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L'hiver arrive ! Du moins, il est bien arrivé à New-York. Profitez-bien de la neige !
C'est hallowen les amis ! Et si vous faisiez un petit tour par notre sujet commun pour fêter l'occasion ?
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 The dreams in which I'm dying are the best I've ever had

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Madison Mendel

Feuille de personnage
statut: membreclasse gammacrazy foxes
- Madison Mendel -
duco corporis

Hm, célibataire, définitivement
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Élève
16/09/2015
Sky Ferreira
sign: ROYALS.
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MessageSujet: The dreams in which I'm dying are the best I've ever had   The dreams in which I'm dying are the best I've ever had Icon_minitimeMer 16 Sep - 1:48

Madison Livia Mendel

feat. Sky Ferreira
ton personnageen réalité
NOM : Mendel, nom qui te vient de ton paternel.
PRÉNOM(S) : Madison Livia. Prénom assez commun qui ne reflète en rien les origines nébuleuses de tes parents.
AGE ET DATE DE NAISSANCE : 18 ans (bientôt 19), 23 décembre 1996. Un grand jour pour tes parents, même si tu as un peu ruiné ce Noël, faut l’avouer.
STATUT AMOUREUX : C’est compliqué, mais t’es généralement célibataire.
DEPUIS QUAND ES-TU A L'INSTITUT : Quelques jours tout au plus et c’est déjà difficile à gérer pour toi.
POUR LES PROFESSEURS&STAFF, LA MATIÈRE ENSEIGNÉ OU SON POSTE : nope <3
POUVOIR/DON : Duplicata. Tu n’es pas que toi, tu es plusieurs. Avec le temps, tu t’es multipliée pour vivre ta vie, vivre différentes vies, mais personne n’est jamais revenue. Tu as vécu aux travers d’elles toute ta vie durant, sans réaliser que ta propre vie filait à toute allure. Tu ne sais pas combien tu es pour le moment, mais tout ce que tu sais, c’est lorsqu’une des « toi » meurent, tu le ressens au plus profond de ton être. Que leur voix se fait de plus en plus écho dans ton esprit et qu’au travers de la tourmente, tu t’y perds complètement.  
CARACTÈRE : Tu es une fille adorable, pleine de charme, d’ambition, romantique, optimiste et ouverte d’esprit. Tu étais une gamine joviale, verbomoteur, souriante et tu aimais chaque jours que la vie faisait. Rêveuse, tu pouvais te plonger dans ton monde imaginaire et t’y plaire pendant des heures, mais depuis ton pouvoir, depuis des années en fait… tu n’es plus que l’ombre de toi-même, tu n’es plus tout à fait toi, mais tu comptes bien finir par gagner cette guerre et te retrouver, comme avant.
AMBITION : T’as une seule ambition, apprendre à gérer tout ça, gérer ce chaos qu’est ta vie.
GROUPE : Duco Corporis
PSEUDO : Riley
PRÉNOM : Marie  
AGE : 25 (j’ai vieillit en cours de route, oui oui)
PAYS : Toujours Canada
FRÉQUENCE DE CONNEXION : Souvent, mais ça, vous vous en doutez
INVENTE OU SCENARIO : Inventé
OU AS TU CONNU LE FORUM : Toujours par Holden
AS TU QUELQUE CHOSE A DIRE DESSUS : Je vous aime fort.
CRÉDITS : Un peu de tout
◊ 001. T’es folle. C’est surement la chose qu’on t’a dit le plus souvent dans ta vie et tu le crois fermement maintenant. ◊ 002. Quand tu tentes de te concentrer sur quelques choses, tout vient te nuire, surtout toi. ◊ 003. Quand tu as peur, tu t’assois, te replie sur toi-même, passe tes bras autour de tes genoux et te cache derrière. Tu penses véritablement que ça va te protéger. ◊ 004. Tu n’as toujours pas réalisé que te cacher ne servait à rien. ◊ 005. T’es loin d’être forte, loin d’être courageuse, mais une partie de toi l’est, mais pas toi. ◊ 006. Quoique puisse penser les gens, tu restes toi, tu ne pourras jamais être les autres. ◊ 007. Tu as du mal à formuler une phrase clair, sans douter, sans délais. Parce que c’est toi qui parle, mais c’est souvent les autres qui pensent. ◊ 008. 1, 2, 3, respire : ton mot d’ordre. ◊ 009. Tu es surement ton pire ennemi, mais ça, tu t’en doutes. ◊ 010. Tu as souvent un décalage, mais ça, t’y peut rien, t’es comme ça. Ton cerveau à de la latence. Comme si ton wifi interne avait du mal. En fait, t’as juste une connexion pourrie avec toi-même. ◊ 011. Tu cherches par tous les moyens à être normal, être heureuse, mais la vie ne veut rien savoir de tes exigences. ◊ 012. La vie est une salope, mais tu fais avec. Pourtant, tu ne lui as jamais pardonné ta maladie. ◊ 013. Tu sais que t’es bizarre, alors t’essais de te fondre dans la masse, de disparaitre, t’es une timide. ◊ 014. Tu es trop toi pour arriver à te fondre dans la masse, désolé de te l’apprendre. ◊ 015. Tu aimes les trucs doux, les animaux, les peluches, qu’importe, tu aimes ça. Ça te rassure. ◊ 006. Dans les situations graves, tu figes. Ce n’est pas que tu ne sais pas comment réagir, c’est que tu sais trop. Trop de possibilité en même temps, alors tout devient chaos. ◊ 017. Tu sais que c’est le chaos dans ta tête, tu sais maintenant pourquoi, mais ça ne t’empêche pas de te prendre pour une cinglée. ◊ 018. Parfois, quand tu t’ennuis, tu discutes avec toi-même. ◊ 019. Le pire, c’est que tu trouves ça palpitant et instructif. ◊ 020. Sérieux, t’aime les licornes, tu te fiches du pourquoi, mais t’aimes sincèrement les licornes. ◊ 020. Quand tu penses trop, tu parles à voix hautes. C’est pas pratique quand il y a des gens autour.
→ quand as-tu découvert que tu étais "différent(e)" ? Tu n’as jamais su que tu étais différentes. Non, c’est faux, en fait… tu as toujours su. Du moins, depuis l’enfance. Le seul problème, c’est que tu n’as jamais su que tu étais « différente », donc mutante, tu t’étais juste fait dire qu’il te manquait une case, que t’étais folle et… ils avaient franchement raison en fait. Donc ouais, tu es folle, bon d’accord, mutante aussi, mais… surtout folle. Tout a commencé à déraper vers tes 10 ans, c’est ça l’important à savoir. Ta vie était parfaite jusqu’à ce que tu t’imagines en vivre une autre. La personne qui a dit : L’herbe est toujours plus verte chez le voisin avait tort, mais en prime… ça t’a rendu malade. À cause de ça, c’est surement la première voix que tu as entendue, mais pas la dernière, ah ça non.

→en quoi consiste ton pouvoir ou ton don ? Ton don, c’est l’horreur de ta vie, vraiment. Tu peux te dupliquer, être plusieurs et elles, elles ont la belle vie, vraiment. Tu l’aurais aussi en fait, si tu n’étais pas le centre de toutes leurs pensées. Quand elles ont envie de discuter, de partager de l’information, quand elles doutent, quand elles souffrent c’est avec toi qu’elles le partagent. Le côté positif de ton pouvoir, parce que oui, il y en a un, c’est toute l’information cumulée par elles au fil des années. Elles te la donnent volontiers, même si parfois, ça crée un certain délai dans ta pensée. Tu peux créer des clones plus « vide » pour te défendre à plusieurs, pour être avec toi dans l’immédiat, mais les vrais « toi », celles avec des « vrais » vies, elles se déplacent comme tout le monde une fois créé. Au moins, tu peux les créer loin, c’est déjà ça. Tu sauves le coup de l’avion. Elles peuvent revenir à toi si elles le veulent, mais ça arrive rarement. Parce que te toucher signifie la mort pour elle. Le problème, c’est lorsqu’elles meurent, elles te balancent d’un coup tous les souvenirs et tout le savoir et ensuite plus rien, silence radio. C’est… déstabilisant, mais le bruit ambiant vient vite remplacer tout ça. Vous êtes tellement au final…


→ arrives-tu à le maitriser ? est-il dangereux pour ta santé ou celles des autres ? Tu ne crois pas que ça puisse blesser quelqu’un d’autre que toi et ça te rasure au fond. Jamais tu ne souhaiterais de mal à qui que ce soit. Pourtant, ton pouvoir n’est pas nocif pour ta santé physique, il ne te fatigue pas, ne te blesse pas, mais dans ta tête, c’est le chaos. Tu n’y peux rien, tu ne contrôles rien, mais t’es plusieurs, c’est ce qui compte au final. Ce n’est pas que tu ne veux pas le contrôler, mais certaines de tes « toi », les plus vieilles, elles ne reviendront jamais et tu le sais. En même temps, tu crains d’assimiler d’un coup toutes leurs pensées, leurs souvenirs, ça ne se fait pas, ça te blesse. Tu crains de reprendre le contrôle de ta vie.


→ est-ce que cela a une influence sur ta vie ? as-tu été exclu par ta famille, tes amis, la société ? Une influence sur ta vie? Ton don n’a fait que ça, influencer ta vie. Tu ne savais pas, tu aurais surement fait autrement, mais avec le temps, c’est devenu l’horreur, c’est devenu ingérable et jamais on a cru bon de t’accuser d’être une mutante non. On t’a prise pour une folle, on t’a interné et oublié. Il ne te restait plus rien, rien sauf les voix des autres, leurs souvenirs, leurs vies. Les voix sont rapidement devenues ton monde. La seule présence, ne sachant pas différencier le vrai, du faux. Parce que leur vie, tu as eu l’impression de la vivre, de les vivres toutes, mais ce n’était pas le cas. Alors, du fond de ta chambre d’une aile psychiatrique X, tu t’es mise à rêver. Oubliant que tu pouvais vivre aussi. Ton don à prit le dessus pendant des années, sans même que tu saches que c’était un don, un pouvoir. Tu t’es toujours cru schizophrène, comme on te l’avait répété toute ta vie. Du moins, presque toute ta vie.
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Madison Mendel

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MessageSujet: Re: The dreams in which I'm dying are the best I've ever had   The dreams in which I'm dying are the best I've ever had Icon_minitimeMer 16 Sep - 1:49

Tell us a story.

« All around me are familiar faces, Worn out places, worn out faces »
Tu sais, la vie ce n’est jamais quelque chose de simple, la mort non plus. Dans ton cas, on parlerait de vie, surtout que ta naissance, c’était un moment particulier, vous étiez coincés, il manquait d’espace dans le ventre déjà énorme de votre maman et pourtant, vous en étiez à vous pousser pour savoir qui serait le premier à se faire agresser par le monde réel. Tu as gagné, t’es restée au chaud plus longtemps et l’autre est passé le premier. Tu avais peut-être cru t’en sortir, mais une dizaine de minutes plus tard, tu te faisais agresser aussi, toucher, malmener, inspecter, tu hurlais et pourtant… ils continuaient. Ton frère hurlait aussi près de toi, c’était bien la première fois que tu entendais le son de sa voix. Tu lui aurais bien dit de crier moins fort, mais... c’était peut-être un peu tôt pour ça. Le problème, c’était que personne n’était prêt à votre venu, du moins… pas à deux. L’un de vous deux était de trop et c’est en te pointant à la maison avec t’es parent que tu as su, la chambre était d’un magnifique rose. Il devrait revoir l’aménagement du coup, parce que vous étiez deux. Lui n’avait peut-être pas été prévu, mais il faisait déjà partie de toi, de ton monde. Chaque nuit, chaque jour, chaque seconde, se fut la crise. Tu étais dans une cage, lui dans une autre. La sienne était tellement loin, tu ne le sentais plus, tu paniquais, alors ta mère avait fini par abdiquer, vous laissant dormir dans la même cage et tu t’étais finalement calmé. La présence de ton frère, c’était tout ce que tu avais de besoin. Ça et de manger, parce que manger, c’était trop bien finalement.

Ton enfance fut plus ou moins identique à la période bébé chiant. Tu pleurais peut-être un peu moins. Même là, ce n’était pas prouvée ça. Tu aimais la vie, tu aimais la découvrir, mais tu n’étais jamais courageuse seule, tu l’étais à deux. Apprivoiser l’inconnu, ça se faisait, mais juste une fois que ta petite menotte c’était glissée dans celle de ton frère. Il était là, il était rassurant et rien de mal ne pourrait vous arriver comme ça. Vos parents vous aimaient tous les deux, vous traitait comme des égales et ça, c’était bien. Ton frère était l’ainé, mais ça ne comptait pas, pas pour 10minutes non mais oh! Tout ce fit à deux. Les premiers pas, les premières tentatives culinaires de ta maman, les premiers changements de couche de ton papa, tout. Ah non, pas tout, une fois, t’es tombée dans les escaliers et pas lui, il t’aurait surement suivit si votre mère ne l’aurait pas rattrapé à temps, mais ça… personne ne le saura jamais.

Ta vie était parfaite. Le temps avait finalement passé, tout allait bien pour tout le monde, mais ce n’est jamais totalement comme ça la vie. Tu avais 10 ans et ta vie prit un tournant différent. C’était un dimanche, juste après la messe, tu y avais chanté, tu avais décidé de te reposer dans ta chambre, ton père était trop exigeant. Sans raison apparente, il faisait peser le poids du monde sur vos épaules frêles de gamin de 10 ans. Tu n’avais qu’une seule envie, tout plaquer et partir loin, très loin. Partir à l’aventure dans un monde complètement différent du tient, c’est sans trop comprendre ce qui se passait que tu t’étais assoupie, te retrouvant à Paris, c’était bien Paris! Pourtant, ce n’était absolument pas comme tu te l’imaginais, loin de là. En prime, les gens ne parlaient pas ta langue, tu avais eu beau visiter, finalement tu ne retrouvais personne, jamais. On t’avait posé des questions sur toi, ton nom et tu avais menti. Tu n’avais pas envie que ton rêve te ramène chez toi. Pourtant, tu t’étais réveillé et puis la vie avait continué son cours. Quand tu en avais marre de ta vie, tu allais continuer d’imaginer ton autre vie. C’était bien, mais c’était bizarre. Tu t’étais retrouvé en famille d’accueil, tu y vivais bien, mais c’était strict, la nourriture était différente, tu apprenais la langue, l’école était semblable, mais différente et tu te réveillais. À chaque retour dans ta fausse vie, elle avait avancé, comme si elle se devait de rester à l’heure juste. C’était étrange quand même. Vers tes 11 ans, ta vie française ne t’intéressait plus, alors tout en faisant tourner ton globe-trotteur, tu déposas ton doigt pour trouver une nouvelle destination. Le nom était trop compliqué pour toi, avec un U et un k, mais tu t’en fichais, tu te couchas dans ton lit et tenta d’imaginer cette vie. Le problème, c’est qu’elle était dure pour toi, la langue… c’était encore pire, alors rapidement, tu trouvas une destination plus douce, des mœurs plus légère, l’Angleterre, c’était bien. Le problème, c’était encore cette histoire de parent. Ton imaginaire refusait de te laisser vivre ta vie sans parent, alors tu trouvais ça franchement nulle. Tu avais tenté de te vieillir, de t’imaginer avec ta famille, mais rien à faire. Tes rêves te balançaient inexorablement dans un autre pays, complètement seule et sans capacité autre que les tiennes.

Tes autres vies se rappelaient parfois à toi, mais c’était agréable, tu te souvenais de telle ou telle scène et ça t’aidait même en classe, parce que tu avais déjà vu la réponse en rêve. Parfois, une de tes « toi » te soufflait la réponse et c’était pratique, encore plus quand tu avais établis une règle fondamentale, aucune vie n’avait le même nom, parce qu’on ne si retrouvait plus sinon. Le problème vint avec le temps, mais aussi avec le nombre, parce que sans savoir comment tu faisais, les autres vies commençaient à commenter, à te parler. Tu avais maintenant 14 ans et tu commençais à perdre le contrôle de ton propre imaginaire. Parfois, c’était le chaos et d’autre fois, le calme total. Quand c’était le chaos, tu cherchais ta propre voix dans toute celle existante et tu te calmais tranquillement. Tu aurais dû arrêter, cesser de t’imaginer des choses, mais la tentation était trop grande, tu goutais un pays, le rejetais, tu en cherchais un autre, mais sans trouver celui qui t’aurais satisfaite. Cette après-midi là, tu avais tenté une dizaine de pays, créé une dizaine de nom pour chacune d’elle et tu les avais abandonné, comme on chiffonnait un dessin raté. C’était surement ta pire erreur, parce que même une fois chiffonnée, le dessin était revenu encore et encore. Sans savoir pourquoi, ton imaginaire refusait d’abandonner.

Vers 16 ans, tu avais grandi, performé, ta vie avait pris une tournure positive et même si tu luttais régulièrement contre ton imaginaire, tu arrivais à garder le dessus. Tu avais atteint l’âge de travailler, fallait juste trouver un boulot et le monde était à toi, complètement. Le problème, c’est que tu avais atteint ton point de non-retour, c’était une personnalité de trop, une vie de trop et même si tu avais tenté de refermer la porte, même une fois éveillé, mais rien à faire. Le pire, les « toi » commençaient à parler entre-elles, à s’échanger de l’information, l’information circulait rapidement, trop, tu avais tenté de retrouver le contrôle, mais tu n’y arrivais pas tout à fait. Plus les jours passaient et plus la différence entre le vrai du faux devenait mince. Quand tu n’arrivais plus à gérer le bruit dans ta tête, tu te mettais à parler toute seule, espérant que si tu le disais à voix haute, elles entendraient plus facilement. Le problème, c’est que ça créait des problèmes dans ta vraie vie, tu perdais pied pour finalement… ne plus rien contrôler.

Tu n’avais pas exactement comprit le comment du pourquoi, mais tu t’étais finalement réveillé dans un lit, mais plus petit le lit, les draps blancs, les murs blancs, ça ne te disait rien, tu ne connaissais pas l’endroit. Le mobilier était simple et quand tu avais tenté de sortir de la pièce, la porte était verrouillée. La panique commença à monter, mais personne ne t’entendait dans la cacophonie générale qui régnait dans ta tête, pourtant, l’une d’elle t’expliqua ce qui c’était passé. Tu avais eu une espèce de « trop plein » et tu t’étais laissé submerger par les voix, n’arrivant plus à t’en sortir. Du coup, les médecins t’avaient placé en isolement le temps de comprendre. S’en suivit des journées interminables, de longues batteries de tests et les voix, toujours et encore plus de voix qui se parlaient, se chamaillaient, s’aidaient, s’expliquaient... Retrouver le fil de ta propre pensée en devenait pénible, en devenait difficile et puisque les voix avaient leur volonté propre, le diagnostic tomba sur toi comme pour te marquer au fer blanc « schizophrène ». C’était possible? Peut-être. Tu n’en savais rien. Tu avais tenté de bouder les voix, mais impossible. Elles ÉTAIENT là, tu ne pouvais pas faire autrement. Tu cherchais parfois ta propre voix dans ce chaos qu’était ta vie, mais rapidement les médicaments s’alignèrent dans ta vie et un brouillard s’installa. Un brouillard dense, épais, cotonneux et puis, le flou, plus rien.  

**

Il est tôt, peut-être tard quand tu fixes le plafond de ta chambre. C’est pas quelque chose d’inhabituel, tu le connais par coeur. Tu clignes des yeux, lentement, tu ne comprends pas, tu es confuses. Tu te lèves, tente de comprendre et tranquillement, les voix reviennent à toi, légèrement surprise de ta présence, de ton retour. Elles prennent le temps, elles ont la gentillesse de faire gaffe, de ne pas parler tous en même temps… mais pourquoi? Tu te le demandes. C’est plus ou moins à ce moment que la Britannique crache le morceau, vous êtes en 2015. Quoi? Mais… non! Tu le refuses, catégorique. Tu aurais quoi? 18 ans? 19 ans? C’est impossible. Tu te souviens d’avoir vu le temps passé, tu te souviens des examens, des gens avec toi, mais… mais… ça n’avait pas fait plus de 3 mois… pas 3 ans, mais pourtant, elles te l’assurent. Trois longues années sont passées dans un traitement qui n’a pas fonctionné. T’es toujours aussi folle, mais pour une raison qui t’es inconnue, t’es un peu dans le brouillard, mais plus réveillée que jamais. Pourquoi? Rapidement, on vient te voir, on te parle et on t’amène dans un bureau. Ce bureau aussi tu le connais par cœur, c’est le bureau de ton psychiatre. Chaque fois que tu lui parlais des voix, il augmentait ta dose, chaque fois, le brouillard était devenu plus dense. Tu te souviens de tes discussions parfois incongrus, décousus avec les autres toi. Tu regrettes de ne pas avoir cherché à sortir de ce brouillard plus souvent. Tu te souviens des visites de ton frère qui s’inquiète pour toi, mais pas tes parents. Eux, ils ont abandonné depuis un moment. Pourtant, dans ta tête, ça fait mille ans que tu ne lui as pas parlé, pas pour de vrai. Un frère, ça s’entretenait… est-ce que tu l’avais imaginé lui aussi?

C’est là que tu remarques, ton psychiatre n’a pas l’air heureux, il a même l’air assez furieux. Il fronce les sourcils, te demande d’expliquer encore les voix dans ta tête et tu t’exécutes. Pourtant, il te pose de nouvelles questions, te demande des informations que tu n’as pas, mais tu veux bien faire, vraiment alors tu demandes aux autres et tu lui réponds. Tu sais que tu donnes les bonnes réponses, tu le vois dans son regard surprit. Il te demandait des faits sur l’actualité, mais tu étais déconnecté depuis si longtemps, que ça surprenait. C’est ensuite qu’un autre homme entre et tu tentes de suivre la conversation tant bien que mal. Tout ce que toi tu vois, c’est ton frère debout près du monsieur, son sourire rassurant. Il a l’air si bien que ça te fait chaud au cœur. Tu ne l’as pas imaginé lui. Le psychiatre ne croit pas un mot de ce que dit le monsieur avec ton frère, mais l’autre dit que tu es une… une mutante, que tu n’as pas besoin de médicament, juste d’apprendre à te contrôler et c’est là que tu la sens. Ton âme vibre, alors sans les écouter, tu te lèves, te dirige vers la porte, mais elle entre dans la pièce avant que tu ne la rejoigne. Rapidement, ton regard plonge dans le sien, tu n’y peux rien, tu figes. Devant toi se tient ton propre reflet dans la glace, mais elle est réelle, tu le sais bien. Elle est plus propre que toi, mieux habillé, mieux coiffée et elle te sourit, passe près de toi et va clore le débat. Explique qu’elle est toi, que vous êtes plusieurs et que tu as perdu le contrôle de tes créations et qu’elle allait lui prouver. Son accent te frappe, un accent Français?

-Alexa?

Elle se retourne vers toi, te sourit. Tu es triste, mais tu ne sais pas pourquoi. C’est à ce moment qu’elle acquiesce, sourire aux lèvres. Un doux sourire, mais triste. Elle se rapproche et te caresse la joue. Les autres sont… étrangement calme et silencieuse, vraiment. Tout le monde est triste à l’intérieur de toi. Un silence de mort et c’est le cas de le dire. Car rapidement, tu le sens, tu sens cette énergie te parcourir, te remplir et tu l’as voit disparaitre. Chaque souvenir, chaque émotion qu’elle a vécue se rappelle à toi en force et tu t’effondre au sol. Alexa, ta plus vieille amie, la première… celle que tu as suivit si longtemps avant de l’abandonner. Tu n’arrives plus à respirer, du moins, pas sans effort et tes larmes coulent le long de tes joues. Elle est morte, tu le sais, tu le sens, elle n’est plus là. Elle t’a laissé ses souvenirs, sa vie. Tu sais maintenant tout ce que tu as manqué, toute l’information qui te manquait. Le casse-tête se reforme petit à petit dans ta tête, mais tu es en deuil, tu n’y peux rien.

**

Tu n’avais pas eu le cœur de suivre le restant de la conversation, tu les avais regardé de loin, ne cherchant même pas à comprendre. Il y avait eu des papiers signé, tu avais entendu parler de tes parents, d’autres documents et finalement, une mince valise avait été faite et tu t’étais retrouvé dans une voiture. La route passait et repassait devant tes yeux, le décor changeait, mais tu t’en fichais complètement. On te parlait, tu le savais, mais tu ne répondais rien. Les autres voix tentaient de t’expliquer, de te remonter le moral, elles tentaient de faire un effort pour être audible, clair, mais c’était toujours cacophonique. Elles c’étaient concertées pour te donner une chance de reprendre ta vie en main, mais Alexa avait dû se sacrifier pour toi. Tu en avais encore le cœur lourd quand tes yeux se posèrent sur une arche? Un portail? Une prison? Tu n’en savais trop rien. Gens surdoués? L’affiche t’avait sauté aux yeux, tu n’avais rien d’une surdouée. Tu étais folle, tu entendais des voix. Des voix réelles, de clones bien réelles, mais quand même. On tenta de t’expliquer qu’à l’Institut, ta vie prendrait une tournure différente. Tu tentais de te concentrer sur les mots, mais tu voyais leurs lèvres bouger sans plus. Tu étais las et fatiguée, alors on te présenta ta chambre. Ton frère était resté avec toi, pourtant tu te sentais terriblement seule. Tu t’étais roulée en boule sur ton lit et lui te caressait les cheveux. Il y avait d’autres filles qui dormirient dans ta chambre et ça te terrifiait, vraiment. Comment tu pourrais survivre à la présence de d’autres filles? Comment t’allais pouvoir expliquer ton problème? Expliquer que tu n’étais pas normal? Heureusement pour toi, la chambre était vide pour le moment, les autres filles n’y étaient pas.

Tu n’avais rien comprit, tu étais dans un milieu que tu ne connaissais pas, que tu ne comprenais pas et tu avais peur, t’étais sincère. Tu ne savais pas ce que la vie allait t’apporter, mais… pour le moment, tu n’avais que la mort d’Alexa sur la conscience et cette peur panique au creux de l’estomac. Au bout d’un moment, tu tombas de sommeil et cette nuit-là, tu donnas naissance à Florence, un clone bien sûr, qui découvrit de nouveau la ville de Paris en même temps que toi. Ce n’était pas Alexa, mais… tu ne pouvais pas te résoudre au vide qu’avait laissé la première. Tu craignais maintenant le pire pour la suite, vraiment.
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Holden Whitfield

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- Holden Whitfield -
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1° Sécrète des phéromones qui obligent les gens alentours à croire tout ce qu'il raconte. 2° Évolution de son premier pouvoir, certains mensonges que raconte Holden se réalisent. Essentiellement sur une durée limitée, compris entre 30 minutes et 2h. [Pouvoir absolument pas contrôlé]
Élève
04/07/2014
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Ava : Me. Signature : moriarten
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MessageSujet: Re: The dreams in which I'm dying are the best I've ever had   The dreams in which I'm dying are the best I've ever had Icon_minitimeMer 16 Sep - 1:54

Coucou satan

T'es belle.

Je t'aime heart

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Isaora Fanizzi

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statut: membreclasse deltacrazy foxes
- Isaora Fanizzi -
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Célibataire, pas assez courageuse pour changer ça
annihilation: annihile les pouvoirs des autres mutants + Détection: telle une montre que l'on ouvre elle peut décortiquer le pouvoir des autres mutants.
Elève qui passe la plus grande partie de son temps à traîner dans de mauvaises combines
31/08/2015
Taylor Momsen
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MessageSujet: Re: The dreams in which I'm dying are the best I've ever had   The dreams in which I'm dying are the best I've ever had Icon_minitimeMer 16 Sep - 3:31

tututututu !!!!
Moi je suis amoureuse d'elle déjà !!!!! classe
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William Wallace

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- William Wallace -
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Xavier's ears and eyes
Bouclier permanent : qu'il soit physique ou mental, rien ne peut l'atteindre, sauf s'il baisse volontairement sa garde, ce qui arrive rarement...
Cuisinier de l'institut
05/06/2015
Channing Tatum
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MessageSujet: Re: The dreams in which I'm dying are the best I've ever had   The dreams in which I'm dying are the best I've ever had Icon_minitimeMer 16 Sep - 9:19

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Wiccan Shatterstar

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Célibataire
Clonage + il se clone lui même à l'infini. Cependant, il a du mal à se cloner sur commande et créer souvent des clones sans le vouloir sur le coup de l'émotion. Chaque clone est différent et représente bien souvent un de ses trait de caractère. Bien qu'ils lui obéissent en général, il en font aussi qu'à leur tête ce qui peut rendre son pouvoir parfaitement imprévisible, parfois dangereux pour lui et pour les autres.
psychologue à l'institue.
27/07/2015
Matthew Gray Gubler
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MessageSujet: Re: The dreams in which I'm dying are the best I've ever had   The dreams in which I'm dying are the best I've ever had Icon_minitimeMer 16 Sep - 10:53

Oh, on a le même don sweet
Bienvenue parmi nous, ton premier gif m'a foutu la frousse xD (oui, j'ai une sainte horreur des araignée alors... sifflote )
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Graham Lester

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- Graham Lester -
duco corporis

bonne nouvelle, Graham a décidé d'arrêter d'être stupide, mais chut, c'est un secret
lion de némée; capacité de se transformer en un immense lion, de plus sa peau est "pare-balles" c'est à dire qu'elle n'est pas entaillable.
professeur de maitrise des pouvoirs liés aux animaux
22/09/2014
jensen ackles
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MessageSujet: Re: The dreams in which I'm dying are the best I've ever had   The dreams in which I'm dying are the best I've ever had Icon_minitimeMer 16 Sep - 11:04

LES GIFS DE MIGALES CA VA PAS LE FAIRE The dreams in which I'm dying are the best I've ever had 2057483506
(j'ai failli fermer la page par réflexe hein)
Bon au moins je suis pas la seule à flipper mdr
Rebienvenue chez toiiii brill (oui parce que map c'est ta maison now The dreams in which I'm dying are the best I've ever had 2057483506 )
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MessageSujet: Re: The dreams in which I'm dying are the best I've ever had   The dreams in which I'm dying are the best I've ever had Icon_minitimeMer 16 Sep - 11:14

Rebienvenue !
Tu m'excuseras, je vais pas rester trop longtemps sur ta fiche ^^' Les araignées, toussa ...
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Madison Mendel

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Hm, célibataire, définitivement
duplicata ( clônage)
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MessageSujet: Re: The dreams in which I'm dying are the best I've ever had   The dreams in which I'm dying are the best I've ever had Icon_minitimeMer 16 Sep - 15:20

Holden => Je t'aime aussi, t'es la Française de ma vie heart

Isa => Ravie que ma petite Mad fasse battre ton petit coeur heart

Liam => Merci! J'ai déjà hâte de jouer avec ce troisième compte :D

Wiccan => Oui, on a le même don :D J'ai déjà hâte de jouer avec ^^ et désolé pour la frousse heart

Graminou => Oui, je me rends bien compte que map c'est ma maison :D et pour l'araignée, je la trouvais trop mignonne, mais si tu veux je change le gif xD (au moins dans le profil pour pas que tu l'as subisse trop souvent xD)

Light => Faut combattre ta peur! Elle est trop mignonne, limite elle pourrait te faire des coucous! :D Merci pour le message et bienvenue à toi aussi :D
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Professeur Xavier

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Directeur de l'institut Xavier.
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MessageSujet: Re: The dreams in which I'm dying are the best I've ever had   The dreams in which I'm dying are the best I've ever had Icon_minitimeVen 18 Sep - 10:18


Félicitation, tu es validé(e) !
"Un grand pouvoir implique de grandes responsabilités."

C'est triste satan ! Pourquoi tu me donnes des feels si tôt le matin ? D: RAMENE ALEXA QUOI cry ! (Oui, parce que non, c'est juste pas possible, c'est affreux never).

Et voilà, tu es officiellement validé(e). Tu as franchi l'étape la plus importante avant d'aller t'enjailler, t'éclater, bref avant de pouvoir RP sur le forum.  Mais on est gentils, on ne va pas t'abandonner de la sorte en pleine nature. Donc voici quelques petites étapes que tu peux suivre pour mieux t'y retrouver et t'intégrer.
♓️ En passant ta souris sur le gif ci-dessus (magnifique, n'est-ce pas ?), tu trouveras tous les liens utiles qui te permettront d'intégrer ton personnage comme il se doit.
♓️ Il est évident que tu es déjà allé lire le règlement, les annexes ainsi que le contexte. Si ce n'est pas le cas, nous t'invitons à le faire après lecture de ce petit message.
♓️ Le moment est venu d'intégrer ton personnage. Tu peux donc demander une chambre afin qu'il n'aille pas loger dans les toilettes de l'institut.
♓️ N'oublie pas de créer une fiche de liens pour trouver des amis à ton petit mutant (voire plus si affinités !). Par ailleurs, la roulette MAP russe et les demandes de RPs sont là pour t'aider à te lancer.
♓️ Pour finir, nous t'informons que ton mutant appartient à la classe des GAMMAS. Tu es également invité à te renseigner sur ton groupe de parrainage qui est les spicy squirrels.

Tu es dorénavant prêt(e) pour débuter cette magnifique aventure à nos côtés !

ENJOY ET ENCORE UNE FOIS, BIENVENUE A L'INSTITUT !
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Madison Mendel

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MessageSujet: Re: The dreams in which I'm dying are the best I've ever had   The dreams in which I'm dying are the best I've ever had Icon_minitimeVen 18 Sep - 20:40

Merci pour la validation :D

Et je suis contente que mon histoire ait fait son effet heart
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MessageSujet: Re: The dreams in which I'm dying are the best I've ever had   The dreams in which I'm dying are the best I've ever had Icon_minitimeSam 19 Sep - 13:12

Bienvenue ma jolie :)
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MessageSujet: Re: The dreams in which I'm dying are the best I've ever had   The dreams in which I'm dying are the best I've ever had Icon_minitime

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