qu'elle faisait là, au milieu de deux garçons, piles électriques que l'on a eu du mal à canaliser, à remettre dans le droit chemin. Tu as été longtemps une tornade envahissante, sautant partout, grippant sur les meubles et accusant ta fratrie d'avoir fait des bêtises à ta place. Tu étais le plus petit, le plus innocent, le plus sujet à la violence scolaire. C'est là que finalement, tu as commencé à te taire. Tu t’écrasais, te laissait faire. Tu as perdu ton élan de vie, tu es devenu Wade et il est resté, ne montrant que ton hystérie d'enfant que dans tes très bons jours, où tu disais non à la retenue. Ca allait un peu mieux maintenant, peut-être. Tu allais mieux, tu te sentais mieux ici, tu quittais tes années de silence au profit de discours, troquait la neutralité de ton visage contre des sourires la plupart du temps factices mais à l'impression très réaliste.  La, ton sourire était réel, lorsqu'elle vint poser ses lèvres sur ta joue, pleine d'une tendresse réelle envers toi, qui avait animé ton petit rictus tendre.

Mais soudain son angoisse vous emporte, c'était pas du tout ce que tu voulais, surtout pas ce que tu voulais déclencher entre vous, pas encore, plus maintenant. Ca te prend, ça te frappe, ça te perturbe autant qu'elle et tu cherches à reprendre votre contact, sécuritaire, calmant pour vos âmes torturées. Vous vous apaiserez l'un l'autre. « Ne stresse pas à l'avance voyons... » Tu reprends sa main, que tu approches de toi, jouant avec ses phalanges pour te distraire. Ses mains sont fines, ses doigts allongés avec élégance, des mains de femmes aux ongles coupés, trahissant ses heures de travail derrière ses machines et sa robotique. Tu souris, pansant ses craintes en occupant sa peau de nouveau. Tes pensées bifurques quand tu te dis qu'hier ses mains s'étaient baladées sur ton torse, y laissant sur leurs passages une marque au fer rouge, désir vif, saisit, brûlant qui n'était rien d'autres qu'un souvenir neutre au goût de charbon. Mais elle t'avait touché et toi, tu continuais, alors que tu devais l'éloigner de toi pour garantir son bonheur...Que faisais-tu, Wade ? « T'as rien besoin de ramener, à part toi, et Francis peut venir bien entendu, je ramène bien mon chat, ils pourront s'amuser comme ça en plus. T'as pas besoin de t’inquiéter pour la nourriture, on va sûrement tout faire ensemble sauf si notre mère.;refuse carrément de laisser rentrer ses fils dans la cuisine sous peine qu'on se tabasse à coup de farine dans le nez -c'est déjà arrivé. Puis même un pyjama c'est très bien, ne t'inquiètes pas pour tes vêtements c'est juste un peu de temps à la maison, on s'en fiche totalement, tu ne feras pas mauvaise impression, même avec ta robe à l'envers. » Non. Wade, n'étais-tu pas censée l'éloigner de toi au lieu de l'inviter à venir passer du temps dans ta famille ? Si, c'était le but de ne lui avoir rien dit, n'est-ce pas ? Faire comme si il ne s'était rien passé,pas te retrouvé là comme un idiot, triturant sa main avec la sienne pour éviter de faire une nouvelle bêtise, pour éviter qu'elle vienne de nouveau faire s'écraser les barrières de votre relation qui ne se voulait que platonique pour le moment, tant que vous n'étiez pas soignés, l'un comme l'autre. Tu n'aurais pas du alors, et pourtant tu l'avais fait. Pourquoi ? Gardais-tu finalement au fond de toi plus que ce que tu voulais en donner ? Savais-tu déjà que tu ne voulais pas qu'elle parte car elle allait tout gâcher ? Tu ne devais pas trop réfléchir, c'était mauvais pour toi, c'était pas la meilleure chose que tu avais à faire sinon, tu allais rester dans cet état de réflexion durant des heures sans arriver à t'en sortir, sans réussir a faire le tris. Tu te dois de reculer, te dois de partir, d'écourter ce moment. Tu amènes la un peu plus près de toi et y dépose un baiser, comme pour répondre au sien, pour alléger ton recul imminent. A peine tu as relâché ses doigts, avec lenteur, tu fais quelques pas en arrière, les ponctuant de tes nobles raisons. «  Et tout le plaisir est pour moi. J'ai pensé que ça te ferait du bien, d'avoir un chez toi pour Noël. Ou pour Pâques, ou ce que tu veux, si tu survis à ma famille. Tu ne déranges absolument personne. » C'est comme cela que tu allais lui dire qu'il y avait mieux ailleurs effectivement. Pourtant tu devais te rendre à cette évidence, même si tu savais, même si tu réussissais à savoir si tu l'aimais, tu ne saurais pas le vivre tous les jours. Tu le saurais, mains ne pourrait rien en faire lorsqu'elle ne sera pas là. Oui, elle serait mieux ailleurs. Avec le grand déprimé à bouclettes, par exemple.



(c) sweet.lips
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Elle peut ressentir le futur et le passé. L'entendre, en sentir des odeurs, en subir les douleurs ou simplement ressentir des sentiments liés aux moments de la vie d'une personne ou d'un lieu. Elle pousse aussi un cri qui effraie et fait souffrir la personne physiquement. Ce cris prévient d'une mort éminente.
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MessageSujet: Re: I believe, i can fly. FEAT Wade Lester.   I believe, i can fly. FEAT Wade Lester. - Page 2 Icon_minitimeMar 3 Fév - 23:50


Allô, maman, bobo.
Sa sœur aimait faire ça, toucher les cheveux des gens, tu n'avais jamais vraiment rencontré de gens avec ce genre de passion, personne ne s'écriait « oh god des cheveux! » en te voyant, alors oui, ça te semblait un peu bizarre. Cela dit, peut-être qu'il s'agissait d'une coutume tout à fait normale dans une famille lambda, toi tu n'as pas connu ça, car tu es fille unique, mais qui sait, peut-être aurais-tu voulu coiffer ta petite sœur si tu en avais eu une? Tout du moins si tu avais grandit avec une petite sœur. Ou alors il s'agissait d'une tradition made in Lester que seul... Attendez une minute... Wade avec les cheveux longs??? En réalisant ce détail tu sembles surprise, presque choquée, tu ne peux t'empêcher de l'imaginer avec une chevelure ondoyante, balançant ses bouclettes à droite et à gauche comme dans une pub pour shampoing, peut-être même qu'il portait des bonnets à cette époque, qu'il était une espèce d'artiste hippie, de musicien incompris, qui se lavait les cheveux tous les jours pour les rendres soyeux et brillants. Peut-être même que toutes les filles ne pouvaient s'empêcher de passer leur main entre ses mèches si souples, ce qui expliquerait pourquoi sa petite sœur s’était prise pour passion de coiffer les gens? Tout s'expliquait! Oui, tu pars un peu loin dans ton délire, mais tu ne peux t'en empêcher, car si tu es certaine d'une chose c'est qu'il devait être incroyablement sexy avec les cheveux longs. Pourquoi, tu n'en as aucune idée, peut-être une passion inavouée pour les hommes aux cheveux mi-longs, qui sait, en tout cas, tu restes silencieuse une bonne minute, réfléchissant à cette éventualité, trop d'images indécentes défilant dans ta tête. Comme quoi, il t'en fallait vraiment peu. « Haa... D'accord. J'ai. Hâte. de. La. Rencontrer. » Tu as surtout hâte de voir une photo de lui à cette époque. Cela dit, peut-être parlait-il de son enfance? Peu importe, tu voulais le voir avec une touffe de cheveux sur la tête, tu l'imaginais tellement bien ainsi, trop, il faut songer à se calmer ou à tirer un coup, mais grand dieu, fait quelque chose et calme tes ovaires.

Face à son invitation ton cerveau bug un peu, trop de choses te passes par l'esprit, tu veux tout contrôler pour que tout soit parfait, pour que tu ne commettes pas une bourde monumentale devant a famille si aimante de Wade et Graham. Tu ne voulais pas tout gâcher. Pas encore. On t'offrait une chance extraordinaire de vivre, l'espace d'une soirée, la vie dont tu as toujours rêvé, hors de question de foutre ça en l'air. Alors forcément tu extrapoles, tu réfléchis trop, bien souvent à des détails sans intérêt. Heureusement, il garde ta main dans la sienne, il te rassure par son toucher, même si quelque chose en toi ne peut s'empêcher de continuer à stresser et à imaginer le pire. Et si Francis était pris d'une folie meurtrière et qu'il se la jouait révolution planète des singes en tentant de tuer tout le monde avec un couteau à beurre? Non non, là tu vas trop loin, tout le monde sait... qu'il ne prendrait jamais un couteau à beurre sans permission. « Ok. Mais. Je. Pourrais. Aider. Quand. Même. À faire. Un. Truc. Genre. La vaisselle. Le ménage. Ou quelque chose? » Ouais, t'es habituée à ça, c'est toujours toi qui nettoyait la baraque de ta mère, elle te prenait pour une boniche en plus de te traiter comme une moins que rien. Et puis mince, tu ne veux pas arriver les bras ballants, t'asseoir dans un coin et attendre que ça se passe. Tu ne peux pas faire ça. Il t'invite, tu considères que c'est un service qu'il t'offre et tout service mérite rémunération, c'est comme ça tu le vois, pour l'instant, peut-être qu'une fois sur place tu verras les choses différemment, tu comprendras ce qu'il voulait dire par « t'offrir un chez toi », car honnêtement, sur le coup, tu souris, tu hoches la tête, mais tu ne captes pas le délire. Tu sais que ce ne serait jamais chez toi, pour toi, c'est un peu comme une visite au zoo, un truc super sympa qu'on aime faire, mais qu'on ne peut jamais ramener chez sois. Évidemment, tu ne vas pas lui dire ça, ce serait la gaffe de trop.

Tu fais comme si ce baiser tellement platonique ne te gênait pas, toi-même tu l'avais fait, tu voulais mettre de la distance entre vous, le temps de détruire vos démons, ou tout du moins d'essayer, mais c'était loin d'être évident. Tu n'avais qu'une envie, l'embrasser, comme ce soir de noël, peu importe les conséquences, peu importe l'après, tu voulais à nouveau sentir ses lèvres sur les tiennes, ne serait-ce qu'une fois, ne serait-ce que par réponse à ton amour, même si ce n'était pas le sien. Tu n'en fis rien, tu souris, tente de cacher tes désirs, autant à toi-même qu'à lui. « Merci. Vraiment. Mais. Il. Faut. Que. Tu. Me. Donnes. Les. Détails. Quand. Même. L'heure. L'adresse. Des hôtels. Pas loin. Sa ça . Dure . Tard. Enfin... Merci, encore. c'est. gentil. » Ouais, c'est trop gentil d'enfoncer le couteau dans la plaie, brillante idée de l'inviter à Noël dans sa famille, alors que vous essayez tous les deux de régler vos problèmes et de vous éloigner en attendant. Ce gars est un génie et toi tu l'es encore plus d'avoir accepté. Je dirais même que ton cerveau semble réfléchir plus vite que toi, la preuve. « Tu devais être sexy les cheveux longs. » OH MY GOD? Pourquoi? Pourquoi tu viens de dire ça? En vérité tu voulais y penser dans ta petite tête, mais pour une raison qui demeure encore obscure, c'est ta jolie petite voix qui a décidé de balancer l'info! Tu fermes les yeux quelques secondes, comme si tu espérais que tout s'efface, avant de tenter maladroitement de te justifier. « Je. veux. dire... c'est cool. les cheveux. longs... moi je. vais. peut-être. couper. les miens... » Paradoxe ambulant, mais tu as réussi à sauver ton honneur. Enfin, tu le crois. Naïve enfant.
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Wade Lester

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empathie & apaisement par le toucher: il ressent tout ce que les autres ressentent. Il les comprend mieux que n'importe qui et peut même les apaiser en les touchant. Lui, ne ressent rien par lui-même. Seulement les sentiments des autres lui font vivre ces émotions qu'il a perdu depuis des années.
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MessageSujet: Re: I believe, i can fly. FEAT Wade Lester.   I believe, i can fly. FEAT Wade Lester. - Page 2 Icon_minitimeMer 11 Fév - 23:30

you won't fall
I can't stop this feeling deep inside of me girl, you just don't realize what you do to me. when you hold me in your arms so tight you let me know everything's all right I'm hooked on a feeling I'm high on believing That you're in love with me Lips as sweet as candy Its taste is on my mind Girl, you got me thirsty For another cup of wine

Quelques choses te disait que ta sœur aînée serait tout aussi pressée de la rencontrer, si elle savait ce moment imminent, elle en avait déjà tant entendu parler qu'elle la connaissait déjà beaucoup, au fond. « Tu es mon invitée, alors il est hors de question que tu fasses quelques choses..En aucun cas les tâches ménagères. On est là pour ça, toi non..Alors tu discutes pas et tu auras ordre de te reposer enfin. T'en fais déjà assez ici du ménage...Considère ça comme des vacances. »  Elle en faisait déjà assez pour vous tous, pour tout l'institut. La voir ranger, nettoyer ne te convenait pas vraiment, elle valait beaucoup mieux, tu préférais sûrement qu'elle t'aide dans tes recherches, s'occupe d'avantage de ses travaux sans pour autant oser lui proposer de venir travailler avec toi. Tu savais que ça ne tournerait pas comme tu le pensais. Que ça déraperait comme ça avait tendance à le faire. Tu étais trop faible et trop proche, tu avais résisté un moment grâce à la magie des messages instantanés... Mais maintenant, ce n'était plus la peine, trop proches, trop dévoilés l'un à l'autre. TU la savais douée de parole, elle connaissait tes pouvoirs et votre contact n'était plus tabou, plus inconnu. Sa main dans la sienne trahissait ça, la normalisation d'un geste qui vous as été défendu longtemps et qui n'avait plus rien d'anormal, tout comme le léger baiser déposé, presque anodin. Presque, seulement. L'envie te pique de capturer ses lèvres encore une fois, de recommencer, à nouveau balancé des jolis principes au vent parce qu'elle en faisait la demande. Même si ce n'était pas vraiment toi, tu la désirais, plus rien n'était anodin.C'était si réel, si convainquant, qu'au final peut-être que la vérité importait peu. Au final, savoir la vérité n'était peut-être pas tant une priorité. Peut-être que tu pouvais faire semblant et vous laisser être heureux l'un avec l'autre sans vous questionner sur qui pense quoi, qui vit quoi. Tu pouvais très bien être son robot aux émotions sur commande. Tu voulais l'être. Maintenant.

Mais ce n'était pas le moment et tes pensées, attirées dans les méandres de tes souvenirs t’empêchent de te concentrer sur ce qu'elle disait. Tu n'avais pas la capacité de lire sur les lèvres et essayait d'entendre, sans vraiment le faire, perdu être le bien et le mal comme souvent, ces notions, que tu avais tant de mal à comprendre et appliquer alors qu'elles étaient la base de la vie en communauté. Voilà que tu commençait à associer Aristote et sa politique à tes réflexions. Tu émergeais enfin en réalisant que tu était allé trop loin dans tes tourments cérébraux. « Pourquoi tu veux un hôtel ? On a de quoi te loger, on trouvera bien de la place ! Je te laisserais la chambre, je pourrais jouer aux jeux vidéos toute la nuit en prétendant dormir sur le canapé... » L'idée semble te séduire, tu l'as déjà vécu. Combien de fois à ces repas de famille où la famille éloignée venait vous rejoindre, tu avais passé la nuit collé sur le canapé à jouer aux jeux vidéos, le son au minimum et la peur au ventre de voir quelqu'un venir. A cette époque ton frère était déjà absent, ce n'était pas le genre de choses que tu avais partagé avec lui. Tu songerais à rattraper ça plus tard, tu penses trop, Wade.  « Enfin, on a le temps quand même pour tout ça..J'ai vraiment pas réfléchit à ce genre de détail, ça semblait juste une bonne idée, je dois l'avouer. C'est que pour quelques jours..ça devrait aller, c'est pas comme si on mordait où qu'on avait un régime alimentaire se composant uniquement de bacon en conserve. » Non, ce n'était pas du tout votre genre et surtout pas la semaine de Noël. Elle allait avoir le droit à la dinde et aux petits pois que tu n'appréciais pas depuis l'enfance mais que tu te forçais à manger cette maudite semaine...Au vin, mais ça, tu ferais attention qu'elle n'en abuse pas autant que la nuit dernière et aux cookies à moitié sublimes et à moité monstrueusement laids dans le plat du salon, selon qu'ils aient étés fait par Marie et votre mère ou pas Graham et toi. Votre sens de l'art n'a jamais vraiment été apprécié à sa juste valeur, à tes yeux mais cette année, elle serait là, pour faire des cookies avec vous.  Cela représentait quoi, au final ? Comment allais-tu présenter Seven aux autres, sachant que ton frère avait déjà du faire un résumé complet de Seven à votre sœur, voir à votre mère quand toi, tu ne faisais que la mentionner à l’occasion, quand tu n'y pensais pas et que cela t'échappais. C'était ton amie, avant tout. Une amie qui s'était réveillée nue dans ton lit il y a de cela une vingtaine de minutes. Tu éviterais peut-être de parler de ça à table. « J'étais pas mal ouais, pas mal du tout... Tu verras, de toute façon. Il y a assez de photos partout dans cette maison de nous trois pour que tu te moques de nous pour les quinze ans à venir au moins. Tu verrais la tronche de Graham quand il était petit, on se demande comme il peut être mon frère. En tout cas tes cheveux sont beaux comme ça, ce serait dommage de les couper... » T'en savais quoi au fond de si tu aimais ses cheveux ou non ? Rien, c'était juste que tu avais du mal avec les changements..C'est comme si un jour elle arrivait devant toi, brune. Pas que tu préfères une couleur de cheveux que l'autre, ce serait juste le changement, qui te perturbera un peu. « Dis, ce devais, je dois le prendre comment ? Je suis pas sexy comme ça c'est ça ? Ma situation capillaire est si médiocre ? » Tu saisis un lèche de tes cheveux au dessus de ton front, la tirant contre ton visage pour en étudier la longueur. Ouais, ils ne poussaient pas très vite et cela te manquait un peu de te lever la tignasse coincée sous tes bras, d'entendre des remarques sur le paquet de cheveux mal-assemblé. Les moments avec ta sœur te manquent aussi, même si cela ne vous empêche pas de parler des heures...Pas la peine qu'elle tresse tes cheveux pour cela. Pourtant, c'était sûrement les moments que tu avais le plus chéris ces dix dernières années, où tu te sentais aimé, dans un sens important, bien. Tu devais faire sans maintenant et pourtant l'institut semblait te convenir..Après tout tu n'as pas l'air d'aller franchement mal, entouré de ces gens, proche d'une femme qui t'aimait à la fois assez et trop. Trop pour son bien en tout cas. Tu souris jouant sur ton humour assez sarcastique pour détendre l'atmosphère, lui donner un air bon enfant, respirable, loin des questions que sa présence ici soulevait. Tu savais très bien que tu étais assez à son goût, franchement. Tu replaça la mèche dans le bordel monstre que ta chevelure était, ça tu n'avais pas vraiment eu le temps de l'arranger avant qu'elle ne se réveille.



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