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 La route ? Là où on va, on n’a pas besoin de route !

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AuteurMessage
Isaora Fanizzi

Feuille de personnage
statut: membreclasse deltacrazy foxes
- Isaora Fanizzi -
superior minds

Célibataire, pas assez courageuse pour changer ça
annihilation: annihile les pouvoirs des autres mutants + Détection: telle une montre que l'on ouvre elle peut décortiquer le pouvoir des autres mutants.
Elève qui passe la plus grande partie de son temps à traîner dans de mauvaises combines
31/08/2015
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MessageSujet: La route ? Là où on va, on n’a pas besoin de route !   La route ? Là où on va, on n’a pas besoin de route ! Icon_minitimeMer 13 Juil - 0:19


La route ? Là où on va, on n’a pas besoin de route !

« Qui que l’on soit au fond de nous, nous ne sommes jugés que d’après nos actes.»


feat Blake



Les voitures défilaient devant tes yeux tandis que tu tentais vainement d'arrêter ton regard sur quelque chose. Ce n'était pas une mince affaire surtout que la nuit était déjà bien entamée et que ton sang commençait doucement mais sûrement à atteindre un taux d’alcoolémie assez conséquent. Pour ta défense ce n'était pas entièrement de ta faute, Blake était de la partie et comme tout à chacun le savait quand Blake était là c'était la porte ouverte à toute sorte d’excès. En effet aucune règle ne semblait être infranchissable pour vous deux. Le monde devenait un terrain de jeu et quiconque se mettait en travers de votre chemin devenait un pion avec lequel jouer. Tu aurais pu dire que c'était ça la vrai vie, celle que tu aimais, celle qui te faisait vibrer et qui ne te demandait rien en contre partie. L'alcool, cette chère et tendre amie te faisait oublier à quel point ta vie pouvait être merdique parfois. Quant à Blake, lui, il te rappelait comme c'était bon d'être vivant, d'être jeune et puissant. Tu avais besoin de ça, de lui, de ce que vous étiez l'un pour l'autre et de son amitié.

-Prends à sinistra au prochain croisement...


Tu avais dit cette phrase tout en pointant du doigt une route encore invisible.Heureusement que tu liais le geste à la parole, l'alcool te faisant légèrement douter de la langue à utiliser tu mélangeais un peu le tout à ta sauce. Une fois la route donnée tu avais reposé tes pieds sur le tableau de bord ne prêtant ni attention à ta robe trop courte qui remontait ni à la bienséance. De toute façon la position était bien trop confortable pour que tu ne pense à en changer.

Ça faisait maintenant un moment que vous aviez quitté la ville pour trouver un endroit reculé. Assez loin pour que vous puissiez faire la fête sans être dérangé ni par les propriétaires parties en voyage ni les voisins. Tu avais détourné ton attention de la route, pour regarder Blake conduire, le noir de la nuit ayant tout emporté avec lui le décors environnement commençait à t'ennuyer.

-Tu sais que t'es vraiment craquant quand t'es sérieux comme ça ?

Tout ça dit avec le sourire le plus angélique du monde. Non, tu n'avais rien à te faire pardonner, juste que tu trouvais ça marrant à dire de but en blanc, comme ça, sans réelle raison. Tellement que tu avais joint le geste à la parole en touchant sa joue du bout du doigt comme si tu cherchais encore plus à attirer son attention. En fait en y réfléchissant tu cherchais plus à l'embêter qu'autre chose. Emmerder les gens, c'était un peu ta façon d'exister.

Tu avais ensuite reporté ton attention quelques secondes sur la route une tache noirâtre attirant ton regard. La maison été là, enfin. Seule, perdue au milieu de nulle part. La vrai fête allait enfin commencer. Si tu avais été debout tu en aurais sans doute trépigné.

-C'est ici !!!! Tu peux te garer...Je pensais ne jamais y arriver, ma vessie va exploser...

PSYBORG
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Blake Whisper

Feuille de personnage
statut: modérateurclasse alphamadmen krakens
- Blake Whisper -
duco corporis

Tu persistes à te dire que ce n'est rien pourtant t'as cette putain de chaleur dans les entrailles à chaque fois que tu le vois. Foutue addiction.
Tu le sens pulser régulièrement, s'affoler parfois, trahir les émotions de son propriétaire au rythme de son myocarde. Le sang ne ment pas, le sang est le traître à même leur corps tandis qu'il répond à la moindre de tes volontés. Aucune prison de chaire ni de tissu veineux ne t'arrête et, si tu sais soigner les hémorragies, tu préfères le pouvoir cruel qu'il t'accorde. Tu peux le diriger où tu le souhaites, tu peux en modifier le cours, la pression et l'état. Le rendre aussi solide que du métal, le faire flotter si tu le souhaites, chauffer jusqu'à imploser si la fureur te dévore de ses crocs acérés. Capable d'agir au niveau moléculaire aussi bien que plus général, les possibilités et applications te semblent presque infinies et, acharné, tu n'as de cesse d'expérimenter de nouvelles choses. Hémokinésiste, ton don est aussi nécessaire à ta survie que le sang que tu sens couler dans la moindre de tes veines.
Entraîner ton don et continuer d'ouvrir les yeux des autres mutants quant au fait que les humains vous sont inférieurs. Et accessoirement assister aux cours. Tout pour essayer de ne pas trop penser au mec qui hante tes pensées et qui semble prendre un malin plaisir à l'éviter.
09/07/2014
Ash Stymest
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553

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MessageSujet: Re: La route ? Là où on va, on n’a pas besoin de route !   La route ? Là où on va, on n’a pas besoin de route ! Icon_minitimeDim 31 Juil - 16:44


blisaora


La fumée envahi ta bouche et empli tes poumons tandis que tu tires une taffe de ta cigarette. La coinçant entre tes doigts, tu l'écartes de tes lèvres et pose ton avant-bras sur le rebord de la fenêtre ouverte de ta voiture. L'air, frais mais agréable d'une nuit estivale s'engouffre dans l'habitacle en légères bourrasques causées par la vitesse à laquelle tu roules. Nul besoin de préciser qu'elle est élevée, plus qu'elle ne le devrait et ce malgré le fait que tu ais fini dans un arbre plusieurs mois auparavant -accident auquel tu refuses d'accorder la moindre pensée et ce pour des raisons toutes autres que celles que l'on soupçonnerait normalement. Tu joues avec l'accélérateur sans considération des règles établies, décrochant sur la droite dès qu'une autre voiture se trouve sur votre chemin. L'asphalte défile, les arbres aussi, sous l'oeil vigilant de la lune et des étoiles plus ou moins perceptibles à cause de l'immense pollution lumineuse gracieusement dispensée par la ville qui ne dort jamais -comme toi, comme vous. Ou plus précisément, votre vie s'anime la nuit et c'est lorsque les premières lueurs de l'aube commencent à percer le noir manteau de la nuit que Morphée vient finalement vous trouver. Un mouvement sur ta droite attire ton attention, et tu dévies le regard du ruban de la route pour le poser sur Isaora. Passant de l'un à l'autre régulièrement, l'espace de quelques battements de cils, tu l'écoutes avec attention te donner la direction à prendre afin d'être certain de bien comprendre son babillage alcoolisé. Bon certes. Toi aussi tu as bu. Moins qu'elle cependant, afin d'être sûr de vous amener à votre destination en un morceau -enfin, deux, un chacun merci bien. Arrivé là-bas en revanche.... tu comptes bien te rattraper. Après tout, votre petit travail de l'après-midi est terminé et bien évidemment couronné de succès -comme s'il pouvait en être autrement- et on vous a également donné en échange des informations sur l'endroit où vous vous rendez alors... autant en profiter.

Hochant de la tête pour signifier que tu as bien compris alors que tu doubles une voiture d'une vitesse si lente que tu te demanderais presque si le conducteur ne s'est pas endormi -non- avant de lui lancer un nouveau coup d'oeil en voyant le flou de ses mouvements. Les pieds maintenant posés sur le tableau de bord, ton regard remonte machinalement le long de ses jambes très dénudées par sa robe déjà courte qui remonte, et tu ne peux retenir un sourire en coin amusé lorsque tes yeux se portent à nouveau sur la route. Ni l'un ni l'autre n'êtes vraiment pudiques de base, au contraire même, mais l'habitude de la présence de l'autre vous rend si à l'aise, confortables ensemble que les dernières barrières s'effondrent et que vous n'en avez plus la moindre trace et que vous frôlez souvent l'exhibitionnisme. Ca n'est pas de votre faute après tout : vous avez juste parfaitement confiance dans vos corps, et il est tellement plus agréable de ne pas s'encombrer de mille et unes couches de vêtements lorsqu'ils ne sont pas absolument nécessaires.

La route que vous empruntez semble plus secondaire à présent, s'éloignant de plus en plus des axes principaux à mesure que vous avancez. Signe que, bientôt, vous arriverez à destination. D'autant que ça fait maintenant un moment que vous avez quitté la ville. L'obscurité noie la voiture, peignant des ombres douces mais voraces sur vos visages. La voix d'Isaora te tire de ta concentration,  et tu lui accordes un nouveau coup d'oeil accompagné d'un de ces sourires en coin ravageurs dont tu as le secret, faisant briller des lueurs lascive dans le clair de tes prunelles. "Je sais." que tu prononces d'une voix où les nuances sont d'une douceur rauque qui t'es propre, charriant les graves comme la plus exquise des caresses, déclenchant une myriade de frissons qui jouent sur la peau. L'arc du sourcil qui se marque lorsque narquois il se hausse, que la voix prend des nuances doucereuses et suffisantes. "Je suppose que tu pourrais l'être aussi, mais pour ça il faudrait déjà que tu saches parfois faire preuve de sérieux..." Le rire perce dans le souffle pourtant, l'agitant de trémulations irrégulières l'espace d'un instant. Vous êtes comme ça. A aimer vous taquiner, vous railler. A vous emmerder, à parfois faire les connards. Mais c'est comme ça que vous avez toujours fonctionné.

Quelques secondes plus tard, un détail semble attirer l'attention de ton acolyte, et elle s'exclame, trépignant presque d'impatience lorsqu'elle t'annonce que c'est ici. Secouant la tête avec amusement à sa remarque, tu te penches légèrement en avant afin de voir ce qui l'a interpellée, tu ralentis  en apercevant la forme noire de la maison -non c'est carrément une villa ou un manoir, à cette taille..- et tu t'engages lentement sur l'allée qui y mène lorsque vous y arrivez. Une fois la voiture garée de façon à pouvoir repartir plus facilement -sait-on jamais- tu en sors observant l'immense maison avant de lancer un regard sournois et complice à Isaoara. "Tiens moi ça pendant que j'ouvre." Sur ce, tu lui tends une lampe torche récupérée dans la boîte à gant, tandis que tu te baisses pour observer la serrure. Il ne te faut pas bien longtemps pour crocheter la serrure, une expression de satisfaction assurée imprégnant tes traits lorsque le bruit caractéristique sonne discrètement à tes oreilles. Lorsque tu te redresses, une main posée sur la poignée, tu coules un nouveau regard à ta partner in crimes, l'interrogeant du regard tant que de la voix. "Prête ?" Parce qu'on ne sait jamais. Le temps est minuté entre l'instant ou tu ouvriras la porte et où tu désactiveras l'alarme avec le code qu'on vous a donné en plus du payement pour vos services. Et vu son taux d'alcoolémie... oui mieux vaut le lui rappeler. Poussant la porte lorsqu'elle t'a donné confirmation et rendu la lampe torche, tu repères rapidement l'alarme, observant un instant le dispositif avant d'y entrer le code. Le coeur un peu battant, toujours sur tes gardes, tu attends de voir le voyant passer au vert, signe que tu as bien réussi. "C'est bon. Maintenant... la baraque est à nous."


© charney
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