L'hiver arrive ! Du moins, il est bien arrivé à New-York. Profitez-bien de la neige ! C'est hallowen les amis ! Et si vous faisiez un petit tour par notre sujet commun pour fêter l'occasion ? L'intrigue numéro 6 est toujours en cours ! Pour le moment, tout le monde est encore plus ou moins entier...espérons que cela ne change pas ! Une nouvelle intrigue a fait son arrivée sur MAP ! Pour s'inscrire, c'est ici ! Vous avez une semaine pour vous inscrire !Bienvenue dans cette nouvelle partie du forum ! C'est ici que vous serez informés de l'avancée des intrigues en cours ! Elle est pas belle la vie ? L'intrigue de slenderman est achevée ! Vous pouvez découvrir ou redécouvrir cette aventure ici. Le procès des intrigues de Norvège et de Boston a pris fin. C'est par ici pour en savoir plus !
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Sujet: Enlarge your world - Mad world Dim 20 Sep - 5:58
Enlarge your world (Mad world)
feat : Isaora & Madison
Tu n’avais pas vraiment osé regarder les murs qui t’entourent. Pour toi, un mur était un mur, rien d’autre. Tu ne connaissais même pas les murs de ta chambre à l’Institut psychiatrique, tu avais tellement mieux à faire. Pourtant, ici, tu ne savais pas ce qu’on attendait de toi. Tu savais que les cours avaient repris et que tu devais en suivre. Toi, suivre des cours, sérieusement? Impossible, comment pouvais-tu suivre des cours si les voix dans ta tête ne se taisaient jamais.
« Oh arrête, on fait de notre mieux hein »
Un sourire, rien de plus. Que pouvais-tu faire de plus? Tu savais qu’elles tentaient de faire de leur mieux, c’était gentil, mais ce n’était pas assez. Pas assez pour que tu puisses arriver à fixer les lèvres d’un professeur assez longtemps pour comprendre ce qu’il te disait réellement. Pour lui, ce n’était pas grave, tu étais en cours et tu allais réussir ton examen parce qu’une autre avait la réponse que tu n’avais pas su entendre, mais toi tu savais et tu n’avais pas envie de ça. Certaines personnes, certains mutants, ils avaient envie d’être normal, mais pas toi. Tu avais une peur viscérale d’être seule, d’être sans elles. Alors, maintenant que tu savais que tu n’étais pas que folle, mais bien une mutante pas très douée… tu ne savais pas vers quoi te tourner. En bref, tu ne savais pas vers quel Dieu de vouer et maintenant que tu pensais ça, on te soufflait à l’oreille que tu en priais pas mal de Dieux en fait. Parce qu’il y avait celle qui priait Bouddha, celle qui priait Dieu, mais aussi celle qui priait Allah, il y avait celle qui préférait la Wicca et le restant se perdit dans ton esprit. Pourquoi tu posais encore des questions ? Et pourquoi elles répondaient toujours?
Tu osas déplacer ton bras pour voir l’intérieur de cette prison qui serait maintenant la tienne. Parce que tu ne ferais pas l’autruche, tu quittais un Institut pour un autre. Tu passais d’une prison à une autre. Les murs étaient moins vide que ton ancienne prison, les lits semblaient mieux. Le plus marquant, c’était la présence de meuble, des vrais. Vous savez, ceux avec les coins et tout.
« Dans le vrai monde, c’est normal tu sais. »
-Peut-être, mais pas pour moi. Pas encore. Désolé…
Tu savais que c’était normal, mais tu ne comprenais pas comment tu avais pu passer d’une extrémité à l’autre aussi rapidement. Un jour, tu es folle, le second tu es une mutante qui doit apprendre à se contrôler. Mais non, tu le sais toi, mutante ou pas, tu restes folle. Tu ne peux pas changer d’un à l’autre. Tu ne peux pas effacer qui tu étais. Pas le peu que tu savais de toi. Alors, ton regard glisse sur cette chambre qui ne t’appartient pas et tu tenteras tout bonnement de t’y faire. On t’avait parler des gens qui vivaient là, d’autres personnes comme toi, mais tu n’avais pas encore dit un mot, du moins… pas à elles. Pas à ses filles qui peupleraient ta vie « étudiante ». La belle affaire, tu avais 18 ans et tu avais la sociabilité d’une roche.
« Mais t’arrête de te plaindre, on est là, tu nous parle, t’es pas une roche. »
Nouveau soupire. Parce que qui sait, les roches elles se parlaient peut-être à elle-même, on ne savait pas. Oui, tu t’exaspérais toujours autant, même sans les médicaments. Juste que maintenant, tu en avais conscience. Tu n’avais encore aucune idée du nombre d’heure, limite le nombres de jours que tu avais passé couché dans ce lit avant de réaliser que tu existais, mais il était maintenant le temps de se lever. Alors, tu t’étais d’abord assise et tu avais lentement glissé tes pieds vers le sol en les regardant. Comme s’il pouvait se passer la fin du monde en posant le pied par terre et ce fut le cas. Tu avais tes mains au chaud sous tes cuisses, tes cheveux cachaient ton visage parce que tu fixais tes pieds et tu avais peut-être trop de cheveux, toujours en bataille, limite emmêlé, mais tu t’en fichais. Ils étaient là et ils étaient bien. Bref, tes pieds touchèrent le sol et le son caractéristique d’une porte qu’on ouvre te fait sursauter, paniquer. Limite, tu arrêtes de respirer en relevant ton regard vers la porte. Une intrue Tu ne saurais pas dire qui, tu te doutes qu’elle vit dans cette chambre, mais une intrus quand même. Alors, tu ramènes ton regard sur les fautifs. Parce que c’est eux qui avaient déclanché l’apocalypse en touchant le sol. C’était clairement de leur faute. C’est là que tu entends plusieurs soupires, mais pas les tiens, dans ta tête. Ta pensée n’était plus logique Madison, fallait se reprendre. Parce que c’était ça, quand tu te laissais aller, on te le faisait savoir.
« Je fais quoi? » « Tu lui parles? » « Je fais ça comment? » « T’es sérieuse? » « Bon peut-être pas à ce point, mais… je dis quoi. Je ne dis comment. » « Tu as pensé tenter le : salut? » -Je… salut. « En la regardant c’est mieux. »
Et tu lèves ton regard vers elle, suivant le conseil d’une autre. La vie n’était pas simple, mais si tu les écoutais, ça irait. Tu le savais. Pourtant, tu n’arrivais pas vraiment à avoir confiance, tu n’arrivais pas à oublier le fait qu’elle était là et que tu n’étais pas habituée.
«On va faire un truc, tente de sourire pour voir? » « Euh… » « Aller, c’est pas sorcier, tu peux. »
Et tu lui fais un léger sourire, timide, presque inexistant, parce que ça doit faire trois ans que tu n’en as pas fait. Que tes muscles sont rouillés et que sérieusement, pourquoi sourire si rien ne te donne envie de le faire?
« Pour être invitante » « Mais elle est plus chez elle que moi » « T’es irrécupérable » « Merci? »
Non sérieusement, ça allait devenir compliqué comme nouvelle vie, tu le sentais. Comment t’allais t’adapter à tout ça hein? Impossible, t’étais folle. L’idée même de suivre une planification et un cours te terrifiait. Bon d’accord, tu devrais passer l’étape de te lever, de prendre une douche aussi et surement de manger. Tu te demandais s’il faisait la livraison dans les chambres ici aussi? Oh! Oh! Oh! Il y aurait peut-être des couteaux pour manger, parce qu’à l’autre Institut, les objets coupants c’était proscrit. Bref, se lever serait déjà une bonne chose pour toi, mais… quand l’intrus serait partie.
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Célibataire, pas assez courageuse pour changer ça annihilation: annihile les pouvoirs des autres mutants + Détection: telle une montre que l'on ouvre elle peut décortiquer le pouvoir des autres mutants. Elève qui passe la plus grande partie de son temps à traîner dans de mauvaises combines 31/08/2015 Taylor Momsen Adament 200
Sujet: Re: Enlarge your world - Mad world Mar 22 Sep - 15:48
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Enlarge your world - Mad world
Madison & Isaora
Il devait être 10h du matin lorsque Isaora arriva à l'institut. Elle laissait derrière elle une longue et tumultueuse soirée. Ses cheveux en bataille, ses lunettes de soleil cachant en partie sa mine affreuse de lendemain de soirée ainsi que sa robe noire trop courte et trop moulante étaient les derniers vestiges de cette folle nuit. Elle ne se souvenait que partiellement de ce qu'elle avait fait et de comment elle avait fait pour se retrouver quelques heures plus tôt dans un appartement qu'elle ne connaissait pas et dans le lit d'un mec qu'elle connaissait encore moins. Quelques bribes de la nuit passée lui revenait partiellement en tête, elle avait bu, beaucoup trop, comme à chaque fois. C'était ce qu'elle faisait quand la douleur devenait insupportable, quand ses souvenirs venaient la rattraper au galop pour lui rappeler qui elle était et ce qu'elle avait fait. L'alcool, la drogue, c'était sa façon de lâcher prise, de réduire au silence la douleur. Ce n'était pas la meilleure façon et elle le savait mais c'était la seule qui avait fait ses preuves, la seule qui lui donnait l'impression de voir clair dans le brouillard qu'était sa vie. Cependant depuis qu'elle était arrivée à l'institut ses escapades nocturnes avaient nettement diminué. Elle ne ressentait plus constamment ce poids horrible qui l'attirait toujours plus profondément vers ses propres abysses. Mais quelques fois quand son esprit ce mettait à ressasser en boucle des souvenirs trop douloureux pour être supportés elle les étouffait. C'est ce qu'elle avait fait la veille et tout la nuit, elle les avait étouffé, tous un à un, à coup de shooter et de diverses substance. Elle appelait ça « sa dose d'auto destruction », comme si inconsciemment les punitions qu'elle infligeait à son propre corps n'avaient comme ultime but que de détruire une partie d'elle. Elle avait passé la porte d'entrée sans que personne ne la remarque vraiment. Pour dire vrai la plupart des élèves étaient en cours, elle aussi aurait du y être. Quand au reste des personnes présentes elle se doutait bien que face à la tête de fêtarde sur le déclin qu'elle avait aucun d'entre eux n'auraient l'idée de lui demander pourquoi elle n'était pas en cours. Non elle marcha simplement jusqu'à la porte de sa chambre dans un quasi silence religieux. Elle chercha quelques instant ses clefs sans grande réussite avant de tenter sa chance avec la porte. Elle posa sa main sur la poignet de cette dernière prête à sentir son refus de s'ouvrir. Personne n'était sensé être dans la chambre, ses colocataires étant en cours à cette heure de la matinée. Mais contre toute attente la porte s'ouvrit et en à peine quelques pas elle se trouva en face d'une petite blonde assise au bord de ce qui devrait être son lit. C'est vrai qu'elle avait entendu dire qu'une nouvelle allait débarquer dans sa chambre dans la semaine mais étrangement l'information lui avait totalement échappé. Elle crut entendre un salut étouffé provenant de la jeune fille. Machinalement elle enleva ses lunettes et passa la main dans ses cheveux avant de lui répondre d'une voix légèrement cassé où l'on pouvait toutefois reconnaître les intonations chantante de sa langue maternelle "Salut..." Elle ne prit pas la peine de la regarder outre mesure et se dirigea vers la partie de la chambre qui lui était réservée. Son côté de la chambre n'était pas très décoré, pour dire vrai, il n'y avait ni poster, ni peluche. Seul quelques livres de cours et une guitare posée au bout de son lit permettait de faire la différence entre un lit non occupé et le sien. Elle jeta non chamaillant ses lunettes sur son lit avant de s'y asseoir à son tour. Elle se chargea d'enlever ses bottes avant de relever la tête et de voir que le jeune femme ne semblait pas avoir bougé d'un centimètre. Elle ne semblait pas très bavarde, ni même très à l'aise à vrai dire. Étrangement cette dernière lui rappela ce qu'elle avait ressentit quand elle était arrivée à l'institut, quand elle se demandait encore si rester ici était une bonne idée ou ne relevé juste que de l'utopie. C'est sans doute pour cette raison, ou à cause de l'alcool qui coulait encore dans ses veines et se surprit à relancer la discussion. "Tu es Madison c'est ça ?...Tu ne devrais pas être en cours à cette heure ci ?" Intérieurement la jeune mutante était déjà en train de regretter cet élan de...y avait-il un mot pour ça ? Elle n'était pas doué pour ça, parler au gens...faire comme si leur vie était intéressante, comme si elle n'avait pas mieux à faire comme enlever cette robe qui l’empêchait de respirer et d'aller prendre une douche.
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Sujet: Re: Enlarge your world - Mad world Mer 23 Sep - 17:39
Enlarge your world (Mad world)
feat : Isaora & Madison
Tu aurais surement préféré rester seule, mais ce n’était plus possible. La vie n’avait pas voulu que tu te reposes. En ce moment, tout ce que tu avais besoin c’était de temps, le temps de t’adapter à cette nouvelle vie que tu ne comprenais pas. Parce qu’ils avaient beaux dire que tu étais une mutante, au final… tu continuais d’entendre des voix, au final… tu restais folle. Tu venais tout juste de poser les pieds au sol de façon plus ou moins rassuré quand une fille débarqua. Tel l’animal sauvage que tu étais, tu l’avais fixé légèrement. En ce moment, cette fille, c’était un peu les phares de la voiture qui allait t’écraser, rien de moins. Pourtant, tu l’avais salué. Tu avais tenté à ta façon un peu maladroite de ne pas te faire renverser, de ne pas te laisser tuer par une aussi petite interaction sociale et ça marchait bien ! Elle t’avait répondu et elle avait été faire autre chose. Voilà, tout le monde était satisfait. Si la chambre n’était pas vraiment décorée pour elle, elle ne le serait jamais plus pour toi. Trois ans en Institut, tu t’y étais faite à la blancheur des murs, aux petites tâches récurrentes sur les murs et aux grains irréguliers du mur, celui qui lui donnait sa texture que tu n’aimais pas. Malgré qu’ici, ça aille, c’était bien peint, pas que de l’apprêt. Parce que la texture rappeuse de l’apprêt, tu détestais ça et tu n’étais pas la seule, on disait que c’était une caractéristique chez les fous de ne pas aimer certaines textures.
« Mais t’arrêtes, t’es pas folle toi. » « Tu as une preuve de ça ? » « … » « Voilà. » « Mais rendu là, personne a de preuve qu’ils sont sains d’esprit non plus ! » « Bah oui, ils n’entendent pas de voix eux. »
Cette logique quand même non ? Donc, les salutations avaient été faites, maintenant tu avais le champ libre pour exister toute seule dans ton coin. Poser les pieds au sol, tenter de te lever, des trucs normales quoi. Bon en même temps, une fois debout tu n’avais aucune idée de ce que tu allais faire. Tu n’irais pas en cours. Il avait beau dire ce qu’ils voudront, tu n’allais pas supporter des voix à l’interne comme à l’externe. Pour le moment, fallait survire sans le brouillard des médicaments et sérieusement, ils te manquaient les médocs. Tu ne le savais pas encore, mais tu avais la belle vie à l’hôpital. Une voix parmi les autres, un clone comme ils les appellent ici. Rapidement, tu n’aurais pas su dire lequel. « Elle te parle. » « Hein ? Quoi ? » « La blonde, elle te parle. Concentre-toi. Dit que oui, tu es toi. » « Hm, eh… je, oui. Je suis Madison. » « Maintenant, t’explique pourquoi tu n’es pas en cours.. »
Pourquoi tu n’étais pas en cours ? Bonne question. Peut-être parce que tu ne savais pas où aller, ni comment lire leur planning et que tu n’avais même pas comprit comment on faisait pour les trucs de bases, genre manger et te laver. À l’hôpital, tu mangeais dans ta chambre et une dame t’amenait prendre ta douche. Ils avaient peur que tu te blesses, que tu oublies que ta tête, tu en avais besoin juste parce que quelques fois, quand les voix deviennent trop intense, tu t’étais taper la tête dans le mur à répétition sans le remarquer. Ce n’était pas de ta faute, mais maintenant… tu n’avais plus personne pour agir à ta place. Tu n’avais qu’un suivi psychologique de base, au même titre que le gamin qui subit de l’anxiété… et ça te faisait peur, vraiment. Donc oui, l’explication divine… tu ne savais pas quoi dire. Le néant. « Dit que tu ne te sens pas bien. » « Nah, fait ta rebelle, dit que tu n’avais pas envie. » « Dit que tu t’en fous. » « Mens, dit que tu ne commences que demain. » « Arrêtez, j’ai du mal à suivre, pas tout le monde en même temps. »
Parce que comme ça, tout avait l’air simple hein, mais pour toi… suivre la conversation à l’interne et devoir parler à l’externe, ce n’était pas simple. Alors, doucement, tu te rendais compte que ça avait créé un délai. Que tu réfléchissais à la question, que ça se voyait, mais que tu ne répondais pas tout de suite. Tu savais que pour le moment, tu passais pour idiote, mais rapidement, ta collègue de chambre réaliserait que tu étais stupide et folle. Le meilleur des deux mondes quoi. - Hm, désolé. Je… j’ai pas compris un traitre mot de ce qu’ils m’ont expliqué et du coup… je suis terrifiée. Elles, on, je… tu crois que je suis obligée d’y aller ? On n’était pas certaines. « Je te donne un 4 pour l’effort. » « Bon d’accord, c’est pas gagné. Tu feras mieux avec l’autre fille qui dort avec vous.» « Madie, ça fait combien de temps que tu n’as pas parlé à un garçon déjà ? » « Ça ne lui fait pas si longtemps… si notre frère compte… » « Il compte ou pas ? » « Nah, ça serait bizarre sinon. »
Bref, tu n’étais pas ce qu’il y avait de plus saine d’esprit et tu n’allais pas t’en sortir facilement. En fait, tu n’étais même pas certaine qu’on te garde dans cette Institut. Ils réaliseraient rapidement qu’ils avaient fait erreur. Parce que mutante ou pas, t’étais une inadaptée maintenant. Bon aller, maintenant fallait te lever et aller à la penderie, tu y avais mis ta valise et tu ne l’avais pas vidé. Tu le savais. Tu n’avais pas envie de le faire, mais t’es clones te poussaient à le faire. C’était mieux pour toi qu’elle disait. Que l’école serait bien pour toi. Parce qu’au final… si tu claquais… elles disparaitraient aussi. Sauf que tu étais pétrifiée. Tu voulais défaire cette putain de valise, mais tu n’arrivais pas à exister, alors ta volonté versus la peur… ton corps fit un compromis. Près de ta valise apparut un Madison 2.0, pas toi non, elle était vide celle-là, tu le sentais. Sauf qu’elle c’était mis à vider ta valise, doucement. C’était bien comme ça, tu avais besoin d’aide en ce moment.
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Sujet: Re: Enlarge your world - Mad world Mar 29 Sep - 16:51
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Madison & Isaora
Isaora avait fini par tourner le dos à la jeune fille pour se défaire de sa robe. Elle n'était vraiment pudique et aurait sans doute du faire un effort face à cette nouvelle colocataire qui semblait pour le moins...paumé. Ses réponses avaient du mal à fuser, elle ne savait pas à quoi était du cette latence, peut être ne parlait-elle pas couramment la langue ou n'avait-elle juste pas envie de parler. Isaora n'en fit pas état trop concentré dans l'effort qu'elle devait fournir pour se défaire de ses vêtements. La fermeture éclaire lui donnait du fil à retordre et ce n'est qu'au prix de plusieurs tentatives qu'elle se décida enfin à céder. Le tissu s'affala sur le sol dans un bruit étouffé dévoilant au passage les cicatrices qui jonchaient le dos de la mutante. Les années les avaient blanchis mais la plus importante celle qui prenait naissance en haut de sa nuque et se terminait à la naissance de ses reins était aisément perceptible. Cette fois encore l'idée de dévoiler cette partie de son corps ne la dérangeait pas plus que ça. Si elles étaient destinées à être voisines de chambre Madison finirait un jour ou l'autre par la voir alors il n'y avait pas de raison de s'inquiéter pour ça. Non et puis en règle générale les gens faisaient semblant de ne rien voir pour ne pas en venir à des questions sensibles et des sujets trop personnels. Elle finit par jeter sa robe dans le coin de son lit et attrapa un long t-shirt dans son placard avant de l'enfiler. Elle se tourna enfin quand Madison reprit la parole. « On … ?»Isaora plissa légèrement les sourcils en essayant de comprendre ce que Madison était en train de lui raconter. Ses phrases étaient quelques peu décousues mais elle lui confirma l'idée qu'elle s'était faite de la jeune fille. Elle se trouvait perdue dans un monde étranger au sien et ça Isaora pouvait parfaitement le comprendre. Elle avait elle même eut du mal à se faire à la vie en institut et sans Blake à ses côtés elle n'aurait sans doute jamais déballé ses affaires et serait repartie d'où elle venait quitte à replonger tête la première dans cette vie nocive qui avait été la sienne. Car aussi nocif était-il, il y avait quelque chose de réconfortant dans l'idée de vivre dans un milieu que l'on connaît parfaitement, aussi dangereux, auto-destructeur soit-il. L’inconnu quand à lui était déroutant, perturbant et avait tendance à vous faire couler à pique. Sans une main amicale, plus ou moins bienfaitrice il était plus que possible de finir sans oxygène. C'était sans doute cette forme d’empathie qui retenait Isaora dans cette chambre lui donnant même l'autorisation de sourire amicalement à la jeune mutante. « Je pense que pour votre... premier jour ici personne ne viendra te...vous dire quoi que ce soit ». Isaora ne savait pas vraiment pourquoi Madison parlait d'elle à la troisième personne. Sans doute avait-elle une sorte de double personnalité, ça ne serait pas vraiment étonnant, après tout l'institut regorgé de personnages étranges,plus ou moins sains d'esprit. Alors elle s'était machinalement dit que leur répondre et non lui répondre était la meilleure chose à faire. Elle n'eut pas le temps de se poser des centaines de questions sur le pouvoir de Madison que cette dernière décida de faire apparaître un double d'elle-même quand la chambre. «Merde !! » Instinctivement Isaora eut un mouvement de recul s’apprêtant à utiliser son propre pouvoir quand elle remarqua que le double de la mutante se contenta de...ranger les affaires de Madison. Sérieusement ? Sa colocataire était une sorte de Gremlins, elle était capable de se dupliquer... ou peut être était ce là qu'une sorte de projection astrale... ou peut-être était-elle en pleine alu ce qui de toute évidence pouvait être plus que possible«Le clonage ? C'est ça ton truc...A l'avenir préviens moi avant de faire un truc dans le genre..histoire que je ne claque pas d'une crise cardiaque... » Sa colocataire était donc en mesure de se cloner, intéressant comme pouvoir, voir même très intéressant...
Anglais Italien Pensée
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Sujet: Re: Enlarge your world - Mad world Mer 30 Sep - 5:52
Enlarge your world (Mad world)
feat : Isaora & Madison
Tu l’as regardait, sans la regarder. Pour le peu que tu avais vu des gens ses dernières années, la plupart avait oublié ce qu’était la pudeur. Certaines ce permettaient même de se promener avec les fameuses tenues d’hôpital servant à te montrer les fesses à tout un chacun. Alors, pour toi, une fille qui se change, ce n’est pas quelque chose d’extraordinaire, tu étais même tellement occupé à comprendre ce que les voix dans ta tête te disaient que tu n’avais même pas remarqué les cicatrices. Fallait avouer qu’une ou deux voix en avait glissé mot, alors tu avais cherché de quoi elles parlaient, mais déjà… il y avait un t-shirt. Ce n’était pas plus grave, tu ne t’en souciais pas vraiment. Elle t’avait parlé, tu lui avais répondu et les dés étaient maintenant jeté. Tu avais annoncé ta couleur. Pourtant, elle t’avait souri. Ce n’était pas l’hypothèse première qui te venait en tête, mais elle, elle t’avait souri en répondant que puisque c’était ta première journée, personne ne te dirait quoique ce soit. Ça n’aurait pas été si mal sauf que…
« Voilà, bravo. » « Quoi? » « Elle parle de nous au on, elle nous a catégorisé de folle. » « Oui, mais… techniquement… je suis folle. Alors ça va. » « Non ça va pas! » « T’es pas folle, on est juste plusieurs!» « Bah alors… elle a pas tords de nous vouvoyer non?» « … » -Tant mieux alors.
Tu n’étais même pas sur de t’adresser à elle ou à tes clones. Une chose était sûr, tu n’allais pas te plaindre d’avoir gagné une joute verbale. Ce n’était pas la première que tu gagnais, mais en général, fallait l’avouer… tu les perdais. Tu t’étais mises en tête de vider au moins ta valise. Tu savais que tu serais surement ici pour un moment, du moins, jusqu’à ce qu’ils réalisent leur erreur et qu’ils te ramènent chez les fous. Alors aussi bien ranger convenablement tes affaires. Pourtant, l’idée même de te lever pour le faire te semblait inconcevable, comme si tout étais vraiment trop difficile pour toi. « Bouge. » « Magne-toi. » « Lève ton cul. C’est pas difficile. Aller up. » « J’y arrive pas, c’est pas difficile à comprendre. »
Tu avais légèrement froncé les sourcils, comme si la discussion du moment ne te plaisait pas, pourtant, quand ton regard se posa de nouveau sur ta colocataire, tu tentas de sourire. Tu avais aussi fait apparaitre un clone de toi, un vide, pour vider ta valise à ta place. C’était une bonne chose quand même. C’était quelque chose que tu avais appris à faire en absorbant Alexa. Ça te faisait toujours bizarre d’y repenser et étrangement, les autres se la fermaient le temps de quelques secondes de silence, comme si tout le monde culpabilisait de cette mort. Quand l’autre vit ton clone, elle ne pu que sursauter et ne pas apprécier.
« De l’italien! On me parle?! » « Nah, ferme-là toi.» « Sérieux, t’es chiante là. » « Vous pouvez arrêter s’il vous plait, j’arrive plus à penser! »
Ton clone s’afférait à ranger tes choses et toi tu le regardais. L’autre te parla et tu n’avais pas vraiment remarqué. Florence te ramena à l’ordre avant que tu ne lèves ton regard sur la blonde de nouveau. Tu devrais apprendre à gérer se délais un jour. Le problème, c’est que tu ne savais absolument pas ce qu’elle venait de te dire, alors tu balanças des points d’interrogation à la gueule des autres. Tu ne savais pas vous étiez combiens, mais il y en avait bien une qui avait suivi la conversation quand même! On sonna la cloche d’une gagnante, qui te balança rapidement en soupirant ce que la blonde t’avait dit. Tu ne pouvais même pas dire qui t’avait aidé, mais tu l’avais remercié. Donc ouais, clonage, la prévenir, pas de crise cardiaque. Donc ouais, être sage en sommes.
-Je… on peut tenter. Mais je ne contrôle pas grand-chose. En fait, je ne savais même pas que j’étais une mutante avant cette semaine, du coup… ça n’aide surement pas mon cas.
Étrangement, le dire avec des mots, l’exprimer à haute voix, ça te faisait du bien. C’était un peu comme… « Elle vient d’Italie? » … poser des mots sur un problème pour la première fois. Tu pourrais peut-être finir par y croire toi-même…. « Parce qu’elle parle italien. C’est de famille? Demande-lui!» … mais tu en doutais un peu. Parce que pour… « Demande-lui! » Parce que quand… « Demande-lui.» Tu pensais que... « Pitié demande-lui pour qu’elle se taise. Elle me donne envie de me tirer une balle. » -Vous arrêtez oui? D’accord, je lui demande. Donc, Elena veux savoir si t’es italienne. Si oui de où pour voir si c’est près de chez elle. « Contente? » Parce que sérieusement. Tu en avais marre parfois des voix dans ta tête. Surtout quand elles te harcelais pour un truc que tu n’avais pas envie de faire. « Oui. » Mais pas toi, mais ça tout le monde s’en fichait. Parce que là, tu entrais dans une discussion compliqué que toi-même tu ne comprenais pas. Parce que si on te demandait qui était Elena, leur expliquer que c’est ton clone qui habitait maintenant à Tivoli, tout près de Rome, c’était chiant. Surtout que tu devais expliquer comment tu faisais ton compte pour les envoyer et qu’expliquer que tu étais une espèce de fax ambulant, mais sans fax de retour, c’était chiant. En même temps, il faudrait bien que tu l’expliques si tu voulais qu’on t’accepte brisé comme tu l’étais. Donc bon. Ton regard c’était posé sur elle, attendant la réponse. Ton clone vide venait de ranger ta valise vide dans le placard, alors elle était venue te tendre la main. Tu l’avais saisit doucement pour la voir se dissiper dans un simple flou silencieux. Un clone vide, c’était tellement plus simple à assimiler qu’un véritable clone.
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Sujet: Re: Enlarge your world - Mad world Ven 9 Oct - 20:35
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Une novice ? Vraiment ? Mais qui avait eu la brillante idée de proposer à Madison de faire de la colocation avec Isaora ? Une personne qui avait du oublier que la jeune mutante n'était ni un exemple de patience ni de bienveillance. Les images de quelques une de ses colocataires lui revinrent alors en tête et notamment celle d'une toute jeune mutante dont le pouvoir n'était pas vraiment au goût de Isaora. Non bien au contraire la mutante avait le don de changer les objets en liquide et malheureusement pour elle elle avait par mégarde transformé quelques objets appartement à Isaora. N'étant pas d'une nature très compréhensive elle n'avait pas réussit à tenir une semaine entière avant d'annihiler le pouvoir de cette dernière lui jurant qu'elle lui enlèverait définitivement si elle la voyait encore utiliser son pouvoir dans la chambre et même en dehors. Le seul petit détail qui ne sembla pas adoucir la mutante était que la pauvre petite ne savait pas maîtriser son pouvoir, détail qui ne perturba pas Isaora pour autant. Non Isaora n'était définitivement pas le type même de la colocataire qu'on rêverait tous d'avoir. Madison aurait sans doute tout le loisir de le découvrir mais pour l'heure Isaora était dans ce qu'on pouvait appeler un bon jour. De plus elle trouvait le pouvoir de la jeune mutante plus amusant et distrayant que ceux de ses prédécesseurs. Isaora plissa légèrement les yeux tout en penchant la tête quand Madison reprit la parole. Elle n'arrivait pas vraiment à comprendre la jeune mutante qui sans doute tentait de communiquer avec elle. « Vous arrêtez oui ? » Vous ? Même si elle avait comprit que le message ne lui était pas destiné elle se demanda néanmoins combien de personnes étaient dans sa tête. Elle sourit légèrement à sa propre remarque intérieur avant de se concentrer une nouvelle fois sur sa futur colocataire. Elena voulait savoir si elle était italienne. Bon ok...mais c'était qui Elena ? Un double ? L'idée même que ses doubles puissent avoir des prénoms la perturba un moment. Elle ne connaissait pas l'entièreté du pouvoir de la mutante et c'est pour cette raison qu'elle ne comprenait pas réellement pourquoi ses doubles avaient des prénoms...Pour elle cela revenait à donner des noms aux membres de son propre corps. Après quelques secondes de réflexions peu fructueuse elle se décida à lui répondre « Oui..Oui je suis Italienne...je viens de Bari, c'est dans les Pouilles » Elle fronça légèrement les sourcils lorsque quelques images de sa région natale voulurent traverser les barrières mentales qu'elle avait érigé entre elle et son passé. La plupart du temps Isaora faisait en sorte d'oublier tout ce qui pouvait la ramener à son passé. Comme pour faire partir le plus rapidement possible ses souvenirs elle enchaîna. « Elena vient de quelle région ? ». Machinalement comme à chaque fois que ses pensées la ramenaient aux souvenirs de sa famille Isaora chercha dans son sac de quoi les éteindre. Sa main entra en contact avec une cigarette. Bien vite elle la posa sur le bord de ses lèvres sans même prendre la peine de demander à Madison si elle en voulait une ou si la fumée était dérangeante. Non elle se contenta de l'allumer tout en se dirigeant vers la fenêtre pour l'ouvrir. « Dites vous êtes combien la dedans » Tout en s’asseyant sur le rebord de la fenêtre Isa s'était retournée vers Madison montrant du doigt sa tête.
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Sujet: Re: Enlarge your world - Mad world Sam 10 Oct - 5:16
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feat : Isaora & Madison
Tu ne tentais même plus d’avoir l’air normal. Non, sérieusement, tu avais lamentablement échoué et tu le savais. Alors rendu à ce point, elle savait déjà que tu étais brisé… aussi bien continuer sur cette voix. Tu étais folle, tu t’assumais un peu… pour le moment. Tu tentais donc de garder le fil de ta pensée, mais tout le monde se bousculait à l’interne et tu avais du mal. Encore plus quand Elena se mit a te harceler sans raison apparente. Bon d’accord, elle avait une raison, mais elle n’était pas assez importante pour toi! Bon, en même temps… elle n’arrêterait pas, tu le savais, alors tu t’étais lancée, tu avais demandé si elle était Italienne. Voilà, elle serait heureuse là non? Donc, elle était bien italienne. Elle venait de Bari, un truc dans la Pouille, tu ne savais pas de quoi elle te parlait en fait. « Mais oui, attend, regarde, c’est ça. J’ai déjà vu. » « Merci. J’aime bien l’Italie. » « De rien, mais c’est quand même loin de chez moi. « Oh arrête, moi j’étudie à Milan, c’est encore plus loin. » « Han! Tu étdies à Milan Tamara? Depuis quand? » « Depuis… »
Voilà, elles venaient de partir une discussion qui ne te concernait plus. Elles allaient peut-être prévoir une rencontre et tout. Tu lui avais souris. Au moins, tu avais eu ta réponse, c’était déjà ça. Tu avais relevé le regard vers elle quand elle te demanda où vivait Elena. C’était gentil de demandé.
-Elena vis à Tivoli, mais je pense que je l’ai fait apparaitre a Monopoly, parce que je trouvais le nom de la ville marrante à l’époque. « Yep, je confirme. » -Elle confirme. C’est pour ça qu’elle connait Bari. Oh et Tamara tient à dire qu’elle vit à Milan. C’est les seules en Italie je pense.
Parce que certaines ne te faisais pas confiance. Certaines se taisaient, restaient loin. Elles avaient peur que tu te décides à aller les chercher, à regagner le contrôle, mais tu ne pouvais pas te décider à tuer tout le monde comme ça. Elles avaient une vie elles aussi après tout. Tu l’as regardait faire doucement, elle fumait? Surement puisqu’elle s’allumait une cigarette. Tu n’aimais pas cela, tu n’aimais pas l’odeur qui agressait tes narines, mais au moins, elle allait près de la fenêtre pour fumer. Tu ne lui aurais pas dit que ça te dérangeait, parce que tu n’étais même pas certaine que ça te dérange. Certaines de tes toi fumaient après tout. Pas toi, mais certaines oui. Alors, tu n’avais pas relevé. En fait, tout ce que tu avais relevé, c’est ton regard vers elle, quand elle demanda combien vous étiez. C’était une bonne question quand même.
« Les filles… on est combien?
Et là, tu fermas les yeux, les serrant fort, tu tentais juste de comprendre, de supporter les filles qui parlaient tous en même temps… elles se comptaient, c’était déjà donné des numéros par ordre d’arrivée. Florence avait récupérer le nombre d’Alexa et elle le donnait toujours avec une certaine solennité. C’était triste quand même. Tu ouvris finalement les yeux quand le brouhaha c’était laissé mourir pour donner naissance à de simple parasites.
-Je… on est… Si j’ai bien suivit le compte. Elles parieraient sur 81. Je les accumule depuis près de 11 ans aussi… ça n’aident pas ou ça aide… ça dépend du point de vu je suppose.
Tu avais réduit de plus en plus niveau clones, jusqu’à tenter de ne plus en faire. Maintenant que tu le savais, tu tentais d’arrêter, mais ce n’était pas quelque chose de facile à arrêter.
-Et elles sont toutes là, à discuter. On tente d’apprendre à vivre en… euh… je sais pas trop. Vivre ensemble je suppose. Juste, ne pas me tuer, ça serait bien. Ni me faire passer pour folle. La concentration n’est pas mon fort donc.
Parce que tu tentais simplement d’établir les faits. Tu voulais qu’elle sache dans quoi elle s’embarquait à vivre avec toi en fait. Comme ça, tout le monde savait. Tu ne savais pas trop ce qu’était son pouvoir à elle. Tout le monde se le demandait, mais tu n’osais pas. Tu n’osais pas, mais elles insistaient. Certaines étaient très curieuses face à cette Institut pour mutant, vraiment.
-Je… elles sont curieuses. C’est quoi ton pouvoir à toi? Mais, hm… si tu veux pas dire, t’es pas obligée hein. Oh moins, j’ai demandé, elles arrêtent de me harceler quand je fais ça.
Et tu avais baissé ton regard vers tes doigts, jouant avec ses derniers pour tuer la gêne qui te submergeait. Pour le moment, elle était gentille avec toi, tu n’avais pas envie de tout gâcher pour une question qui ne venait même pas de toi.
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Célibataire, pas assez courageuse pour changer ça annihilation: annihile les pouvoirs des autres mutants + Détection: telle une montre que l'on ouvre elle peut décortiquer le pouvoir des autres mutants. Elève qui passe la plus grande partie de son temps à traîner dans de mauvaises combines 31/08/2015 Taylor Momsen Adament 200
Sujet: Re: Enlarge your world - Mad world Mar 27 Oct - 16:15
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Madison & Isaora
La nicotine de sa cigarette enivrait déjà son corps finissant de relayer ses souvenirs au second plan. Son regard se perdait quelque peu à travers la fenêtre le vent vrai d'octobre la faisant légèrement frissonner. Le cours d'un instant elle avait oublié la présence de Madison, perdue dans ses propres pensées. Mais elle fut bien vite ramenée dans leur chambre par la voix de la jeune fille. Cette dernière lui indiqua que deux de ses clones vivaient en Italie, Elena et Tamara. «Tivoli ...Monopoli...»Comme l’Italie pouvait lui manquer, son odeur si particulière, cette langue chantante qui avait souvent raison de sa mauvaise humeur. Et puis il y avait aussi la mer, surtout la mer. Oui bien sur il y avait aussi la mer ici mais ce n'était pas du tout la même chose, elle était beaucoup plus froide, lointaine, plus hostile qu'elle ne l'avait jamais était dans sa mémoire.
«81...» Ça en faisait du monde dis donc. Si elles étaient toutes dans sa tête ce n'était pas vraiment étonnant qu'elle semble si...fragile. Elle qui était seule dans la sienne avait déjà du mal à rester maîtresse de ses émotions et de ses pensées. «Ça fait vraiment beaucoup...essayer de vivre ensemble...oui...sans doute...à ta place je tenterais plus de les faire disparaître...mais pourquoi pas...» Elle qui n'était pas de nature patiente ,même avec les amis qu'elle avait elle-même choisit, avait du mal à concevoir l'idée de partager son esprit avec 81 autres personnes sans avoir la possibilité de les faire taire d'un claquement de porte.
Madison avait finit par lui demander quelle était la nature de son pouvoir. La jeune mutante semblait quelques peu gênée de poser cette question ce qui fit sourire Isaora. C'était une façon de la mettre en confiance et de lui faire comprendre que cette question n'était pas du tout dérangeante. Toutefois elle avait préféré tirer une nouvelle fois sur sa cigarette avant de répondre à la jeune mutante. «J’annihile les pouvoirs des autres mutants... » Elle resta quelques secondes sans rien dire se demandant si elle allait lui faire le refrain habituel qu'elle lançait aux mutants qu'elle ne connaissait pas pour les mettre faussement en confiance. « Pour faire simple je peux faire en sorte de rentre les mutants...plus simple, plus humain »C'était assez ironique en y pensant, elle qui avait au fil des années fini par vouer une certaine haine envers les humains. Elle était capable de rendre humain tous les mutants qu'elle croisait. Serte ce n'était pas définitif et son pouvoir pouvait tout au plus être actif pendant 24h mais tout de même, l'ironie était ici assez belle pour être soulignée. D'une certaine manière c'était peut être ce qu'elle pouvait souhaiter de pire à un mutant, la simple humanité. Qu'il soit une bénédiction pour certain ou même un fardeau, la mutation était pour elle le signe d'une forme de supériorité non discutable. Pour finir Isaora ne jugea pas bon de parler de sa seconde mutation, celle qui lui permettait de connaître et de comprendre le pouvoir des autres. Il était un atout non discutable lorsqu'elle avait besoin d'annihiler en parti le don d'un mutant ou lorsqu'elle avait besoin de connaître intimement une personne lui étant encore inconnue.
Après avoir fini par jeter la cigarette qu'elle avait totalement consumé Isaora s'accroupit sur le rebord de la fenêtre toujours ouverte. Une nouvelle fois elle se demanda si elle était sensée dire quelque chose histoire de ne pas laisser un blanc dans la discussion. Le genre de blanc gênant qui allait se finir par un « Bon je vais aller prendre ma douche ». D'une certaine manière sans doute aurait-elle préféré en venir directement à la case à plus tard mais face à une Madison si...cute elle n'avait pas le cœur à la laisser en plan comme ça, sans demander son reste. Car oui Isaora avait bien un cœur, quelque part...sans doute...sûrement... « Tu as eu le temps de rencontrer d'autres personnes ? » Et c'est la question la plus bateau du monde qui réussit à sortir de sa bouche non sans un moment de latence durant lequel Isaora ne se comprit pas vraiment. Si elle continuait sur ce chemin, dans deux heures tout au plus elle finirait par se faire mutuellement des couettes en chantant des chansons de Disney... Oui le raccourcit était exagéré mais néanmoins Isaora n'était pas familière avec l'idée d'être aimable et courtoise avec une autre personne alors pour l'heure elle faisait de son mieux.
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Sujet: Re: Enlarge your world - Mad world Lun 2 Nov - 4:03
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Tu l’as regardais fumée, ça ne te dérangeais pas. En fait, il n’y avait pas grand-chose qui te dérangeais toi. Tu n’étais pas de celle qui exigeait beaucoup des autres. Alors si ta coloc fumait, c’était mauvais pour sa santé à elle et puis voilà, c’est tout. Toi, tu n’en avais rien à faire. Tu lui avais expliqué que vous étiez pas mal et finalement, tu avais expliquez que vous alliez surement finir par apprendre à cohabiter. C’était le mieux que vous puissiez faire non? Pourtant, la fille disait qu’elle, elle tenterait de les faire disparaitre. Genre… un génocide de Madison? Non merci? Tu ne pouvais pas accepter ce genre d’idée. C’était comme tuer une partie de toi.
-Je… ne me verrais pas les faire disparaitre. C’est un peu comme… les tuer et… je pourrais pas tuer une partie de moi. Pas de nouveau.
La sensation la plus horrible du monde. Récupérer un clone. C’était désagréable, mais en plus, ton clone te balançait absolument toute sa vie, tous ses souvenirs pour que tu te souviennes toute ta vie de ce que tu lui retirais en l’absorbant. Pour que tu te rappelles qui sera triste et à quel point cette partie de toi les aimait. Rajoutant à cela la douleur et la migraine horrible. Un peu comme si ton cerveau était en surchauffe de recevoir autant d’information d’un coup. Donc ouais, horrible. Tu ne recommencerais jamais. Tu avais fini par demander quel était son pouvoir à elle. Parce qu’ici, tout le monde avait un pouvoir ou presque, alors… tu pouvais bien demander. Surtout quand on pensait que… bah… tu allais dormir dans la même pièce qu’elle. Genre… si son pouvoir pouvait te tuer… tu aurais préféré savoir, tout simplement. Elle mentionna donc qu’elle… annulait les pouvoirs. Tu… tu t’inquiétais déjà, sans trop savoir pourquoi. Genre, une annulation…. Est-ce que ça tuait tous les clones d’un coup? Genre… toi avec en considérant que ta tête allait vraiment exploser en recevant l’information de tout le monde? Genre, elle rendait les mutants humains et… c’était cool, c’était surement pratique, mais là… maintenant… tu paniquais un peu en dedans de ton petit cœur. Non sérieusement, c’était terrible.
-Je… euh… on… elles… je… on pourrait éviter d’être annulé? Genre, je… on… pas que… genre… Quand un clone meurt, je reçois sa vie et ses souvenirs d’un coup. La dernière fois, j’ai eu la migraine pour trois jours… si mes 81 clones reviennent d’un coup… je pense sincèrement que… bah… ma tête va exploser en fait. Genre, tu vas devoir nettoyer du cerveau pour au moins une semaine.
Et là, tu lui balançais sans le vouloir ton regard de chiot. Genre, pitié, ne me tue pas, ma vie est entre tes mains. Voilà, c’était dit. Parce que tu ne savais pas ce que son pouvoir ferait sur toi… tu n’avais pas envie de tester. Genre… non merci. Mourir, ce n’était pas le truc le plus agréable du monde. En tu avais dit que ta tête allait exploser, mais… ton cerveau allait surement se liquéfier en fait. Genre, tu n’en savais rien et sérieusement, tu refusais de savoir, voilà. Elle avait gardé le silence et tu l’avais gardé aussi. Tes clones discutaient, mais tu n’arrivais même pas à les suivre en fait. Tu étais juste… complètement larguée, même dans ta tête. Alors, elle te posa une question et tu relevas les yeux. Genre, si tu avais rencontré des gens? Bleh, toi et les gens, ça faisait trois.
-Je… hm… non. J’ai pas encore osé explorer l’Institut. Le… quand y a trop de gens… j’arrive plus à rien, un peu comme si mon cerveau shut down. Je… ça… je suis pas encore habitué à tout ça.
Parce que sérieusement, c’était chiant tout ça. Il fallait quand même souligner un truc important, c’est qu’avant… tu étais sous médication, dans une chambre capitonner ou presque, insonorisé et tu étais bien. Maintenant, tu n’avais plus rien de tout ça.
-J’en suis encore à l’étape de base… genre… besoin primaire. Manger, douche. Les gens… je les aime pas trop en fait.
Parce que tu n’arrivais pas a t’exprimer correctement, tu perdais le fil de tes propres pensées et les gens étaient rarement gentil avec les personnes comme toi. Les personnes comme toi, on les internait, tout simplement. Alors ouais, tu ne lui demandais pas de t’aider, mais… tu espérais secrètement qu’elle le fasse, parce que vraiment… t’étais paumée en ce moment.
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Sujet: Re: Enlarge your world - Mad world Sam 7 Nov - 22:53
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Madison & Isaora
« Pas de nouveau. » En voyant le regard de la jeune femme une sensation étrange envahi la jeune mutante. Quelque chose qui se rapprochait de la compassion, comme si elle savait de quoi elle parlait. D'une certaine manière c'était le cas, elle savait de quoi elle parlait elle savait l'effet que pouvait avoir la perte d'une partie de sois. Elle avait perdu, tué sa jumelle, ce jour la avait celé à jamais une partie d'elle, la perdant pour toujours. Maxine était morte emportant avec elle la personne bonne qu'Isaora aurait du devenir. Alors elle savait l'effet que pouvait engendrer la perte d'un être que l'on aime plus que sa propre personne. Le vide que l'on comble avec ce qu'on trouve, Isaora avait choisit la haine, d'abord en vers, la poussant à s’autodétruire toujours un peu plus. L'alcool, la drogue, le sexe et parfois dans ses plus sombres moments la scarification. Non elle n'en était pas fier, loin de la et croyez le ou non c'était une chose qu'elle ne souhaitait à personne. Puis la haine qui dévorait son âme avait fini par être trop grande et avait déteins sur les personnes qu'elle avait jugé responsable à juste titre ou non de la mort de sa famille, les humains. Si Blake ne l'avait pas trouvé et ramené l'institut il ne faisait aucun doute sur le fait qu'elle n'aurait jamais fêté ses 20 ans. Elle avait fini par se moquer légèrement de Madison quand elle lui indiqua qu'elle devrait ramasser son cerveau à la petite cuillère si elle en venait à annuler ses clones. La vision de cette scène qui lui était apparu en Cartoon la fit rire réellement. Il y avait d'autre façon de les faire disparaître comme les faire taire ou les empêcher d'être présentes à chaque moment de sa vie. Grâce à son pouvoir il lui était assez simple de percevoir les connexions qui s'établissaient entre Madison et ses clones, en se concentrant un peu elle pouvait simplement les voir comme de simples files de couleur qu'elle pouvait couper sans même avoir besoin de se lever. Pour elle s'était aussi simple que de respirer, aussi facile que de parler. Elle aurait pu lui expliquer, elle aurait pu... Mais elle ne le fit pas, sans doute parce qu'elle voulait garder cette partie de son pouvoir secret pour un moment où il serait plus opportun de le sortir. En voyant son air de chien battu Isaora ne put s’arrêter de sourire tout en lui disant d'une voix rassurante « Ne sois pas inquiète je ne vous annulerais pas...ce serait dommage de faire exploser... » Elle allait ajouter un un aussi joli minois tel que le tiens avant de se contenir. Il était hors de question qu'elle empreinte ce chemin avec elle. Oui Madison était mignonne, elle avait une beauté fragile qui ne la laissé pas indifférente. Elle aurait menti si elle avait dit qu'elle n'était pas son genre de fille, bien au contraire, si elle était attiré par la puissance, la force des hommes c'était la fragilité qui au contraire l'attirait chez les femmes. Mais là avec Madison, il était hors de question que cette fois cette partie de sa personnalité prenne le dessus. Car la jeune mutante semblait beaucoup trop fragile, beaucoup trop cassée. Elle pouvait le sentir au plus profond d'elle et voir par la même occasion que ce terrain n'était pas que glissant, il n'apporterait rien de bon. « De faire exploser ma nouvelle colocataire alors qu'elle vient tout juste d'arriver » Ça c'était du rattrapage. A ce moment précis Isaora était presque fière d'elle comme si elle venait d'établir un record du monde. D'une certaine manière quand on la connaissait bien on pouvait se rendre compte que c'était un peu le cas. Elle avait fini par se lever du bord de la fenêtre se posant en tailleur sur son lit. «Je comprends...quand je suis arrivée, j'ai du mettre plus d'un mois avant d'adresser la parole à quelqu'un...c'est pas évident de rentrer dans un monde dont les codes te sont étrangers » Elle avait fini par lui sourire amicalement, parce oui elle en était capable. « Les gens... je ne les aime pas beaucoup non plus en général... » Pour sure ça ce n'était pas vraiment nouveau et pour parfaire le tableau les gens ne l'aimaient pas beaucoup en retour. Mais pour Madison ça serait différent, elle pouvait le sentir, la jeune mutante n'était pas comme Isaora, même si elle ne s'en rendait pas encore compte ce monde l’accueillerait à bras ouvert, elle était bien trop mignonne pour que ça se passe autrement...
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Sujet: Re: Enlarge your world - Mad world Dim 8 Nov - 4:12
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Parce que tu l’avais déjà fait. Tu avais déjà tué l’une de tes clones, tu l’avais absorbé pour arriver à survivre, mais ça… personne ne pouvait le comprendre. Personne ne pouvait comprendre que toi, dans toute ta petitesse, du avait besoin qu’on te tende la main, qu’on la saisisse et que tu apprennes de tout ça. Tu ne voyais pas tes clones comme une souffrance, c’était compliquer à gérer, mais c’était aussi un beau cadeau que la vie t’avait faites. Tu n’étais jamais seule, jamais que tu n’avais eu à chercher désespérément quelqu’un pour t’écouter, te conseiller, parce qu’elle avait toujours été là. Elles avaient fini par devenir tout pour toi et maintenant, tu devais simplement devenir tout pour elles aussi. Quand elle rajouta qu’elle n’allait pas vous annuler, tu relevas ton regard légèrement brillant vers elle, avec ton seul sourire en guise de remercîment. Un tout petit sourire, qui voulait dire mille et une choses pour toi. Elle était gentille ta coloc, tu allais peut-être te faire à la vie dans cette Institut finalement. Elle trouvait dommage de faire exploser ta tête et …
-Étrangement… je trouverais ça dommage aussi. Je sais pas pourquoi.
Avec un tout petit sourire joueur, possédant une touche de malice que seul ton frère pourrait reconnaitre chez toi. Cette malice que tu possédais dans ta jeunesse, avant le bug de ton pouvoir. Au moins, tu l’avais fait rire, ça partait sur de bonne base non? Tu n’avais même pas remarqué la superbe technique de rattrapage qu’avait usé la fille, parce que tu devais tellement te concentrer sur tes propres phrases que tu ne remarquais pas ce genre de chose. Tu avais mentionné avoir du mal avec les gens, que tu ne les aimais pas particulièrement et pour le moment, c’était vrai. Non mais vraiment, parce qu’ils jugeaient, faisaient du bruit, tout ça et tu n’aimais pas ça.
-Je… elles… on… on est différente. Je suis différente à cause d’elles et… parfois… les gens me regarde bizarre ou ne comprennent pas et… j’aime pas ça. C’est super difficile à gérer quand… on parle à plusieurs ou qu’elles se mêlent de ma conversation. Je… alors du coup, j’aime moins les gens. Ça, c’est sans parler des foules, parce que là… je ne m’en sors pas.
Mais genre, vraiment pas. Ce n’était pas que tu ne voulais pas t’en sortir, c’est juste que ton cerveau shut down au bout d’un certain nombre de voix, tout simplement. Un jour, tu arriverais à gérer. Peut-être, mais… tu en doutais. C’était tout un job de gérer ton pouvoir.
-Tu crois que… qu’il… que les gens vont être gentils avec moi? Même si je… Je suis un peu bizarre?
Parce que tu descendais machinalement ton regard vers tes doigts, tu avais glissé tes mains dans tes manches et tu les triturais au travers du tissu. Tu n’étais absolument pas confiante pour la suite des événements. Tu ne savais pas non plus que tu avais une espèce d’aura qui rendait les gens gentils, parce que chez les humains… ce n’était pas comme ça. Avec les humains, tu étais une erreur de la nature, tu étais brisés et on devait t’archiver chez les briser pour t’oublier. Ici, tu ne savais pas ce que tu étais. Ton but n’était pas d’attirer la pitié ou la sympathie, tu voulais juste… être rassurée un peu. Tu avais besoin de faire confiance en la vie.
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Sujet: Re: Enlarge your world - Mad world Ven 13 Nov - 20:16
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Madison & Isaora
Si les gens allaient l'aimer ? Les gens allaient l'adoré oui. Madison était comme un bébé chiot que l'on adopte le soir de noël. Adorable, mignon et qui vous donne l'envie inexplicable de le protéger contre le monde entier dès le premier échange de regard. Oui Madison était un bébé chien, et les bébés chiens faisaient toujours fureur. D'une certaine façon Isaora n'échappait pas à la règle elle qui d'ordinaire aurait juste passé son chemin face à une nouvelle colocataire se voyait en train de la rassurer sur ce qu'allait être sa vie au sein de l'institut. «Tu vas vite t'apercevoir que tous les gens ici sont bizarres, chacun à leur manière et chacun à un degrés différent mais ils le sont tous. » Elle avait fini par lui sourire comme pour la rassurer et lui montrer qu'elle croyait vraiment en ce qu'elle disait. Le pire pour Isaora à cet instant précis était le fait qu'en plus de le croire vraiment elle l'espérait pour elle. Et pourtant elle n'avait pas l'habitude d'être aussi prévenante et amicale C'est sans doute pour cette raison que son propre esprit sonna alors la sonnette d'alarme avec force et rage comme pour la réveiller. Il fallait qu'elle sorte de cette chambre avant de se perdre totalement car elle allait vraiment finir par lui coiffer les cheveux si elle continuait sur cette voie...voir pire devenir amie avec elle...Oui il fallait avouer que les peurs d'Isaora étaient quelque peu...étrange mais elle avait sa propre logique et d'une certaine manière en y réfléchissant ça se tenait. Car la mutante n'avait pas envie de s'attacher outre mesure aux gens qui l'entouraient. Si elle avait fait une exception pour Blake c'est parce qu'il avait su s’ingérer dans sa vie comme un pilier lui donnant un nouveau souffle dans ce monde qu'elle se contentait d'ignorer. Mais en règle générale ne pas s'attacher c'était résoudre des problèmes avant même qu'ils ne surviennent. Et là tout en jugeant ses propres réactions face à Madison elle savait qu'elle allait être une source de problème pour elle. Il fallait donc pour le bien de tout le monde, surtout le sien, qu'elle mette fin à cet échange de bons sentiments entre les elles-deux. Elle avait donc fini par se lever passant une main dans ses cheveux tout en tournant le dos à la jeune mutante. « Il faut que j'aille me laver... » Elle ne voulait pas faire face à ses yeux qui allaient sûrement la pousser à rester encore quelques secondes. Elle avait fini par prendre une serviette dans son armoire ainsi que quelques bouteilles de savon. Puis tout en se dirigeant vers la porte elle avait osé tourner la tête vers Madison pour lui parler une dernière fois « Ils vont t'adorer...fais moi confiance...»Elle lui avait sourit, encore une fois, elle n'avait pas pu résister à l'envie de la rassurer. Intérieurement, tout en fermant la porte derrière elle, laissant Madison seule dans la chambre, elle s'engueuler du manque de volonté dont elle faisait preuve. Si pour l'heure elle mettait ça sur le dos de la fatigue, de l'alcool et de certaines drogues elle espérait que dans l'avenir elle aurait plus de volonté face à cette jeune mutante qui promettait de lui causer quelques soucis.
FIN
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Sujet: Re: Enlarge your world - Mad world Mer 18 Nov - 3:30
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Tu avais demandé à Isaora si les gens allaient t’aimer. Tu étais bizarre, tu sortais d’un asile, tu ne comprenais rien à ton pouvoir, tu n’avais rien à offrir en soi et pourtant, elle était persuadée que tu allais plaire un minimum. Tu ne comprenais pas vraiment pourquoi. Tu avais de grand point d’interrogations dans les yeux en la regardant, mais finalement, tu te passas une main dans les cheveux, gênée. Tu descendis ton regard vers tes mains, tes manches tout particulièrement puisqu’elle les recouvrait et tu les trituras pour calmer cette angoisse naissante. Elle t’assurait que les gens ici étaient bizarres aussi, tout le monde l’était à des degrés différents, mais que tout le monde l’était. C’était peut-être vrai. Parce qu’on lui avait quand même dit qu’ici, tout le monde était mutant, alors… tout le monde connaissait plus ou moins les problèmes liés aux pouvoirs. Tu n’étais pas certaine que ça fasse de ce fait une réalité, une vérité absolue, mais… tu aimais bien la croire. C’était bien de croire que c’était possible.
-Tant qu’ils sont gentils… moi le bizarre ça me va.
Parce que tu n’étais pas du genre à juger les gens. En fait, si c’était le cas, c’est que les autres clones l’avaient fait pour toi. Toi, tu étais encore un peu gamine, faut bien l’avouer, trois ans de ta vie t’avait échappé et tu donnais l’impression de tout redécouvrir, après les clones, le black out, les médicaments… plus rien n’était clair pour toi. Il te fallait du temps, beaucoup de temps, mais pour le moment, tu n’en avais pas vraiment prit. Tu t’étais donc déjà pris d’affection pour ta nouvelle colocataire. Elle faisait un peu peur, elle semblait froide, mais finalement elle était vraiment gentille. Ça te faisait plaisir, parce que… en fait… tu allais la côtoyer tous les jours celle-là, alors si elle n’était pas gentille, ça n’irait pas bien dans ta vie. Tu avais de nouveau descendu ton regard vers tes mains par réflexe. Tu ne savais pas trop quoi dire, mais… tu n’avais pas envie qu’elle parte. Tu n’avais pas envie d’être toute seule avec toi-même. Sauf qu’elle te balança qu’elle allalit le faire. Il fallait qu’elle se lave. Non, non… non? Tu ne voulais pas être seule, alors tu avais relevé un regard limite suppliant vers elle, mais… elle ne te regardait pas. Elle était déjà presque sortie, elle t’avait finalement regarder pour te dire simplement qu’il fallait lui faire confiance, qu’il allait t’adorer et ça te fit chaud au cœur. Tu battis des cils doucement pour en chasser l’émotion et lança un tout petit :
-Merci, bonne douche.
Sans plus. Tu n’allais pas la retenir, même si déjà tu te sentais affreusement seule. Ouais, toi, te sentir seule… malgré la quarantaine de voix que tu entendais dans ta tête en ce moment, tu te sentais seule dans cette réalité. Tu passas rapidement ta manche sur tes yeux, les essuyant au passage. Tu allais apprendre à aimer cet endroit. Tu allais te rassurer un minimum et apprendre à vivre de nouveau avec toi-même. C’était un défi de taille, mais… tu y arriverais bien. Peut-être… un jour… mais peut-être pas toute suite.